Nos articles d’actualité et d’analyse sur la Banque centrale européenne (BCE), sur les déclarations de ses principaux dirigeants, sur ses annonces de politiques monétaires (évolution des taux directeurs, programmes de liquidité ou de rachats d’actifs, suivi de l’inflation).
La société de gestion espagnole BBVA Asset Management a procédé à plusieurs changements au sein de sa division de gestion d’actifs et de gestion de fortune internationale. Le gestionnaire hispanique souhaite une plus grande intégration de ses équipes à l’international et des synergies entre ses différentes ressources tant nationales que locales. Ainsi, Javier Marsal, qui était jusqu’alors directeurdes investissements de BBVA AM pour l’Europe, est nommé responsablede la gestion des investissements. Il aura pour mission de coordonner les activités de gestion d’actifs sur tous les territoires où est présent BBVA AM et assumera la supervision directe des équipes de la firme en Argentine, au Pérou, en Colombie ainsi qu’en Turquie. Pour les équipes basées au Mexique et en Europe, il travaillera en collaboration avec le responsable des investissements mondial de BBVA AM, Eduardo Garcia Hidalgo. Le poste de responsable des investissements en Europe échoit àTomás Pérez, par ailleurs responsable des investissements des fonds actifs obligataires et actions, en plus des fonds garantis et passifs. Autre nomination, celle de José Luis Segimón en qualité de directeur des investissementsdans les marchés privés. L’intéressé était jusqu'à présent responsable de l’analyse et de la sélection de fonds de Quality Funds. Javier Marsal, Tomás Pérez etJosé Luis Segimón sont rattachés à Eduardo Garcia Hidalgo, directeur des investissements à l’international de la division de gestion d’actifs et de fortune internationale de BBVA AM. Gisela Medina devient la nouvelle responsable d’analyse et de sélection de fonds de l'équipe Quality Funds et est rattachéeà Belén Blanco. Enfin, BBVA AM a créé une unité d’investissements responsables qui sera dirigée par Alberto Estévez. Il sera responsable pour la gestion des solutions ISR et supervisera l’intégration de ladurabilité dans les investissements de BBVA AM. Il est rattaché àJaime Martínez, directeur global de l’allocation d’actifs.
La société de gestion américaine T. Rowe Price a indiqué que Chris Alderson, son responsable des actions internationales, va prendre sa retraite fin 2020 après 32 ans de présence dans l’entreprise. Il sera remplacé par Justin Thomson, actuellement directeur des investissements pour les actions internationales, au 1er janvier 2021. Justin Thomson, qui évolue chez T. Rowe Price depuis 22 ans, gère le fonds T. Rowe International Small Cap Equity (8,6Md$ d’encours). Le 1er mars prochain, Ben Griffiths sera nommé co-gérant du fonds et passera gérant principal lorsque Justin Thomson prendra ses nouvelles fonctions. T. Rowe Price gérait 1.200 milliards de dollars d’encours fin 2019.
L’industrie des fonds d’investissement luxembourgeois a terminé l’année 2019 avec des encours s'élevant à4.719 milliards d’euros, selon les données du régulateur financier local CSSF. Ils progressent de 16,10% sur l’année 2019 et de 1,05% sur le seul mois de décembre 2019 (soit 49,2Md€ supplémentaires).La collecte nette des fonds luxembourgeoisreprésentait 27,2 milliards d’euros sur le dernier mois de 2019 et la performance de marché 22 milliards d’euros. A fin 2019, l’industrie des fonds luxembourgeois recensait 3.746 organismes de placement collectif, contre 3.779 en novembre. 2.452 entités ont adopté une Sicav, ce qui représente 13.514 compartiments. S’ajoutent à cela1.294 entités à structure classique. Au total, 14.808 unités sont actives sur la place financière luxembourgeoise.
Avec la sortie du Royaume-Uni du système européen des banques centrales (SEBC), la Banque centrale européenne (BCE) va rembourser la part de la Banque d’Angleterre (BoE) dans son capital libéré, conformément à l’accord de retrait (58 millions d’euros). Mais elle maintiendra son capital souscrit à 10,8 milliards d’euros selon une clé de répartition réactualisée des 14,3% souscrits par la BoE entre les banques centrales nationales (BCN) de la zone euro et hors zone euro restantes. Après le retrait, les pondérations seront recalculées en fonction de la part de chaque État membre dans la population totale et le produit intérieur brut de l’UE.
