KKR a annoncé le 11 février avoir finalisé l’acquisition de 60% de la société indienne Ramky Enviro Engineers, spécialisée dans la gestion des déchets, pour environ 510 millions de dollars (450,3 millions d’euros). C’est la deuxième acquisition de la firme dans l’impact investing. En décembre, KKR avait ainsi annoncé le rachat de Barghest Building Performance, une entreprise singapourienne proposant des solutions d’économies d’énergie, pour 33 millions de dollars. Cet investissement en Inde se fait via le fonds KKR Asian Fund III.
Patrick Folléa qui était précédemment directeur délégué de Société Générale Private Banking et directeur de Société Générale Private Banking France est nommé responsable de la Business Unit Gestion d’Actifs et Banque Privée,
UBS has recruited Christian Rosset to direct a new wealth management team to add to the corporate banking offerings aimed at entrepreneur clients, Reuters reports. According to the press agency, the Swiss bank is seeking to bring dynamism to its activities, by increasing the overlap between wealth management, investment banking, and corporate banking services in Europe, the Middle East and Africa. “The majority of the new clients we are attracting are already entrepreneurs. If we build a small, efficient team of people in investment or corporate banking, who know our product offerings perfectly, then we can build a bridge to wealth management,” Christine Novakovic, director of wealth management for the EMEA region, tells Reuters.
UBS vient de recruterChristian Rosset pour diriger unenouvelle équipe de gestion de fortune chargée de renforcer les offres de banque d’entreprise destinées aux clients entrepreneurs, rapporte Reuters. Selon l’agence de presse, la banque suisse cherche ainsi à dynamiser son activité en renforçant les croisements entre la gestion de fortune et ses moyens dans la banque d’investissement et les services bancaires aux entreprises en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique (EMEA). «La majorité des nouveaux clients que nous attirons sont des entrepreneurs. Si nous constituons une petite équipe efficace de personnes issues de la banque d’investissement ou de la banque d’entreprise et qui connaissent parfaitement notre offre de produits, nous pourrons alors jeter un pont vers la gestion de patrimoine»,», a ainsi déclaré à Reuters Christine Novakovic, directrice de la gestion de patrimoine pour la région EMEA.
Selon les résultats de l’étude menée par l’Observatoire du Family Office auprès de 500 professionnels du patrimoine (notaires, avocats et experts-comptables),l’activité du multi-family office ne peut être exercée que par une structure indépendante. En effet, plus de deux-tiersdes interrogés a mis en avant le caractère crucial de l’indépendanceet a plébiscitéune facturation sous forme d’honoraires. Autre point soulevé par l'étude : l’accès aux services des family offices. Ainsi, près de 98% des professionnels du patrimoine ayant répondu à l’enquête ne voient plus le multi-family office comme un service élitiste, le seuil parfois évoqué de 20 millions d’eurosn’ayant plus lieu d’être. 60% de ces professionnels du patrimoine considèrent d’ailleurs l’utilité de l’accompagnement d’un family office pour un patrimoine d’un million d’euros. Enfin, 100% des interrogés déclarent un intérêt à travailler en partenariat avec un multi-family office. Obtenir une vision globale du patrimoine du client et augmenter leur proactivité sur les clients existants apparaissent comme les principales raisons invoquées à ce partenariat. Ils déclarent plébisciter l’intervention des multi-family offices en premier lieu sur des sujets d’ingénierie patrimoniale (91%), de gouvernance familiale (70%) et de contrôle des risques (61%). Le conseil en investissement financier n’apparaît qu’en 7e position (51%). La philanthropie, phénomène assez récent, représente déjà 32%.
L’activité du multi family office ne peut être exercée que par une structure indépendante, selon une étude publiée par Agami auprès de professionnels du patrimoine.
L’année débute mal pour les gestionnaires de fortune d’UBS. La banque suisse serait en train de prévenir certains d’entre eux, en Europe et en Asie, de s’attendre à des chutes de leurs bonus pouvant aller jusqu’à 20% au titre de l’exercice 2018, avançait vendredi Bloomberg. De fait, la division de gestion de fortune, sur laquelle le groupe helvétique avait pourtant mis l’accent ces six dernières années, a accusé une chute de 22% de son bénéfice avant impôts, au cours des trois derniers mois de 2018, sur un an glissant. Ce pôle a subi une décollecte nette de 7,9 milliards de dollars (7 milliards d’euros) d’octobre à décembre, la forte volatilité des marchés ayant incité les investisseurs à la prudence.
