Si le billet vert est tombé à son plus niveau depuis janvier 2015 contre l'euro, le marché des options anticipe une baisse supplémentaire au cours des prochains mois.
A l'occasion d'une interview accordée à H24 Finance, Stéphane Vonthron, directeur de l’équipe commerciale conseillers financiers a fait un point sur le positionnement de JP Morgan AM sur son activité de distribution auprès des conseillers financiers.
Rattaché(e) au directeur général et en étroite collaboration avec les directeurs opérationnels, la personne en charge de ce poste aura comme principales missions, celles de : Diriger la gestion des Ressources Humaines Propose à l’approbation de la Direction Générale, la politique des Ressources humaines et les budgets, Définit et met en oeuvre les procédures et les moyens nécessaires à la réalisation de la politique des Ressources Humaines, Organise et supervise les traitements liés à l’administration du personnel, Définit et met en oeuvre les politiques de recrutement et de formation avec les directeurs opérationnels, Organise les réunions des représentants du personnel dans le cadre légalement défini et assiste le représentant légal auprès des instances représentatives des salariés, Veille au respect de toutes les formalités et obligations sociales exigées par la législation et la réglementation en vigueur, Assure le management du personnel du service, Oeuvre constamment en concertation et en coopération avec la Direction générale et les directions opérationnelles de la Mutuelle, Présente un rapport annuel d’activité sur la gestion des Ressources Humaines à la Direction Générale. Diriger la gestion des procédures et le dispositif de contrôle interne Coordonne la mise en place et le suivi des procédures et garantit la fiabilité des contrôles internes. Diriger la gestion financière et comptable Supervise les traitements comptables et la tenue de la comptabilité, Garantit la fiabilité des comptes de la mutuelle et de ses filiales et établit les documents financiers et comptables en conformité avec la législation, Etablit les rapports annuels de la mutuelle et de ses filiales, Elabore les plans de financement, optimise la trésorerie et les placements et gère la relation bancaire, Etablit les rapports et les reporting (solvabilité II) destinés à l’autorité de contrôle. Diriger la gestion des risques Contribue à la mise en oeuvre et assure le suivi du système de gestion des risques, Assure le suivi du profil de risque général de la mutuelle dans son ensemble, Identifie et évalue les risques émergents. Diriger la gestion Technique Piloter la relation avec les organismes de Contrôle Représenter la Mutuelle auprès des organes de contrôles externes (Organismes sociaux, Inspection du travail, Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, Commissaires aux comptes). Profil Issu d’une formation Bac +5 minimum (type DSCG, école de commerce ou son équivalent universitaire), vous justifiez impérativement d’une expérience d’au moins 3 ans dans une fonction équivalente. Vous maîtrisez les normes comptables françaises, la fiscalité française et la réglementation sociale. La connaissance des normes assurantielles et Solvabilité 2 (reporting annuels) serait un atout. Un excellent sens du management, de la rigueur, un respect des délais et un sens aigu de l’organisation sont des pré-requis. Vous êtes également reconnu pour votre sens relationnel et votre esprit d'équipe.
Après un report d'un an, la mise en application du règlement européen relatif à l’information des investisseurs en matière d’assurance vie est entré en vigueur le 1er janvier 2018.
Fastbooking, l’une des filiales de services numériques du groupe hôtelier AccorHotels, s’apprête à dévoiler un projet de réorganisation, écrit le quotidien Les Echos, de sources proches. Le périmètre concerné réunirait 90 postes environ en France, dont une vingtaine serait supprimée. AccorHotels ne fait pas de commentaire. «Cette réorganisation intervient près de trois ans après l’acquisition de Fastbooking par AccorHotels dans le cadre du développement du groupe dans la distribution numérique et les services aux hôteliers indépendants», rappellent Les Echos.
Caroline Le Meaux, responsable de la gestion déléguée à la Direction des Retraites et de la Solidarité de la Caisse des Dépôts, nous décrit ses attentes et sa vision d’une offre avec un positionnement haut de gamme en gestion institutionnelle. Elle précise également les sujets à l’étude au sein de son institution, avec notamment une réflexion en cours pour faire évoluer la gestion du RAVGDT.
