Contrôlé par EQT depuis 2016, le groupe britannique IVC Evidensia va racheter le français VetOne, qu’il a accepté de valoriser plus de 200 millions d’euros. Une offre particulièrement élevée puisque représentant près de 20 fois l’Ebitda. En début d’année, le groupe britannique a reçu une enveloppe de 3,5 milliards d’euros de la part de Nestlé et de Silver Lake. Une opération minoritaire qui a fait grimper sa valorisation à 12,3 milliards. Présent dans une douzaine de pays, IVC Evidensia totalise plus de 1.500 cliniques vétérinaires, pour près de 22.000 collaborateurs. Avec VetOne, créé en 2013 par Steve Rosengarten (ex-director de chez Carlyle), il s’adjoint 51 établissements.
Contrôlé par EQT depuis 2016, le groupe britannique IVC Evidensia renforce sa présence sur le marché français des cliniques vétérinaires. Il va racheter le français VetOne, qu’il a accepté de valoriser plus de 200 millions d’euros. Une offre particulièrement élevée puisque représentant près de 20 fois l’Ebitda.
La société d’investissement Wendel a publié jeudi un actif net réévalué (ANR) en légère baisse au 30 septembre par rapport à la fin juin, pénalisé par les débuts boursiers difficiles de l’opérateur d’infrastructures télécom IHS Towers. Le groupe a cependant continué à gérer activement son portefeuille de participations depuis le début de l’année, et entend saisir de nouvelles opportunités d’investissement malgré les valorisations élevées, explique son directeur financier, Jérôme Michiels, dans un entretien accordé à l’agence Agefi-Dow Jones.
C’est le rendement trimestriel net moyen enregistré dans le capital risque à l’échelle mondiale au premier trimestre 2021, selon la dernière analyse eFront. Il dépasse celui dégagé sur la même période par les fonds leveraged buy-out (LBO), qui s’établit à 9,6 %. Les zones géographiques ayant réalisé la plus forte performance sont l’Europe (17,9 % dans le venture et 7,1 % dans le LBO) et les Etats-Unis (respectivement 15,5 % et 10,4 %).
Le fonds suédois EQT étudie une possible acquisition de l'éditeur de logiciels pour le secteur bancaire Temenos, indique Bloomberg. Les réflexions sont à un stade préliminaire, ajoute l’agence de presse qui indique que ni EQT ni Temenos n’ont souhaité commenter. Si elle se confirme, l’opération constituerait l’un des plus importants rachats avec effet de levier (LBO) de l’année. Coté à la Bourse de Zurich, Temenos capitalise environ 10 milliards de francs suisses (9,4 milliards d’euros). Temenos est l’un des premiers éditeurs mondiaux de logiciels pour le secteur bancaire. Il a réalisé en 2020 un chiffre d’affaires de 887 millions de dollars (765 millions d’euros) avec une marge d’exploitation (Ebit) de 26%.
Mis en vente par Goldman Sachs et Silverfern, le groupe néerlandais Continental Bakeries a trouvé preneur auprès du français Biscuit International, comme l’avançait L’Agefi au début du mois. Une opération qui permet au Frenchie de doubler de taille, en atteignant un chiffre d’affaires de plus de 900 millions d’euros. Le nouvel ensemble rassemble 4.500 salariés et 33 usines sur le Vieux Continent, pour une capacité de production annuelle de 300.000 tonnes de biscuits. Le rapprochement fait la part belle à la complémentarité. Continental Bakeries est spécialisé dans la fabrication de biscuits, de substituts de pains et de toasts. Son Ebitda est proche de 60 millions d’euros. Du côté de Biscuit International, détenu par Platinum Equity, une vaste gamme de biscuits est vendue sous marque distributeur. Son Ebitda était proche de 84 millions d’euros avant la crise sanitaire.
Un champion européen des biscuits est né. Mis en vente par Goldman Sachs et Silverfern, le groupe néerlandais Continental Bakeries a bel et bien trouvé preneur auprès du français Biscuit International, comme l’avançait L’Agefi au début du mois. Une opération qui permet au « Frenchie » de doubler de taille, en atteignant un chiffre d’affaires de plus de 900 millions d’euros.
