Le fonds souverain d’Arabie saoudite a acquis une participation de 5 %, d’un montant de 2,98 milliards de dollars, dans Nintendo, rapporte le Financial Times. Selon un document du ministère japonais des Finances, le Public Investment Fund a acquis 6,5 millions d’actions dans le créateur de Mario. Il s’agit de la dernière acquisition en date du fonds de 500 milliards de dollars dans le secteur des jeux vidéos et de l’e-sport, où les saoudiens se développent depuis deux ans.
Les investisseurs publics vont chacun prendre une participation stratégique au sein du dépositaire central qui cherche depuis 2019 à rationaliser un actionnariat éclaté.
La plus grande banque d’investissement du Japon va créer une nouvelle filiale afin de proposer des placements en cryptomonnaies à ses clients institutionnels. Cette nouvelle société comptera même une centaine de personne d’ici à 2024, selon les informations du Financial Times. La semaine dernière, Nomura avait lancé ses premiers contrats futures et d’options sur le bitcoin via CME Group, spécialisé dans les contrats à terme, en utilisant la branche de cryptotrading de Cumberland DRW. Ce lancement intervient alors que le marché des cryptomonnaies connaît de fortes baisses. Cette situation n’a pas refroidi les investisseurs institutionnels, explique Nomura, qui constate un intérêt grandissant pour les classes d’actifs liés à la blockchain.
Après avoir présenté des résultats en baisse la semaine dernière, la société cotée au Nasdaq a annoncé dans une note qu'elle allait freiner ses embauches.
La plus grande banque d’investissement du Japon va créer une nouvelle filiale afin de proposer des placements en cryptomonnaies à ses clients institutionnels. Cette nouvelle société comptera même une centaine de personne d’ici à 2024, selon les informations du Financial Times. La semaine dernière, Nomura avait lancé ses premiers contrats futures et d’options sur le bitcoin via CME Group, spécialisé dans les contrats à terme, en utilisant la branche de cryptotrading de Cumberland DRW. Ce lancement intervient alors que le marché des cryptomonnaies connaît de fortes baisses. Cette situation n’a pas refroidi les investisseurs institutionnels, explique Nomura, qui constate un intérêt grandissant pour les classes d’actifs liés à la blockchain.
Clarté, simplicité et efficacité. Tel est le mantra qui guide Carlo Trabattoni pour son mandat de nouveau président d’Assogestioni, l’association italienne des professionnels de la gestion financière. «Il faut faire passer le message que nous devons parler un langage clair, compréhensible de tous, en aidant à comprendre ce que nous faisons et pourquoi. Sinon, nous risquons de retomber dans l’autoréférence», déclare-t-il dans une interview à Il Sole 24 Ore. Carlo Trabattoni souligne qu’il est nécessaire de «construire des produits proches des épargnants avec des critères de gouvernance et de responsabilitéclairs ». Pour ce faire, «nous ne pouvons pas travailler seuls: notre meilleur allié est le conseil fourni par les banques, les réseaux et les conseillers indépendants qui nous représentent sur le marché», poursuit-il. «Si nous proposons des produits intelligibles pour le client final, nous rendons service à l’ensemble du système. 1.800 milliards d’euros dorment sur les comptes courants: une certaine prudence est compréhensible après la pandémie, mais ce n’est pas le bon choix et avec une inflation à 5 % cela risque aussi d’être néfaste», souligne-t-il. Concernant l’offre du marché, Carlo Trabattoni reconnait que «l’industrie a été très prolifique». Pour lui, «nous devrons probablement rationnaliser l’offre en la rendant plus structurée et mener une réflexion sur la rentabilité de ces produits. La direction, quoi qu’il en soit, doit être celle de la simplification».
La plus grande banque d’investissement du Japon va créer une nouvelle filiale afin de proposer des placements en crypto-monnaies à ses clients institutionnels. Cette nouvelle société comptera même une centaine de personne d’ici 2024 selon les informations du Financial Times.
Les allocations de capitaux aux gérants d’origines ethniques diverses sont toujours à la traîne par rapport à celles aux gérants blancs, estime John Rogers, fondateur du fonds Ariel Investments de 17,8 milliards de dollars. Pour lui, des biais raciaux et des pratiques démodées persistent dans le secteur américain des fonds. «Les gens sont habitués à penser aux minorités en tant qu’experts de la musique ou athlètes, mais pas en tant que gérants ou banquiers d’investissement», déclare John Rogers, fondateur de la première société de gestion détenue par des noirs aux Etats-Unis, dans une interview au FT. Alors que plus de 6 % des sociétés de gestion américaines sont désormais détenues par des minorités, elles ne reçoivent que 0,7 % des encours sous gestion, selon une étude de the Knight Foundation de 2021.
Dans un entretien au Financial Times, le directeur du fonds norvégien appelle les grands actionnaires à se saisir de leur pouvoir de vote face à la "cupidité" de certains dirigeants.
Ford, BlackRock, JPMorgan Chase, Morgan Stanley et Goldman Sachs vont révéler des informations sur le genre, la race et les expériences de leurs administrateurs à leurs actionnaires. Une proposition actionnariale a été déposée pour une entreprise qui a refusé d’accéder à cette demande.
L’investisseur souverain des Emirats arabes unis enregistre un rendement à 5 ans de 12,2% et affirme ses engagements d’investisseur qui se veut vertueux.
Elliott Management prévoit de fermer son bureau à Tokyo, le dernier qu’elle compte encore en Asie, rapporte le Financial Times. Le hedge fund continue ainsi de transférer à Londres la responsabilité de ses investissements dans la région. Cette fermeture intervient alors qu’Elliott est un investisseur actif au Japon. Ses principales campagnes activistes en Asie sont déjà menées depuis Londres depuis un certain temps.
Le Service International des Rémunérations de Pensions, qui couvre notamment les retraites des agents de l'OCDE et de l'OTAN, vient d'embaucher Gauthier Pieffer comme gérant de fonds de pension.
La nomination d’un nouveau gouverneur «colombe» sonne le glas des hausses de taux de la banque centrale. Le reste de l’Europe centrale poursuit son ajustement.