Antoine Leroy arrive au sein de la direction générale du groupe Agrica. Il supervisera notamment l’ensemble des fonctions comptabilité, finance, technique et gestion des risques ainsi que les fonctions métiers de la retraite complémentaire. Fort de 25 ans d’expérience professionnelle dans le secteur de l’assurance (AXA, CNP Assurances) sur des responsabilités opérationnelles et dirigeantes variées, Antoine Leroy, âgé de 51 ans, est ingénieur diplômé de l’École Centrale de Paris et également actuaire qualifié, membre de l’Institut des Actuaires. «Son arrivée marque une nouvelle étape dans le développement de notre groupe de protection sociale dédié au monde agricole, en renforçant notre capacité à piloter notre projet stratégique : le développement d’AGRICA PRÉVOYANCE dans le cadre de la SGAPS nouvellement créée, en partenariat avec CRÉDIT AGRICOLE et GROUPAMA, le rapprochement des activités de retraite complémentaire avec celles des 5 autres groupes de protection sociale dans le cadre de l’Alliance Professionnelle en cours de mise en place», indique le groupe dans un communiqué.
L’avenir des fonds en euros suscite régulièrement l’inquiétude. Leurs performances ont décliné ces dernières années et les perspectives n’ont rien d’exceptionnel. De fait, les assureurs doivent travailler avec des titres aux rendements de plus en plus faibles. Inutile donc d’attendre des miracles de la part des fonds en euros. Pour l’heure, il n’y a rien d’alarmant. Mais en cas de remontée des taux de marché, les fonds en euros pourraient faire les frais de sorties massives de la part d’épargnants à la recherche de meilleurs rendements. Ce scénario catastrophe ne reste toutefois qu’une hypothèse et certains chiffres permettent de limiter les craintes. C’est le cas des données publiées récemment par Good Value for Money (GVfM). Le spécialiste de l’assurance-vie s’est penché sur les réserves dont disposent les assureurs. 3,5% de rendement en réserve La principale est constituée par la provision pour participation aux bénéfices (PPB). Il s’agit d’un matelas de sécurité que l’assureur peut mettre en place pour lisser les performances dans le temps. Autrement dit, il peut mettre de côté une partie de la performance pour la redistribuer plus tard (dans un délai de 8 ans). Pressés par les autorités, les assureurs n’ont cessé de renforcer leur PPB ces dernières années. Selon GVfM, elle est en moyenne passée de 2,62% en 2015 à 3,08% fin 2016 et pourrait atteindre 3,50% en 2017. Ainsi, les assureurs disposent d’une réserve qui équivaut à 3,5 points de rendement. De quoi envisager l’avenir avec un peu plus de sérénité et faire face à une éventuelle remontée brutale des taux. Dans certains cas, la PPB dépasse même les 4%, voire les 5% (GMF Vie). GVfM précise enfin qu’en ajoutant la réserve de capitalisation et les plus-values latentes (sur actions et obligations), la réserve de rendement moyenne du secteur atteignait même les 7,75% fin 2016.
Experts dans la sélection de placements, les investisseurs institutionnels et consultants le sont aussi à table et dans leurs choix gastronomiques. En cette période de fêtes, la rédaction d'Instit Invest vous propose de redécouvrir les portraits de quatre dirigeants gourmets qui sauront vous mettre l'eau à la bouche.
Après avoir délaissé l’immobilier pendant de nombreuses années, les investisseurs institutionnels se tournent à nouveau vers ce type d’actifs, confrontés à la baisse des taux. Nadra Moussalem, directeur général Europe de Colony NorthStar nous explique comment sa structure les accompagne dans leurs investissements, en proposant notamment des clubs deals pour limiter les risques et les coûts. Nadra Moussalem a participé à la Journée Nationale des Investisseurs le 30 novembre dernier.