Le fonds suédois EQT étudie une possible acquisition de l'éditeur de logiciels pour le secteur bancaire Temenos, indique Bloomberg. Les réflexions sont à un stade préliminaire, ajoute l’agence de presse qui indique que ni EQT ni Temenos n’ont souhaité commenter.
Le 20 octobre, le président de la LFP, Vincent Labrune, a formellement présenté le projet d’ouverture du capital de la structure commerciale devant le collège de Ligue 1.
En janvier, la biotech française a été choisie par la Direction Générale de l’Armement pour développer un laboratoire de détection rapide d’agents pathogènes.
Le pionnier du private equity tricolore a signé un protocole d’accord en vue de créer un programme d’investissement franco-chinois de 500 millions d’euros.
L’EdTech française 360Learning vient de lever une série C de 200 millions de dollars. L’opération est financée par Sumeru Equity, Softbank et Silverlake, ainsi que par certains investisseurs historiques comme Bpifrance, XAnge, Isai et Educapital. Elle succède à une augmentation de capital de 36 millions d’euros réalisée en 2019. 360Learning a conçu une plateforme technologique permettant aux entreprises de créer des cours pour leurs collaborateurs. Un outil doté d’options de partage et d’interaction pour améliorer les échanges entre la communauté et les formateurs. Avec cette nouvelle manne financière, la licorne française prévoit d’accentuer sa présence aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Son premier bureau outre-Atlantique a été inauguré il y a trois ans, et lui a permis de capter des clients comme KingFisher, GateHouse Media ou Air Canada.
Fondée à Paris en 2010 par Guillaume Alary-Raisonnier, Nicolas Hernandez et Sébastien Mignot, 360Learning est, avec Openclassrooms, l’une des plus belles EdTech françaises. Et pour accroître son rayonnement à l’international, elle vient de lever une série C de 200 millions de dollars. L’opération est financée par Sumeru Equity, Softbank et Silverlake, ainsi que par certains investisseurs historiques comme Bpifrance, XAnge, Isai et Educapital. Elle succède à une augmentation de capital de 36 millions d’euros réalisée en 2019.
Thomson Reuters rejoint le monde du capital-investissement. L’agence de presse a annoncé le lancement d’un fonds de capital-risque visant 100 millions de dollars (86,2 millions d’euros). Le véhicule, baptisé « Thomson Reuters Ventures », ciblera des sociétés en early stage (stade suivant la phase d’amorçage) opérant dans les domaines juridique, comptable, fiscal et médias. Le fonds interviendra sur les tours de table de séries A et B. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la stratégie mise en place par Steve Hasker, directeur général, visant à faire du groupe une « entreprise technologique axée sur le contenu ».
The Raine Group, la banque d’affaires américaine créée en 2009 par Jeff Sine, Joe Ravitch et Joseph Ravitch, vient de recruter Bernard Mourad en qualité d’associé pour se lancer sur le marché français. L’ancien banquier de Bank of America, qui a partagé l’information sur les réseaux sociaux, conseillera les groupes de télécoms dans leurs emplettes, tout en appliquant la recette de sa nouvelle maison: investir en minoritaire aux côtés de ses clients ou en standalone. En décembre 2020, The Raine Group a apporté 160 millions de dollars (137 millions d’euros) à la start-up suédoise de micro-mobilité Voi, concurrente des américains Bird et Lime, ainsi que de l’allemand Tier. En private equity, elle totalise près de 4 milliards d’actifs sous gestion. Passé au sein de Morgan Stanley, ce proche de Xavier Niel et de Patrick Drahi avait piloté l’introduction en Bourse d’Altice et la fusion de Numericable et de SFR. Il a aussi été à la tête d’Altice Media.
The Raine Group s’emballe pour la French tech. La banque d’affaires américaine créée en 2009 par Jeff Sine et Joe Ravitch vient de recruter Bernard Mourad en qualité d’associé pour se lancer sur le marché français. L’ancien banquier de Bank of America, qui a partagé l’information sur les réseaux sociaux, rebondit ainsi dans une banque réputée dans l’univers des médias, de la tech, des télécommunications et du sport. Elle emploie quelque 150 banquiers dans ses bureaux de San Francisco, Los Angeles, New York, Shanghai, Londres et Mumbai et compte parmi ses clients de grands noms comme Epic Games, Vice, Warner Music Group ou bien encore SoftBank. L’an dernier, la holding d’investissement japonaise a sollicité les conseils de la banque pour procéder à la vente d’ARM à Nvidia ou bien encore à la sortie partielle de l’opérateur T-Mobile, filiale de Deutsche Telekom.