Avec la sortie du Royaume-Uni du système européen des banques centrales (SEBC), la Banque centrale européenne (BCE) va rembourser la part de la Banque d’Angleterre (BoE) dans son capital libéré, conformément à l’accord de retrait (58 millions d’euros). Mais elle maintiendra son capital souscrit à 10,8 milliards d’euros selon une clé de répartition réactualisée des 14,3% souscrits par la BoE entre les banques centrales nationales (BCN) de la zone euro et hors zone euro restantes.
Le directoire de la Banque centrale européenne (BCE) a nommé mardi Roland Straub comme conseiller de la présidente et coordinateur des conseils du directoire pour trois ans. Il était déjà conseiller du président précédent, Mario Draghi, depuis février 2017. A 45 ans, titulaire d’un doctorat en économie de l’Institut universitaire européen de Florence (Italie), il travaille pour la BCE depuis treize ans et avait été conseiller de l’ancien membre du directoire Benoît Cœuré. Auparavant, il a travaillé dans les directions générales de la recherche et des relations internationales et européennes, ou encore au Fonds monétaire international (FMI) en tant qu'économiste.
Stabilité des prix. A l’occasion de la réunion du Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE) le 23 janvier dernier, sa présidente Christine Lagarde a officiellement lancé les travaux de revue de la stratégie de politique monétaire de l’institution. Ce processus devrait être conclu d’ici à la fin de l’année 2020, a indiqué la banque centrale, même si certains intervenants espèrent que la BCE fournira dès ce printemps de premiers éléments à l’occasion de la publication des premières perspectives trimestrielles pour la zone euro. « Nous pensons que le principal débat de la revue stratégique, et le résultat le plus pertinent pour les marchés financiers, demeure [la question des] modifications apportées à la définition de la stabilité des prix, y compris s’il y aura une fourchette ou non », estiment les experts d’ING.
Le directoire de la Banque centrale européenne (BCE) a nommé mardi Roland Straub comme conseiller de la présidente et coordinateur des conseils du directoire pour trois ans. Roland Straub était déjà conseiller du président précédent, Mario Draghi, depuis février 2017. A 45 ans, titulaire d’un doctorat en économie de l’Institut universitaire européen de Florence (Italie), il travaille pour la BCE depuis treize ans et avait été conseiller de l’ancien membre du directoire Benoît Cœuré. Auparavant, il a travaillé dans les directions générales de la recherche et des relations internationales et européennes, ou encore au Fonds monétaire international (FMI) en tant qu'économiste.
La croissance du crédit aux entreprises a ralenti en décembre en zone euro pour tomber à son plus bas niveau depuis deux ans, tandis que celle des prêts aux ménages s’accélérait, montrent les statistiques publiées mercredi par la Banque centrale européenne (BCE). Les prêts aux entreprises non-financières ont augmenté de +3,2% par rapport à décembre 2018, après +3,4% en novembre. Celle des prêts aux ménages a atteint +3,7%, son plus haut niveau depuis 2008, après +3,5%, précise la BCE dans un communiqué. La masse monétaire M3 affiche quant à elle une croissance de +5,0% seulement en rythme annuel en décembre, alors que les économistes et analystes interrogés par Reuters tablaient sur une hausse de 5,5%.
Les prévisionnistes professionnels (SPF) font état de prévisions d’inflation annuelle IPCH de 1,2%, 1,4% et 1,5% pour respectivement 2020, 2021 et 2022, comme dans la précédente enquête (quatrième trimestre 2019) pour 2020 et 2021. De même, les anticipations moyennes d’inflation à plus long terme (2024) sont restées à 1,7%. Les attentes du SPF concernant la croissance du PIB réel en zone euro sont de 1,1%, 1,2% et 1,4% pour 2020, 2021 et 2022. À 1,4%, les anticipations moyennes à plus long terme restent inchangées. Enfin, ce consensus maintient ses attentes en matière de taux de chômage à 7,5%, 7,4% et 7,3% pour 2020, 2021 et 2022, avec une diminution globale de l’incertitude et des risques.