Le gouvernement sud-coréen a dévoilé une palette de mesures afin d’endiguer la « surchauffe irrationnelle » qui agite les crypto-monnaies, dont le bitcoin, rapporte Les Echos. Ces mesures ont eu pour effet de faire chuter le cours du bitcoin de près de 10% aux alentours de 13.500 dollars (11.300 euros). Les mesures annoncées incluent l’interdiction des échanges anonymes de crypto-monnaies, l’interdiction d’ouvrir des comptes anonymes ou encore la possibilité pour le régulateur d’empêcher si nécessaire certains échanges en fermant les plates-formes dédiées. La Corée du Sud prévoit également un renforcement de la lutte contre les activités de blanchiment d’argent et de fraudes financières utilisant les crypto-monnaies. Cette annonce intervient alors que Séoul a déjà pris plusieurs mesures pour tenter de refroidir la « bitcoinmania », notamment interdire à ses institutions financières de faire des transactions en crypto-monnaies, en particulier en bitcoins. Pour mémoire, la faillite de la plateforme sud-coréenne Youbit avait provoqué, le 20 décembre, une sévère correction du bitcoin.
Séoul a annoncé hier vouloir mieux encadrer les plates-formes d’échanges de cryptomonnaies, ce qui a intensifié la pression à la baisse sur le bitcoin.
Kansai Mirai Financial Group, un groupe formé de trois banques régionales japonaises, propriété de Sumitomo Financial Group, cherche à réaliser 35 milliards de yens (260 millions d’euros) de gains d’efficacité sur les cinq prochaines années, a annoncé hier son directeur général Tetsuya Kan dans une interview. La plupart des économies proviendront de la suppression de doublons administratifs, à la suite de la fusion entre les trois banques. Il est ainsi prévu que 400 employés administratifs soient transférés dans les services commerciaux.
Lors de la Journée Nationale des Investisseurs 2017, Nadra Moussalem, directeur général Europe chez Colony NorthStar, Deborah Shire, responsable de l’expertise Structured Finance chez Axa Investment Managers, Anne Courrier, directeur partenariats stratégiques et investissements chez Malakoff Médéric, Marie Lemarié, directeur des investissements chez Groupama et Thierry Giami, fondateur de NOVE im, ont débattu de la mutualisation des investissements sur la dette privée et sur l’immobilier et de la façon de structurer et externaliser les risques liés à la détention de participations.
La sénatrice Dominique Estrosi Sassone a publié un rapport d'information, au nom de la commission des affaires économiques, au sujet des investisseurs privés et institutionnels dans le logement locatif. Si des freins persistent aujourd'hui, une réforme fiscale et la révision de Solvabilité 2 pourrait permettre le retour de ces acteurs sur ce marché.
L’Institut des actuaires et l’Association ActuariaCnam ont fait part avec tristesse du décès de Michel Fromenteau, actuaire agrégé, membre de l’Institut des actuaires. Ancien élève de l’Ecole Nationale de la Statistique et de l’Administration Economique, après un parcours de Commissaire Contrôleur des Assurances, d’abord au Ministère des Finances puis auprès de l’Autorité de Contrôle des Assurances et des Mutuelles, il était depuis 2008, Professeur titulaire de la Chaire d’actuariat du Conservatoire National des Arts et Métiers. Vice-Président du Haut-conseil de l’Institut des actuaires depuis octobre 2015, il fût également membre de la Commission scientifique (de 2003 à 2012) et était membre du jury de l’Institut des actuaires ainsi que de la Commission d’agrément de l’Institut. L’Institut des actuaires rend hommage à l’oeuvre accomplie par Michel Fromenteau au service du mouvement actuariel et présente à sa famille ses très sincères condoléances. La cérémonie se déroulera le 27 décembre 2017 dans l’intimité de ses proches. Un livre d’or sera mis à disposition des membres à l’Institut des actuaires pour celles et ceux qui souhaiteraient y laisser un message ; ce livre d’or sera ensuite remis à la famille de Michel Fromenteau.
Vincent Boyer succèdera en janvier 2018 à Talal Al Rifai, en tant que président-directeur général de la Mutuelle fraternelle d’assurances (MFA), société d’assurance mutuelle spécialiste de l’assurance des taxis.
Dès 2015, Humanis a publié une empreinte carbone de ses portefeuilles et a lancé son programme de réduction des émissions de gaz à effet de serre, au rythme de 2% annuel. Grégory Schneider-Maunoury, responsable ISR du groupe spécialisé dans la protection sociale, se félicite qu’en 2016, la réduction a atteint les 15%. Le groupe a lancé son fonds d’obligations vertes et parle désormais de tonnes de CO2 évitées. L’article 173 a dynamisé la démarche. La mesure de l’empreinte carbone va s’élargir aux obligations d’entreprises et d’Etat en 2018. Selon Grégory Schneider-Maunoury, la gestion ISR ne peut être pérenne que si elle répond clairement à des objectifs réels, telle la transition énergétique.