L’année débute mal pour les gestionnaires de fortune d’UBS. La banque suisse serait en train de prévenir certains d’entre eux, en Europe et en Asie, de s’attendre à des chutes de leurs bonus pouvant aller jusqu’à 20%, au titre de l’exercice 2018, selon Bloomberg. Et pour cause : la division de gestion de fortune, sur laquelle le groupe helvétique avait pourtant mis l’accent ces six dernières années, a accusé une chute de 22% de son bénéfice avant impôts, au cours des trois derniers mois de 2018, sur un an glissant. Ce pôle a subi une décollecte nette de 7,9 milliards de dollars d’octobre à décembre, la forte volatilité des marchés ayant incité les investisseurs à la prudence.
Midas Family Office, filiale de Midas Wealth Management, a nomméDelphine Benhaimen tant que directrice générale, a appris NewsManagers. La nomination, publiée au Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales (Bodacc) le 16 décembre 2018 fait suite au départ de Sabrina Mingaud, qui occupait le poste depuis 2016. Delphine Benhaim est diplômée du Master 203 de finance des marchés de l’Université Paris Dauphine et titulaire du DU Expert en gestion de patrimoine de l’Aurep. Avant de rejoindre Midas Family Office, elle a passé la totalité de sa carrière chez UBS Wealth Management entre 1998 et 2018 où elle a occupé différents postes de commerciale, conseillère financier et executive director.
En 2018 a été l’une des années de placement les plus faibles depuis la crise financière de 2008, révèle Swisscanto dans son Moniteur des caisses de pension. Les institutions de prévoyance ont réalisé un rendement pondéré en fonction de la fortune évalué à -3,53%. Toutes les catégories d’actifs, hormis les obligations en francs suisses et l’immobilier suisse direct, on livré une contribution négative au rendement en 2018. Conséquence directe de ces pertes sur les placements : les réserves en pourcentage des engagements des institutions de prévoyance suisses ont presque diminué de moitié en 2018, passant de 14,4% à 7,7% en moyenne. «Toutefois, avec un taux de couverture moyen estimé à 107,7%, les institutions de prévoyance privées sont toujours plus qu’entièrement couvertes», estime Swisscanto. Fin 2018, 91,6% des institutions de prévoyance privées et 74,4 des caisses publiques à capitalisation totale enregistrent d’une couverture d’au moins 100%. AB.
Un think tank dédié à la WealthTech à Genève et à l’international a été inauguré hier chez Synergy Asset Management, rapporte L’Agefi suisse. Présidé par Jay Oberai, CEO de Synergy Asset Management, il réunit des dirigeants de banques privées et des gestionnaires de fortune indépendants, en collaboration avec l’Etat de Genève. Le comité est composé initialement de membres, tels que: Pasha Bakthiar, Partner à la banque privée Reyl & Cie, qui veut encourager le proof of concept des start-up; Olivier Bizon, président et co-fondateur, 1875 Finance, pour qui le networking digital avec les clients est important; Patrick Hunger, CEO Saxo Bank Suisse, dont les deux obsessions sont le client et la technologie; Riccardo Pianeti, VP Citi Private Bank, Global Investment Lab et Michael Kleiner, observateur, DG DERI (Direction générale du développement économique de la recherche et de l’innovation), Etat de Genève. «Le comité des gestionnaires de fortune genevois sera le premier think tank à penser et implémenter les idées et les initiatives technologiques dans le domaine de la WealthTech», résume Jay Oberai, membre fondateur.
Première banque européenne à publier ses résultats trimestriels, UBS a déçu les investisseurs. Après avoir dégagé des résultats inférieurs aux attentes au quatrième trimestre, caractérisé par des conditions « historiquement difficiles », selon son directeur général Sergio Ermotti, la banque suisse a dit s’attendre à un début d’année compliqué.