Les prévisionnistes professionnels (SPF) répondant à l’enquête trimestrielle de la Banque centrale européenne (BCE) font état de prévisions d’inflation annuelle IPCH de 1,2%, 1,4% et 1,5% en moyenne pour respectivement 2020, 2021 et 2022. Donc sans changement par rapport à la précédente enquête (quatrième trimestre 2019) pour 2020 et 2021. De même, les anticipations moyennes d’inflation à plus long terme (2024) sont restées à 1,7%.
Les actifs sous gestion de Liontrust Asset Management ont pour la première fois atteint et dépassé la barre des 19 milliards de livres au quatrième trimestre, en raison d’une forte collecte et des apports d’actifs liés à l’acquisition de Neptune. Durant les trois mois à fin décembre, les entrées nettes se sont élevées à 836 millions de livres, près du double du montant enregistré durant la même période en 2018, selon un communiqué de la société. Sur les neuf mois à fin décembre, la collecte nette atteint 2,2 milliards de livres, contre 1,1 milliard de livres pour la période correspondante de 2018. Par ailleurs, l’acquisition en octobre 2019 de Neptune Investment Management a représenté un apport d’actifs sous gestion de 2,7 milliards de livres. D’où l’augmentation des encours à plus de 19 milliards de livres contre 11,2 milliards de livres un an plus tôt. La société souligne que l'équipe dédiée à l’investissement durable continue de susciter beaucoup d’intérêt et les actifs gérés dans les stratégies responsables s'élèvent désormais à plus de 5 milliards de livres.
L’objectif d’inflation de la Banque centrale européenne doit être symétrique, flexible et crédible, non seulement aux yeux des marchés financiers mais également aux yeux des ménages et des entreprises, a déclaré jeudi François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France et membre du conseil des gouverneurs de la BCE. «Nous ne pouvons garantir le 2,0%, ni tout le temps, ni tout de suite», a-t-il déclaré lors d’un discours à l’université Paris-Dauphine, à Paris. Sur les dix dernières années, l’inflation de la zone euro est globalement restée en-deçà de l’objectif fixé par la BCE d’un taux «inférieur à mais proche de 2%», censé favoriser l’emploi et l’investissement.
L’objectif d’inflation de la Banque centrale européenne doit être symétrique, flexible et crédible, non seulement aux yeux des marchés financiers mais également aux yeux des ménages et des entreprises, a déclaré jeudi François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France et membre du conseil des gouverneurs de la BCE. «Nous ne pouvons garantir le 2,0%, ni tout le temps, ni tout de suite», a-t-il déclaré lors d’un discours à l’université Paris-Dauphine, à Paris, Sur les dix dernières années, l’inflation de la zone euro est globalement restée en-deçà de l’objectif fixé par la BCE d’un taux «inférieur à mais proche de 2%», censé favoriser l’emploi et l’investissement.
Il n’est pas bon que les entreprises imposent leur vision du bien à la société, a estimé Warren Buffett dans une interview au Financial Times. Qu’est-ce qui leur a fait penser qu’elles savent mieux que les autres? «C’est très dur à faire. Si vous me donnez les 20 plus grandes entreprises, je ne sais pas laquelle des 20 se comporte le mieux, vraiment. J’ai été administrateur de 20 sociétés cotées et je pense qu’il est très difficile d’évaluer ce qu’elles font… c’est très très dur. J’aime manger des bonbons. Les bonbons sont-ils bons pour moi ou pas? Je ne sais pas», répond-il. Et même si la direction de Berkshire savait ce qui était juste pour le monde, il serait erroné d’investir sur ces bases parce qu’ils sont juste les agents des actionnaires de l’entreprise. «C’est l’argent des actionnaires», dit-il. Warren Buffett pense que c’est la politique gouvernementale et non le capitalisme qui doit être le moteur du changement.
Je ne m’attends pas à un basculement vers un environnement de taux d’intérêt positifs l’an prochain», a déclaré vendredi dans un communiqué Robert Holzmann, gouverneur de la Banque nationale d’Autriche. Ce membre du Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE), qui s’était opposé à la relance du programme d’achats d’actifs en septembre, a motivé son sentiment en mentionnant les incertitudes entourant la période de transition devant conduire d’ici à la fin 2020 à une sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne. La BCE a laissé sa politique monétaire inchangée en décembre, avec notamment un taux de dépôt à -0,50%, et réaffirmé qu’elle restait prête à l’assouplir encore si nécessaire pour soutenir l'économie de la zone euro.