Agronutris marche dans les pas de son ainée Ynsect. Sortie de terre en 2011, la jeune pousse toulousaine dédiée à l’élevage et la transformation d’insectes pour l’alimentation a finalisé une augmentation de capital de 50 millions d’euros. Une opération alimentée par Bpifrance (via le fonds SPI), Mirova, le spécialiste des compléments alimentaires Nutergia, Crédit Agricole Nord-Est et le co-fondateur de The Fork, Bertrand Jelensperger. Des investisseurs qui figurent désormais aux côtés de l’équipe de direction pilotée par Mehdi Berrada (ancien PDG de Poult) et Cédric Auriol.
Pour le quatrième investissement de son fonds BC Partners European Real Estate I, le gérant britannique a pris une participation majoritaire au sein du promoteur immobilier Alsei. Ce deal, intermédié par Edmond de Rothschild Corporate Finance, doit permettre au groupe de doubler de taille au cours des prochaines années. Actionnaire minoritaire depuis 2015, Ciclad cède la totalité de sa participation.
Le pure player de l’hydrogène produit à base d’énergie renouvelable Lhyfe a levé une série A de 50 millions d’euros, après avoir obtenu 8 millions d’euros de la part de ses investisseurs historiques début 2020. Sou nouveau tour de table a été notamment alimenté par deux nouveaux entrants, Swen Capital Partners et la Banque des Territoires, qui intervient au moment où Lhyfe inaugure son premier site de production à Bouin.Ce site est le premier au monde à produire de l’hydrogène renouvelable à partir d’énergie éolienne à échelle industrielle, soit jusqu’à une tonne par jour.
Le pure player de l’hydrogène produit à base d’énergie renouvelable Lhyfe a le vent dans le dos. Après avoir obtenu 8 millions d’euros de la part de ses investisseurs historiques Ovive, Noria, Ouest Croissance, Océan Participations et SEM Vendée, début 2020, l’entreprise vendéenne décroche une série A de 50 millions d’euros. Un tour de table notamment alimenté par deux nouveaux entrants, Swen Capital Partners et la Banque des Territoires, qui intervient au moment où Lhyfe inaugure son premier site de production à Bouin. Avec une spécificité : ce site est le premier au monde à produire de l’hydrogène renouvelable à partir d’énergie éolienne à échelle industrielle, c’est-à-dire jusqu’à une tonne par jour.
Le gouvernement espagnol planche sur une réduction du seuil minimum d’investissement dans les fonds de capital-risque, rapporte le journal CincoDías. Le ministère des affaires économiques hispanique envisage ainsi d’abaisser ce seuil de 100.000 euros à 10.000 euros pour permettre aux investisseurs particuliers locaux d’avoir accès à ce type de produits, selon un projet de loi consulté par le quotidien. Les investissements des particuliers en-deçà du montant de 100.000 euros dans les fonds de capital-risquesont actuellement rejetés en Espagne. Les investisseurs doivent également déclarer dans un document qu’ils sont au courant des risques encourus. Le projet de loi suggère que le marketing des fonds de capital-risque sera autorisé auprès des particuliers mais s’accompagnera d’un questionnaire pour juger de l’adéquation du profil du particulier avec l’investissement. Les investissements dans les fonds de capital-risque devront également être limités à une certaine proportion par rapport à l’ensemble du portefeuille du client particulier, sans que le projet de loi n’apporteplus de détails sur l’allocation maximale prévue. Le gouvernement espagnol cherche également à simplifier les conditions d’investissement dans les hedge funds pour les particuliers.
Philippe Tibi préside le projet Financement Scale-Up au ministère de l’Economie. Il analyse pour L’Agefi le déploiement de ce programme dédié à la tech, dont les objectifs ont été relevés cet été.
Racheté plus de 400 millions d’euros par Keensight Capital au printemps, Adista déploie sa stratégie de croissance externe. Le groupe de services télécoms et informatiques B2B vient de prendre le contrôle d’unyc, spécialisé dans la vente indirecte de services de télécommunications. Le nouvel ensemble prévoit de réaliser un chiffre d’affaires de 220 millions d’euros (dont 55 millions d’euros pour unyc), pour quelque 900 collaborateurs. Et même 500 millions d’euros d’ici 2025, en conservant les activités propres aux deux sociétés. Damien Watine, dirigeant d’unyc, restera aux commandes et deviendra actionnaire de la nouvelle entité présidée par Patrice Bélie. Le groupe entend ainsi concurrencer les opérateurs historiques cloud et télécoms. Adista se consacrera exclusivement à la vente directe sous les marques Adista, Waycom et Fingerprint, tandis qu’unyc concentrera son activité sur la vente indirecte – marque blanche et distribution.
EXCLUSIF – Les actionnaires du groupe ont confié le processus de cession à Natixis Partners, dans le but de céder la majorité du capital d’ici la fin de l’année.
Le fabricant suédois de voitures électriques va fusionner avec le Spac du milliardaire Alec Gores pour une valorisation de près de 20 milliards de dollars.
Charles Beigbeder veut profiter de l’appétit de la Bourse pour les fonds de private equity. Le fondateur et PDG d‘Audacia s’apprête à lancer la mise en Bourse de sa société sur Euronext Growth. Des réunions de présentation sont programmées pour le début de cette semaine. Fondée en 2006, Audacia indique avoir investi près de 750 millions d’euros pour le compte de 15.000 investisseurs, via différents types de produit (club deals immobiliers, FCPI, FPCR…). Elle a par exemple investi dans des sociétés comme Biolab, Kusmi Tea ou Big Fernand. Il s’agirait de la quatrième société mise en Bourse par Charles Beigbeder, après Self Trade, Poweo et AgroGénération.
Charles Beigbeder veut profiter de l’appétit de la Bourse pour les fonds de private equity. Le fondateur et PDG d‘Audacia s’apprête à lancer la mise en Bourse de sa société sur Euronext Growth. Des réunions de présentation sont programmées pour le début de semaine prochaine.
Décision. C’est finalement la société luxembourgeoise FundRock qui a été sélectionnée par la Fédération française de l’assurance (FFA) comme société faîtière des obligations Relance. Agréée depuis mars dernier en France, la société de gestion, qui avait jusqu’à l’an dernier comme actionnaire majoritaire le fonds Blackfin, est désormais détenue par Apex Group, groupe financier bermudien appartenant aux fonds Genstar Capital et Carlyle, ainsi qu’au fonds souverain d’Abu Dhabi, Mubadala. La gestion des obligations Relance, assimilables à des quasi-fonds propres et remboursables au bout de huit ans, a été attribuée l’été dernier à une trentaine de sociétés. Via ce dispositif, qui complète les prêts participatifs Relance et vise à financer les PME et ETI françaises, Bercy entend mobiliser 6 milliards d’euros.