Le rapprochement entre AG2R La Mondiale et Matmut, en cours depuis plus d’un an, a porté sur les fonts baptismaux le nouveau groupe AG2R La Mondiale Matmut le 1er janvier 2019 (Matmut et AG2R La Mondiale conservent cependant chacun leur marque et identité propre). « Les deux années qui suivent doivent permettre de mener les travaux de convergence et d’organisation managériale entre les équipes, après avis et consultation des instances représentatives du personnel », indique Nicolas Gomart, directeur général délégué du groupe, au cours d’une conférence de presse, mardi 22 janvier. La construction du nouveau groupe doit ainsi faire émerger une direction financière commune avec à sa tête David Simon comme responsable des Investissements, finances et risques, un poste qu’il occupait déjà au niveau d’AG2R La Mondiale. David Simon sera responsable du pilotage financier du groupe et siégera au comité de direction du nouvel ensemble dirigé par André Renaudin (AG2R La Mondiale), directeur général et Nicolas Gomart (Matmut), directeur général délégué. Venant de la direction financière de Matmut, Stéphane Muller participera aussi aux réunions du comité de direction groupe au titre de responsable de la planification et des projets de transformation. Une stratégie d’investissement commune Un comité d’investissement unique, composé d’administrateurs de la SGAM (société de groupe d’assurance mutuelle) AG2R La Mondiale Matmut sera créé, ainsi qu’un comité unique pour l’audit et les risques au niveau de cette SGAM faîtière. « Une politique d’investissement commune sera définie et pourra être déclinée à l’ensemble des sociétés du groupe », explique André Renaudin. Les deux maisons présentent au 1er janvier 2019 un portefeuille global de 122 milliards d’actifs (assurantiel et retraite complémentaire). Des collaborations vont s'établir entre les équipes de gestion d’actifs d’AG2R La Mondiale Gestion d’actifs et celles d’OFI AM dont Matmut est actionnaire à hauteur de 26%. Les équipes travailleront ensemble de manière plus étroite et échangeront les meilleures pratiques sur l’ensemble des classes d’actifs : la gestion actions, de fonds, obligataire et l’immobilier, explique André Renaudin. « Les membres du comité de direction du groupe vont faire des propositions de convergences sur tous les sujets. AG2R La Mondiale dispose de sa société captive en gestion d’actifs et OFI AM, dont Matmut est actionnaire, a développé une activité pour des tiers. Les entités cohabiteront », indique Nicolas Gomart, directeur général délégué du groupe. 650M€ de synergies d’ici à 2022 Sur la plan financier, le groupe optimise de facto son bilan grâce à une diversification des risques entre les univers IARD et les assurances de personnes. Le nouveau groupe AG2R La Mondiale Matmut présente 8 milliards d’euros de fonds propres et une solvabilité réglementaire de plus de 200%. D’autres synergies et optimisations de moyens doivent être dégagées au cours des deux années qui suivent et qui représentent l’horizon des plans d’entreprises des deux groupes. Au 1er janvier 2021, un autre plan de développement sera lancé. Au total, le groupe espère réaliser 650 millions d’euros de synergies d’ici à 2022. « Les collaborateurs sont contents de ce rapprochement qui ne se fait pas à marche forcée », assure un cadre de Matmut. Les complémentarités sont fortes entre les deux maisons. AG2R La Mondiale dispose d’avantages comparatifs sur la retraite complémentaire, l’épargne assurance-vie et la retraite supplémentaire avec une forte présence sur les entreprises, les PME et les professionnels. Matmut, à l’inverse, cible le marché des particuliers à travers l’assurance dommages. Le rapprochement doit permettre au nouveau groupe « de couvrir l’ensemble des métiers de l’assurance sauf l’assurance construction et la réassurance », souligne Nicolas Gomart. Le nouveau groupe représente 31 milliards de primes collectées dont 19 milliards en retraite complémentaire (2eme sur le marché) et près de 12 milliards d’euros pour les activités assurantielles (prévoyance, santé, IARD, assurance-vie épargne, retraite supplémentaire). Enfin, L’Agefi rappelle que cette opération de rapprochement ne sera pas la dernière. «S’il existe des opportunités d’accueil d’autres mutuelles, dans le contexte actuel de concentration du secteur, nous regarderons les dossiers», a déclaré mardi André Renaudin. «Solimut doit nous rejoindre le 1er janvier 2020», a pour sa part rappelé Nicolas Gomart, ajoutant qu’il n’était «pas impossible qu’il y ait d’autres projets de ce type.» S’il est un dossier en cours d’examen, c’est bien celui de la Mutuelle Générale, l’ex-mutuelle des PTT. Ce rapprochement envisagé par AG2R La Mondiale seule, à l’époque, «est toujours à l’état de projet. La Mutuelle Générale a lancé un processus de consultation, auquel AG2R avait très vite répondu. AG2R La Mondiale Matmut est aujourd’hui engagée dans ce projet», a indiqué André Renaudin. Un conseil d’administration de la Mutuelle Générale doit d’ailleurs se tenir cette semaine, conseil au cours duquel la proposition d’AG2R La Mondiale sera examinée, selon une source proche du dossier. TV
