Dans une affaire récemment jugée, la Cour de cassation se prononce sur la possible réintégration des donations reçues par une épouse d’un héritier dans le rapport successoral.
La société d’investissement prévoit le lancement de trois véhicules au cours du premier semestre, parallèlement au développement de ses autres stratégies.
L’Autorité de régulation bancaire britannique, la FCA, inflige une amende de 16,7 millions de livres sterling (plus de 20 millions d’euros) à Metro Bank pour manquement aux contrôles de lutte contre le blanchiment et défaut de surveillance des transactions.
Le banquier quitte la direction générale de la succursale française J. Safra Sarasin un an seulement après son ouverture, pour prendre la responsabilité de l'équipe Wealth Management de la banque luxembourgeoise.
Comprenant Indosuez Wealth Management et la banque privée de LCL, ce périmètre a généré, au troisième trimestre, un produit net bancaire de 397 millions d'euros en progression de 56,6%. Une hausse également imputable à l'intégration de Degroof Petercam.
De passage à Paris, la dirigeante d'Apex, l’équipe de Goldman Sachs PWM dédiée à la couverture des family offices au niveau mondial, partage en exclusivité à l'Agefi sa vision du monde des family offices et les tendances de marché.
L’élection du 5 novembre aura des répercussions majeures sur le monde. Une victoire de Kamala Harris avec un Congrès divisé devrait mener à une continuité de la politique économique actuelle des Etats-Unis. Celle de Donald Trump pourrait entraîner d’importantes variations.
Bertrand Cozzarolo, le directeur des activités de banque privée va prendre au 1er novembre, la co-direction de la banque de détail. Il est remplacé par Mathieu Vedrenne, le directeur adjoint. Ce changement intervient dans un contexte de cession d'actifs de cette activité à l'international.
La banque suisse a généré un bénéfice net de 1,42 milliard d'euros, soit le double du consenus des analystes. Portés par une activité transactionnelle plus importante que prévu, les activités gestion de fortune et de banque d'investissement progressent.
A l'occasion de la publication de résultats trimestriels supérieurs aux attentes, la banque britannique a dévoilé son intention d'investir 1,5 milliard de dollars en cinq ans dans son activité de gestion de fortune.
Après avoir subi en février dernier un revers devant le Conseil d’Etat, les autorités publiques veulent revoir la fiscalité des bons de souscription de parts de créateur d'entreprise (BSPCE), un des instruments de l’actionnariat salarié.
Dans son étude sur les tendances de long terme des marchés de capitaux, JPMorgan Asset Management table sur un environnement de taux plus élevé favorisant les marchés obligataires et souligne le rôle central de l'IA dans la croissance économique.
La collecte des SCPI enregistre un repli de 11% entre le deuxième et troisième trimestre. Les SCI s’enlisent à nouveau tandis que près de deux ans après avoir basculé en territoire négatif, les OPCI remontent légèrement la pente.
La nouvelle ère économique risque de creuser les écarts entre les bons et mauvais gérants, prédit le groupe américain dans ses perspectives annuelles 2025.
La faillite de Credit Suisse a provoqué une onde de choc dans le système financier helvétique, entraînant une décollecte record. La Suisse reste tout de même le centre de gestion de patrimoine le plus compétitif, suivie de Singapour et des Etats-Unis.
Le groupe d’investissement immobilier alternatif a annoncé coup sur coup le lancement d’une gamme de produits structurés quelques jours après celui de sa première SCPI.
Les socialistes ont fait adopter un amendement réhaussant la durée légale de détention d’une résidence principale à 5 ans pour bénéficier de l’exonération fiscale sur les plus-values de cession et éviter les "culbutes spéculatives".
En première lecture, les élus ont maintenu en séance plénière le taux du prélèvement forfaitaire unique à 30%, et réintroduit la condition de détention de quinze ans des actions, pour bénéficier de l'exonération de l’exit tax sur les plus-values latentes, en cas de départ d’un dirigeant actionnaire à l’étranger.
Les élus entendent graver dans le marbre le taux plancher d’imposition de 20% pour les foyers dont le revenu est supérieur à 500.000 euros par an. Si les députés ne terminent pas l’examen des 3.700 amendements d’ici vendredi, la version initiale du PLF 2025 sera envoyée au Sénat qui devra trancher.
Arrivés en force après la pandémie de Covid-19, ces acteurs veulent s’imposer dans le paysage ultra-concurrentiel français en misant sur leur profil international tant au niveau des clients que de l’offre.