Nos articles d'actualité et d'analyse sur les principales campagnes lancées par des actionnaires activistes (Elliott, Amber, Third Point, Trian Partners, Cevian, TCI etc.) sur des entreprises cotées en Bourse.
Nos articles d’actualité et d’analyse sur les dernières innovations liées à la blockchain (chaîne de blocks) et à leurs applications dans l’industrie financière.
Les sociétés de gestion devront se focaliser davantage sur la maîtrise des coûts face aux « changements structurels énormes » auxquels fait face le secteur de la gestion d’actifs, estime Michelle Seitz, directrice générale de Russell Investments, dans une interview au Financial Times. Même si la plupart des sociétés de gestion restent rentables, les frais sont sous pression. Michelle Seitz estime que la taille seule ne sauvera pas les sociétés de gestion du niveau de concurrence « féroce ». Au contraire, le secteur doit se concentrer sur « trois piliers » - la performance des investissements, la distribution de produits et les coûts – pour survivre et prospérer.
De passage à Paris, Mark Wiedman, a accordé une interview exclusive aux rédactions de l'Agefi dont NewsManagers. Le dirigeant parie sur la poursuite du développement des ETF en Europe, notamment grâce à MIF 2. IL annonce avoir mis fin au projet de transfert de cotation des ETF en euro de Francfort vers Dublin. L'Allemagne va même être fortement développée.
Historiquement dédié à la gestion d’actifs institutionnelle, OFI Asset Management, filiale commune des mutuelles Macif et Matmut (86,7% du capital à elles deux), a pris un nouveau départ depuis la nomination de Jean-Pierre Grimaud au poste de directeur général, il y a trois ans. Faisant le constat d’un marché français de la gestion d’actifs pour le compte d’institutionnels en stagnation, voire en régression, celui-ci décide d’élargir la base de clientèle vers les particuliers, pour profiter d’un basculement du marché.
Un amendement à la loi Pacte adoptée en première lecture à l’Assemblée nationale le 9 octobre valide l’investissement via les fonds professionnels spécialisés (FPS).
C’est le nombre de banques qui se proposent de bâtir un pont entre Europe et Asie. Elles sont les membres de deux plates-formes basées sur la Blockchain et visant chacune rien de moins que de révolutionner le trade finance. Pour ce faire, we.trade et eTradeConnect ont décidé de connecter leurs réseaux, permettant à chaque banque de trouver une contrepartie sur l’autre continent. Les françaises Natixis et la Société Générale côté we.trade, et BNP Paribas côté eTradeConnect sont de la partie. Le lien sera concrétisé après validation d’un « proof of concept », d’ici à quelques mois.
La semaine dernière, Larry Fink, l’influent patron de BlackRock, le premier gestionnaire d’actifs au monde avec 6.400 milliards de dollars d’encours, a expliqué, à l’occasion d’une conférence, que renoncer à participer au forum sur l’investissement de Riyad (dit le « Davos du désert ») avait été une décision difficile à prendre, écrit Les Echos « Nous sommes présents [en Arabie saoudite] depuis quinze ans, a-t-il déclaré. Je crois que nous y serons présents de nombreuses années à l’avenir. » Le dirigeant n’entend pas remettre en question ses relations commerciales avec l’Arabie Saoudite. Ces liens avec le royaume « ne sont pas quelque chose dont j’ai honte », a déclaré Larry Fink. A la suite de l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, de nombreux dirigeants de la finance avaient décidé d’annuler leur présence au Davos du désert. Pour Larry Fink, le meurtre de Jamal Khashoggi reste un mystère. « Nous ne savons pas qui est responsable du meurtre. Le gouvernement [saoudien] a pris la responsabilité de dire qu’il s’agissait d’un meurtre. Ils affirment maintenant qu’il s’agit d’un ‘acte haineux’ », a-t-il déclaré. Pour lui, « chacun a sa propre théorie » et « rien n’est blanc ou noir ».