L’Association Française du Family Office (AFFO) vient de publier son sixième livre blanc intitulé «La gestion des risques pour les familles». Il vise à sensibiliser les familles à l’éventail de risques auxquels elles peuvent être confrontées, mais aussi à livrer aux family officers la palette d’outils du risk manager."L’idée maîtresse de ce guide pratique est de livrer aux family officers une sorte de couteau suisse pour qu’en leur qualité de chef d’orchestre légitime, de « private risk manager », ils s’interrogent sur les risques potentiels propres à chaque famille ; qu’ils soient capables de les identifier, les analyser pour les gérer dans le temps. L’audit familial et patrimonial qui consiste à étudier l’organisation familiale, juridique, fiscale et financière n’est rien d’autre que l’étude des risques d’une famille», explique Rémi Béguin, président de la commission qui a travaillé à la rédaction de cet ouvrage. «Protéger la famille, y compris d’elle-même, est l’une des missions fondamentales d’un family officer». Thierry de Poncheville, vice-président de l’AFFO Audit patrimonial et familial, autoévaluation, recueil d’incidents, observation de l’entourage, auto-exposition au risque, mise en place d’indicateurs, le livre blanc propose des outils au family officer pour l’aider à établir, sur la base d’éléments concrets, une véritable cartographie des risques. Le livre blanc vise également à énumérer, de la façon la plus exhaustive possible, les risques auxquels s’exposent les familles fortunées. Le plus évident étant le risque financier, mais le spectre est en réalité beaucoup plus large.
Les banques suisses sont bien positionnées en termes d’expertise liée à la numérisation mais elles accusent un retard, à l’échelle européenne, dans la mise en œuvre en mesures concrètes. C’est l’une des conclusions d’une étude sur l’état d’avancement du secteur dans le tournant numérique, réalisée par le Swiss Finance Institute (SFI) ainsi que le cabinet Zeb, rapporte L’Agefi suisse. Les banques suisses ont conscience du risque d’être reléguées au second plan par de nouveaux entrants si elles ne prennent pas des contre-mesures efficaces et ne considèrent pas la numérisation comme une opportunité. Mais, ainsi que le soulignent les auteurs, «les spécificités du système bancaire suisse, avec l’importance du conseil personnalisé dans la gestion privée», expliquent cette perception. Les banques suisses privilégient une approche intelligente de «premier suiveur» ou «fast follower». Mais, ce faisant, elles doivent éviter le piège de «l’effet Kodak» selon les auteurs. L’ancien géant américain de la photographie avait perçu très tôt le potentiel disruptif du numérique mais n’avait pas réussi à entrer dans ce processus au moment opportun.
A change of owners is in the works for Château Dauzac. MAIF, which had acquired the estate in 1988, has announced that it has entered into “exclusive negotiations” with the Roulleau family office to sell it the estate. The Château Dauzac, fifth Grand Cru Classé de Margaux, is a 120-hectare estate constructed around a 49-hectare vineyard, with a single tenant, immediately next to the Gironde. Today, it is one of the Margaux properties most engaged in biodiversity, and it is continuing to strengthen its status as a pioneer in technical and agricultural advances. MAIF, committed to ensuring the survival of the Dauzac name and its ongoing projects, was won over by the personality of Christian Roulleau, a French entrepreneur and founder of Samsic, a company specialised in corporate services. The insurer has also announced that it appreciates the fact that “this invitation to make an acquisition comes as part of a long-term wealth management objective.” Before joining MAIF, Château Dauzac was owned by several major, politically and economically influential families. The mutual insurance company was encouraged by public bodies to acquire the chateau at the time of its purchase, as part of an effort to avoid sale to a foreign buyer.
Changement de propriétaire pour le Château Dauzac. La MAIF, qui avait racheté le domaine en 1988, a annoncéêtre entrée «en négociation exclusive» avec le family office Roulleau pour lui céder le domaine. 5ème Grand Cru Classé de Margaux, le Château Dauzac est un domaine de 120 hectares articulé autour d’un vignoble de 49 hectares d’un seul tenant,à proximité immédiate de la Gironde. Aujourd’hui, il compte parmi les propriétés de Margaux les plus impliquées dans la biodiversité, et continue de renforcer son statut de pionnier à la faveur d’avancées techniques et agronomiques. Attachée à pérenniser l’identité de Dauzac et les projets mis en œuvre, la MAIF a été séduite par le profil de Christian Roulleau, entrepreneur français fondateur de Samsic, société spécialisée dans le service aux entreprises. L’assureur a par ailleurs indiqué avoir apprécié le fait que «cette proposition d’acquisition s’inscrivedans un objectif patrimonial de long terme». Avant d’appartenir à la MAIF, le Château Dauzac a été la propriété de plusieurs grandes familles à forte influence politique et économique. A l'époque, la société d’assurance mutuelle avait fait l’acquisition du château poussée par les pouvoirs publics, lesquels souhaitaient éviter une acquisition étrangère.