Ace Capital Partners est enfin parvenu à clore la commercialisation de son fonds dédié à la cybersécurité en empochant 175 millions d’euros, soit 25 millions de plus que l’objectif initial. Baptisé Brienne 3, le véhicule a notamment été abondé par les engagements de Bpifrance, de Naval Group, d’EDF, de Sopra Steria, du groupe Crédit Agricole, de la Région Nouvelle Aquitaine et de family offices. Le fonds était sur la route depuis près de cinq ans et a connu de multiples rebondissements. Sa levée a été facilitée par l’adossement d’Ace Capital Partners à Tikehau Capital, en 2018. Un premier closing avait ainsi été réalisé à l’été 2019 à 80 millions d’euros (la moitié de l’enveloppe provenant de Tikehau). Brienne 3 espère investir dans une petite vingtaine d’entreprises européennes de croissance, actives dans la cybersécurité et la confiance numérique.
Ace Capital Partners est enfin parvenu à clore la commercialisation de son fonds dédié à la cybersécurité en empochant 175 millions d’euros, soit 25 millions de plus que l’objectif initial. Baptisé Brienne III, le véhicule a notamment été abondé par les engagements de Bpifrance, de Naval Group, d’EDF, de Sopra Steria, du groupe Crédit Agricole, de la Région Nouvelle Aquitaine et de family offices. Mais le processus de levée de fonds n’a pas été une sinécure. Le fonds était sur la route depuis près de cinq ans et a connu de multiples rebondissements. Sa levée a été facilitée par l’adossement d’Ace Capital Partners à Tikehau Capital, en 2018. Un premier closing avait ainsi été réalisé à l’été 2019 à 80 millions d’euros (la moitié de l’enveloppe provenant de Tikehau).
NGE change de partenaire financier. Le petit concurrent des Vinci, Bouygues et Eiffage s’est en effet ouvert à Montefiore Investment – lequel devient actionnaire minoritaire à hauteur de 28 % aux côtés de l’équipe de direction et des salariés (réunis dans un FCPE détenant 21 % du capital). A cette occasion, il enregistre la sortie de Crédit Mutuel Equity, présent au capital depuis plus de dix ans. La filiale de la Banque Fédérative du Crédit Mutuel avait initialement investi 45 millions d’euros pour permettre au groupe de racheter TSO, un constructeur de voies ferrées. Numéro quatre sur le marché français du BTP, il s’est récemment introduit sur plusieurs marchés à l’international, notamment dans la fibre optique à Liverpool.
NGE change de partenaire financier. Le petit concurrent des Vinci, Bouygues et Eiffage s’est en effet ouvert à Montefiore Investment – lequel devient actionnaire minoritaire à hauteur de 28 % aux côtés de l’équipe de direction et des salariés (réunis dans un FCPE détenant 21 % du capital). A cette occasion, il enregistre la sortie de Crédit Mutuel Equity, présent au capital depuis plus de dix ans. La filiale de la Banque Fédérative du Crédit Mutuel avait initialement investi 45 millions d’euros pour permettre au groupe de racheter TSO, un constructeur de voies ferrées.
Point Vision change de propriétaire. Le premier réseau français de centres d’ophtalmologie est cédé par Abénex au fonds de private equity américain Ares Management. Bpifrance prend une participation minoritaire à l’occasion de cette transaction. « Les trois fondateurs de Point Vision (François Pelen, Patrice Pouts et Raphaël Schnitzer) réinvestissent dans l’entreprise aux côtés d’un grand nombre de professionnels clés du groupe », ajoute un communiqué. Point Vision a été créé en 2011 et exploite 48 centres d’ophtalmologie. Abénex était entré au capital en 2014 avant de devenir majoritaire en 2017.
Point Vision change de propriétaire. Le premier réseau français de centres d’ophtalmologie est cédé par Abénex au fonds de private equity américain Ares Management. Bpifrance prend une participation minoritaire à l’occasion de cette transaction. « Les trois fondateurs de Point Vision (François Pelen, Patrice Pouts et Raphaël Schnitzer) réinvestissent dans l’entreprise aux côtés d’un grand nombre de professionnels clés du groupe », ajoute un communiqué