L’agence de notation financière S&P Global Ratings croit en l’avenir de la blockchain pour l’industrie des sukuks, ces titres de dette conformes aux préceptes de l’islam. Ils pesaient en 2017 selon elle 75 à 80 milliards de dollars en 2017. S&P explique dans un article publié hier que ces technologies pourraient améliorer la transparence des flux de trésorerie et des actifs sous-jacents. La blockchain permettrait aussi d’accentuer les prises de décisions des investisseurs grâce à des informations plus fiables. Aucune institution financière n’a, à ce jour, utilisé la blockchain pour émettre des produits obligataires islamiques.
Huit banques, dont HSBC et BNP Paribas, ont annoncé la mise en production de cette solution afin de réduire le temps de traitement des lettres de crédit.
Huit banques, dont HSBC et la banque française BNP Paribas, ont annoncé le lancement de la plate-forme Voltron adossée à la blockchain Corda. Son objectif: faciliter le financement du commerce international, c’est-à-dire les activités de trade finance.
L’agence de notation financière Standard & Poor’s (S&P) croit en l’avenir de la blockchain et des smart contracts concernant l’industrie des sukuks, ces titres de dette conformes aux préceptes de l’islam. S&P explique dans un article publié mercredi que ces technologies pourraient améliorer la transparence des flux de trésorerie et des actifs sous-jacents. La blockchain permettrait aussi d’accentuer les prises de décisions des investisseurs grâce à des informations plus fiables.
Très mauvais trimestre pour le suisse GAM. La liquidation des stratégies ARBF (absolute return bond fund) a lourdement pesé sur les résultats du troisième trimestre. Les actifs sous gestion du groupe ont ainsi chuté à 146,1 milliards de francs suisses au 30 septembre 2018 contre 163,8 milliards de francs à fin juin 2018, a annoncé ce matin la société de gestion. La liquidation des stratégies ARBF a contribué à cette baisse de 17,7 milliards de francs d’un trimestre sur l’autre pour un montant de 10,8 milliards de francs, précise un communiqué.Dans le détail, le pôle «Investment Management», qui regroupe les fonds maison, affiche des sorties nettes de 5,3 milliards de francs suisses au troisième trimestre dans les fonds autres que les stratégies ARBF ainsi qu’un impact marché négatif de 1,5 milliard de francs, qui viennent s’ajouter à la liquidation des stratégies ARBF. Résultat, les actifs sous gestion dupôle chutent à 66,8 milliards de francs à fin septembre contre 84,4 milliards de francs trois mois plus tôt. Le communiqué relève que le mouvement de décollecte s’est ralenti au mois d’octobre.Parallèlement, la division «Private Labelling», spécialisée dans les produits en marque blanche, a réalisé une collecte nette de 0,4 milliard de francs alors que la bonne tenue des marchés a été effacée par des mouvements négatifs sur les devises. Les actifs sous gestion sont demeurés stables à 79,3 milliards de francs à fin septembre contre 79,4 milliards de francs trois mois plus tôt.
L’Association des professionnels du marché des métaux précieux de Londres (London Bullion Market Association), qui rassemble des banques et des courtiers, a lancé la procédure d’homologation d’entreprises lui permettant d’assurer la traçabilité de l’or. La plupart prévoient de s’appuyer sur la technologie de la blockchain. Conçue à l’origine pour soutenir la cryptomonnaie bitcoin, elle s’inscrit dans le cadre des efforts pour améliorer la transparence du marché de l’or confronté à des accusations de manipulation de cours et de blanchiment. La LBMA avait lancé en mars un appel d’offres. Elle a reçu 26 propositions de start-ups et de géants des technologies et des logiciels, selon Reuters. La LBMA prévoit de soumettre à consultation un projet de normes pour les systèmes de traçabilité de l’or dans le courant du premier semestre 2019.