La réforme de l'impôt sur la fortune va réduire les ressources en dons de ces institutions, contraintes de chercher des alternatives. Avec des fonds et des banques, comme Siparex et Meeschaert, elles étudient des solutions de partage des hauts rendements offerts par le capital-investissement.
Fraîchement créé, le cabinet Hexagone Conseil s’est donné trois ans pour se développer et installer son activité de façon pérenne. Un pari en passe d’être gagné pour les deux gérantes de la structure, qui accompagnent les investisseurs institutionnels sur des missions ponctuelles récurrentes et envisagent d’embaucher un nouveau collaborateur l’année prochaine.
Le groupe BPCE a annoncé hier la nomination de François Riahi au poste de directeur général en charge des finances, de la stratégie et des affaires juridiques, en remplacement de Marguerite Bérard-Andrieu qui va quitter l'établissement bancaire. La banque mutualiste indique dans un communiqué que François Riahi, qui est actuellement coresponsable de la banque de financement et d’investissement (BFI) de sa filiale Natixis, prendra ses nouvelles fonctions le 1er janvier. Compte tenu de la nomination de François Riahi, Marc Vincent devient l’unique responsable de la BFI de Natixis, dont les deux hommes partageaient la responsabilité depuis février 2016, à partir du 2 janvier. «Marguerite Bérard-Andrieu (...) a souhaité poursuivre une nouvelle opportunité professionnelle à l’extérieur du groupe à compter de janvier prochain», fait savoir BPCE.
Ana Harris, directrice des stratégies Actions chez State Street Global Advisors présente la stratégie « Managed Volatility » qui offre une protection en cas de retournement des marchés. Elle explique son intérêt pour les investisseurs institutionnels, ses particularités et le processus d’investissement.
Après une expérience de 20 ans dans le monde du conseil financier en tant que salariée, Laurence Tortosa a fait le pari risqué de se lancer cette année dans la vie entrepreneuriale. En tant qu’associée d’Hexagone Conseil, elle découvre en effet avec plaisir le monde entrepreneurial et, de fait, ses responsabilités vont bien au-delà de l’investissement.
Le gestionnaire d’actifs américain BNY Mellon Investment Management a annoncé, hier, le lancement récent du fonds Dreyfus Global Multi-Asset Income, qui a commencé à offrir ses parts le 30 novembre 2017. Ce nouveau fonds utilise une stratégie mondiale multiclasses d’actifs gérée activement qui se concentre sur la génération de revenus. La société Dreyfus, filiale de BNY Mellon, opère en qualité de conseiller en investissement pour le fonds tandis que Newton Investment Management (North America), également affiliée à BNY Mellon, intervient en tant que sous-conseiller en investissement. Le nouveau véhicule est géré par Paul Flood et Bhavin Shah. Paul Flood, gérant principal du fonds, est gérant de portefeuille au sein de l’équipe en charge des stratégies « multi-asset income » et « multi-asset diversified return ». Il a rejoint Newton en 2006. Pour sa part, Bhavin Shah, qui a rejoint Newton en juin 2011, est gestionnaire d’investissement au sein de l’équipe « multi-asset » de Newton.Dans le cadre de la gestion du fonds, Newton assure l’allocation des investissements du fonds à travers différentes classes d’actifs afin de construire un portefeuille diversifié dédié à la génération de revenus. La société cherche également à conserver le potentiel d’appréciation du capital à long terme, tout en gérant le profil de risques du portefeuille, indique BNY Mellon dans un communiqué. Newton investit dans une large palette d’actifs, à savoir les actions ou des titres assimilés aux actions, des dettes ou instruments assimilés à de la dette et, dans une moindre mesure, dans l’immobilier, les matières premières et les infrastructures dans les marchés développés et émergents.
Le cours du bitcoin a brièvement chuté ce matin sous les 13.000 dollars avant de se reprendre légèrement. En milieu de journée, selon Coinmarketcap, la cryptomonnaie chutait encore de 17,78% à 13.841 dollars. Elle a perdu un quart de sa valeur en une semaine.