Nos articles d'actualité et d'analyse sur l'économie chinoise, son évolution, ses perspectives et son impact sur les principales institutions financières.
L’actualité des grandes banques centrales de la planète, celles de la zone euro (BCE), des Etats-Unis (Fed), du Royaume-Uni (BoE), du Japon (BoJ). Nos analyses et éclairages sur les politiques monétaires mises en œuvre par ces autorités au cœur de l’économie mondiale.
L'institution helvète est la première grande banque centrale à initier son cycle d’assouplissement monétaire grâce à une inflation largement dans la cible.
L’inflation a chuté à 3,4% en février outre-Manche, avec un recul attendu sous 2% dès avril. La banque centrale devrait encore laisser ses taux inchangés jeudi mais tout reste ouvert pour une baisse en août, voire en juin.
L’institution a maintenu son taux mais estime désormais les risques équilibrés sur l’inflation. Le dollar australien s’affaiblit, également en raison de la chute des prix du minerai de fer.
La banque centrale du pays a relevé ses taux pour la première fois depuis 2007 tout en les laissant proches de zéro alors que l'inflation est repassée au-dessus de 2%.
Si la probabilité d’un assouplissement dès le 12 juin a diminué avec l’inflation CPI du 12 mars, le principe n’est pas remis en doute. Les marchés scruteront particulièrement les «dots» des gouverneurs sur le nombre de baisses de taux en 2024.
En plus de la Réserve fédérale américaine, les banques d'Angleterre, de Suisse, d'Australie et du Japon mettront à jour leur politique monétaire. Les résultats annuels d'Atos seront également regardés de près.
Et si la banque centrale américaine ne baissait finalement pas ses taux cette année, en raison d'une inflation persistante et d'une croissance soutenue ? Ce scénario extrême n’est pas exclu, mais le marché peine encore à en mesurer la probabilité.
Le Conseil des gouverneurs a publié mercredi son cadre opérationnel pour la politique monétaire sur les deux ans à venir. Avec une approche prudente, qui témoigne des risques liés à la réduction de son bilan.
Le nombre de personnes en poste a diminué de 21.000 unités sur les trois mois de novembre à janvier, alors que les prévisionnistes en attendaient +10.000. Les salaires progressent aussi moins que prévu.
Le Conseil des gouverneurs n’est pas très clair sur l’avancée des discussions autour d’une première baisse de taux, ce qui devient en soi un message un peu moins «restrictif».
Les gouverneurs les plus influents de l’institution ne manqueront pas de s’appuyer jeudi sur les chiffres décevants de février pour repousser toute idée de baisse des taux. Mais le consensus se fissure au sein du Conseil.
En février, les prévisionnistes de L’Agefi et les marchés ont décalé d’un mois les premières baisses de taux directeur, de mai à juin. A cause des données économiques pour les Etats-Unis, et des discours restrictifs pour la zone euro.
La Banque centrale européenne tiendra sa réunion de politique monétaire jeudi. Quelques résultats d'entreprises sont encore attendus, dont ceux de Thales, Vivendi, Dassault Aviation ou encore JCDecaux.
Les bons chiffres de l’inflation ont convaincu le comité de politique monétaire de tempérer sa communication. Le dollar néozélandais a perdu près de 1% face au dollar américain.