L’Association des professionnels du marché des métaux précieux de Londres (London Bullion Market Association - LBMA) a lancé la procédure d’homologation d’entreprises lui permettant d’assurer la traçabilité de l’or. La LBMA, qui compte 144 membres dont les plus grands affineurs de métal jaune, des banques et des courtiers, avait lancé en mars un appel d’offres dans ce sens. L’association a reçu 26 propositions émanant aussi bien de start-up que de géants des technologies et des logiciels, a dit Sakhila Mirza, directrice exécutive du conseil d’administration de la LBMA à Reuters. La plupart prévoient de s’appuyer sur la technologie blockchain.
La loi Pacte, adoptée en première lecture la semaine dernière, prévoit que les spécialistes des cryptoactifs puissent en dernier ressort, se tourner vers la Caisse des Dépôts (CDC) pour ouvrir un compte, mais «l’institution fait valoir qu’elle n’est pas en mesure d’ouvrir ces comptes», rapportait vendredi le quotidien Les Echos. Selon la député LREM Sophie Errante, présidente de la Commission de surveillance de la CDC, «(...) ces acteurs présentent un risque de blanchiment d’argent et on ne peut pas mettre en danger la Caisse des Dépôts qui centralise les avoirs des Français», Avant l’examen du projet de loi au Sénat, «nous voulons réfléchir à la question avec le Trésor, la Banque de France, les acteurs des cryptodevises et les banques pour trouver une solution alternative», explique-t-elle.
La loi Pacte, adoptée en première lecture cette semaine, prévoit que les spécialistes des cryptoactifs puissent en dernier ressort, se tourner vers la Caisse des Dépôts (CDC) pour ouvrir un compte, mais «l’institution fait valoir qu’elle n’est pas en mesure d’ouvrir ces comptes», écrivent ce matin Les Echos.
Nous voilà confrontés à une véritable révolution: le concept de tiers de confiance est disrupté par la technologie, , La part de libre-arbitre et surtout la part de conscience, qui viennent en complément de la donnée, restent de la compétence de l’être humain
Blockchain. La plate-forme we.trade de financement du commerce international basée sur la technologie Blockchain étoffe son réseau. Avec pour nouveaux actionnaires CaixaBank, Erste Group et UBS, l’équipe de banques au service des échanges des PME et ETI compte désormais douze membres (avec la Société Générale et Natixis, ainsi que Deutsche Bank, HSBC, KBC, Nordea, Rabobank, Santander et UniCredit). L’extension géographique est primordiale car la centralisation et la sécurisation des transactions impliquent la participation de la banque de l’acheteur comme de celle du vendeur. De fait, la plate-forme, qui propose en outre aux entreprises l’affacturage ou un registre de contacts, « compte bien poursuivre son expansion vers de nouveaux marchés en Europe et dans le monde », pointe Hubert Benoot, responsable du trade finance chez KBC et président de we.trade.
Carrefour a rejoint la plate-forme d’IBM Food Trust et sa technologie blockchain pour pouvoir élargir à l'échelle mondiale la traçabilité de ses produits alimentaires. Le distributeur français, qui avait lancé en mars dernier le déploiement de la blockchain pour certains poulets, se fixe pour objectif de l’utiliser pour environ 300 produits frais à travers le monde d’ici à 2022, a précisé à Reuters son secrétaire général, Laurent Vallée. IBM Food Trust vise le partage d’informations liées à la sécurité des produits, notamment l’origine des produits et leur composition, via un QR code figurant sur les étiquettes.
Carrefour a annoncé aujourd’hui avoir rejoint la plate-forme d’IBM Food Trust et sa technologie blockchain pour pouvoir élargir à l'échelle mondiale la traçabilité de ses produits alimentaires. Le distributeur français, qui avait lancé en mars dernier le déploiement de la blockchain pour certains poulets, se fixe pour objectif d’utiliser cette technologie pour environ 300 produits frais à travers le monde d’ici à 2022, a précisé à Reuters son secrétaire général, Laurent Vallée.
De passage à Paris à l’occasion de la Ryder Cup, Martin Gilbert, co-CEO d’Aberdeen Standard Investments (ASI), revient sur la fusion avec Standard Life dans un entretien accordé à NewsManagers et l’Agefi Hebdo.