L’actualité des grandes banques centrales de la planète, celles de la zone euro (BCE), des Etats-Unis (Fed), du Royaume-Uni (BoE), du Japon (BoJ). Nos analyses et éclairages sur les politiques monétaires mises en œuvre par ces autorités au cœur de l’économie mondiale.
La Banque du Japon (BoJ) prolongera si nécessaire son programme de soutien lié à la pandémie au-delà de la date-butoir de septembre, a indiqué mercredi Haruhiko Kuroda. Le gouverneur de la BoJ a précisé que la troisième économie mondiale reste sur la voie de la reprise, la solidité des exportations et des profits des entreprises permettant de compenser la faiblesse de la consommation mais il a averti qu’il existe une incertitude élevée sur le rythme du déploiement de la campagne de vaccination, ce qui pourrait induire un effet négatif plus long que prévu sur l'économie. Le pays lutte actuellement contre un regain de contaminations qui a contraint les autorités à prolonger l’état d’urgence et pèse sur l'économie.
La Banque du Japon (BoJ) prolongerait si nécessaire son programme de soutien lié à la pandémie au-delà de la date-butoir de septembre, a indiqué mercredi Haruhiko Kuroda lors d’un séminaire.
La Cour constitutionnelle allemande a rejeté mardi un recours contre le programme d’achats de titres du secteur public (PSPP) de la Banque centrale européenne (BCE) de 2.400 milliards d’euros, estimant que la BCE avait démontré que ce programme était approprié.
La Hongrie se place en pole position pour mettre en œuvre la première hausse des taux d’intérêt dans l’Union européenne (UE) depuis la pandémie. La République tchèque apparaissait comme mieux placée jusqu’à ce que le sous-gouverneur de la banque centrale hongroise, Barnabas Virag, déclare lundi que la flambée des prix sera compensée par une politique monétaire plus stricte dès le mois prochain, ce qui entraînera des gains pour le forint. La banque devrait envisager de relever son taux de référence en juin dans le cadre d’un cycle de resserrement «basé sur les données» réalisé en plusieurs étapes. Les mesures de relance seront également progressivement supprimées, bien que l’assouplissement quantitatif se poursuive et que les volumes puissent même augmenter si besoin.
La Hongrie se place en pole position pour mettre en œuvre la première hausse des taux d’intérêt dans l’Union européenne (UE) depuis la pandémie. La République tchèque apparaissait comme mieux placée jusqu’à ce que le sous-gouverneur de la banque centrale hongroise, Barnabas Virag, déclare lundi que la flambée des prix sera compensée par une politique monétaire plus stricte dès le mois prochain, ce qui entraînera des gains pour le forint.
La Banque centrale européenne (BCE) réévaluera en juin ses achats d’actifs en s’appuyant sur un examen approfondi des conditions financières et des perspectives d’inflation, indiquent les minutes, publiées vendredi, de sa réunion de politique monétaire des 21 et 22 avril. Au cours de leur réunion, les gouverneurs de la BCE ont insisté sur le caractère flexible de leur Programme d’achats d’urgence pandémique (PEPP), en soulignant que le rythme des achats pouvait être «adapté en fonction des conditions de marché». L’enveloppe du PEPP, qui avait été lancé en mars 2020 pour protéger la zone euro contre les répercussions économiques de la crise sanitaire, avait été maintenue à 1.850 milliards d’euros à l’issue de la dernière réunion de la BCE.
La Banque centrale européenne (BCE) réévaluera en juin ses achats d’actifs en s’appuyant sur un examen approfondi des conditions financières et des perspectives d’inflation, indiquent les minutes de sa réunion de politique monétaire des 21 et 22 avril.
L’Europe n’est pas confrontée aux mêmes perspectives que les Etats-Unis en matière d’inflation, a déclaré jeudi Yannis Stournaras, le gouverneur de la banque centrale grecque et membres du Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE), lors du Delphi Economic Forum à Athènes.
Capza annonce avoir levé 700 millions d’euros pour son fonds Capza 5 Flex Equit, doublant la taille finale du fonds précédent (350 millions d’euros). Comme les millésimes précédents, le fonds combine investissements en capital majoritaire ou minoritaire, obligations convertibles et mezzanine. Il vise à accompagner dans leurs projets de développement et de transmission des PME/ETI sur le segment lower mid-cap en France, Espagne, Allemagne et Italie.Depuis 2004, les équipes de Capza Flex Equity ont mené près de 80 transactions combinant capital et mezzanine avec un multiple de 1.97x sur les transactions réalisées*.Le fonds Capza 5 Flex Equity, qui a démarré sa période d’investissement en septembre 2020, a effectué 6 opérations et est investi à hauteur de 21% :IMF Business Schools(e-learning, Espagne);Ynov Campus(enseignement supérieur informatique et numérique, France);Magellan Partners(conseil en transformation digitale, France);Winncare(santé, France);MT systems(services B2B, France);Eidos Media(CMS - Content Management System SaaS, Italie)«Nous sommes heureux de la fidélité de nos investisseurs qui ont réinvesti à hauteur de plus de 100%**, et d’accueillir également de nouveaux investisseurs », indique dans un communiqué Christophe Karvelis-Senn, président de Capza.* Multiple bruts basés sur les 54 transactions Flex Equity sorties au 30/04/2021.** Taux de re-up basé sur le montant engagé en parts A des investisseurs de CAPZA 5 Flex Equity qui étaient investis sur Capzanine 4 rapporté au montant total engagé dans Capzanine 4.
«Nous allons continuer nos achats au titre de notre programme exceptionnel d’urgence pandémique (PEPP) au moins jusqu’à mars 2022», a déclaré mardi sur Franceinfo le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, à propos des achats décidés en mars 2020 par la Banque centrale européenne (BCE) pour atténuer les effets de la crise sanitaire. «Toute hypothèse de réduction du volume de nos achats d’ici là, ce que l’on appelle en anglais le ‘tapering’ ou le ‘phasing out’, est purement spéculative», a-t-il poursuivi, expliquant que cette idée n’a même pas été évoquée lors du dernier conseil des gouverneurs. La BCE tiendra sa prochaine réunion de politique monétaire le 10 juin.
«Nous allons continuer nos achats au titre de notre programme exceptionnel d’urgence pandémique (PEPP) au moins jusqu’à mars 2022», a déclaré mardi sur Franceinfo le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, à propos des achats décidés en mars 2020 par la Banque centrale européenne (BCE) pour atténuer les effets de la crise sanitaire. «Toute hypothèse de réduction du volume de nos achats d’ici là, ce que l’on appelle en anglais le ‘tapering’ ou le ‘phasing out’, est purement spéculative», a-t-il poursuivi, expliquant que cette idée n’a même pas été évoquée lors du dernier conseil des gouverneurs.