Cette fois, c’est fait ! Nous annoncions son départ en décembre dernier de C-Quadrat AM France et son arrivée imminente au sein d’une nouvelle société de gestion... Lucas Strojny a officiellement rejoint les équipes d’Amilton AM début janvier où il intégrera l'équipe de gestion diversifiée dirigée par François Pascal en tant que gérant. «Nous sommes très heureux de l’arrivée de Lucas que nous connaissions déjà bien et avec qui nous partageons la même philosophie d’investissement. Son profil expérimenté et complémentaire nous permettra d’accompagner nos ambitions de développement sur la gestion multi classes d’actifs. Il prendra notamment en charge la gestion de plusieurs fonds de notre gamme et participera activement au lancement de nouvelles stratégies au cours de l’année 2019", a précisé à Newsmanagers François Pascal, directeur de la gestion diversifiée d’Amilton AM. Lucas Strojnya débuté sa carrière en 2006 en tant qu’analyste quantitatif chez Avenir Finance Investment Managers puis gérant de portefeuilles spécialisé en allocation d’actifs et gestion quantitative. En 2009, il rejointRMA AM, la filiale de gestion d’actifs du groupe privé marocain FinanceCom, où il était en charge du développement de l’activité de multigestion alternative ainsi que de la gestion de fonds pour les différentes entités de la holding pendant 6 ans. Depuis 2016, il était responsable de la gestion sous mandat chezC-Quadrat AM France (initialement Advenis Investment Managers).
Le groupe Julius Baer a renforcé son équipe de conseillers outre-Rhin de cinq collaborateurs supplémentaires, rapporte l’agence AWP.Le gestionnaire de fortune zurichois poursuit ainsi son expansion en Allemagne, après y avoir déjà étoffé ses effectifs et ouvert deux nouveaux bureaux à Hanovre et à Berlin l’année dernière. Andreas Beier, Matthias Luck et Anke Werdecker,trois anciens conseillers d’UBS, vont grossir les rangs du bureau francfortois alors que celui de Kiel verra arriver Klaus-Erik Treiber, jusqu’ici actif dans le conseil en patrimoine et la gestion auprès de Merck Finck, et celui d’Hanovre Lars Jendrtzok, ex-banque Hallbaum. Toujours en janvier, l’unité «Wealth Planning» sera renforcée à Munich avec l’arrivée d’Alexandra Kolb, jusqu’ici au service de HypoVereinsbank.
Partenariat avec un centre de recherche biomédicale, collaboration avec une Chaire, rédaction d'ouvrages de recherche... Les initiatives d'AG2R La Mondiale en faveur de la recherche académique ne manquent pas. Philippe Dutertre, directeur au sein de la direction des investissements et François-Marie Geslin, membre du comité exécutif en charge des activités sociales et de l’engagement sociétal, détaillent les initiatives du groupe, lauréat du Prix de la meilleure initiative en matière de soutien à la recherche académique des Couronnes Instit Invest 2018.
Le gestionnaire de fortune Tilney, vient d’annoncer son intention d’acquérir Index Wealth Management. Tilney confirme ainsi ses ambitions affichées en juillet dernier lors de la présentation de ses résultats. Créée en 2004 par Les Phillips et Noel Farrely, Index Wealth Management est une société de gestion de fortune basée àSutton Coldfield en Angleterre et comptant douze employés. Elle compte des actifs sous conseils d’environ 243 millions de livres pour une clientèle constituée d’entrepreneurs et de «high net worth individuals» (HNWI) pour un ticket moyen d’un peu plus d’un million de livres. La firme est spécialisée dans l’utilisation de fonds passifs et smart beta. «Nous avons augmenté notre présence dans la région Midlands ces dernières années et cette acquisition va encore assoire notre position en tant que leader de la gestion de fortune dans la région. Nous allons continuer à explorer de nouvelles opportunités d’acquisition au Royaume-Uni», indiqueChris Woodhouse, président de Tilney, cité dans un communiqué. L’opération est encore soumise à l’approbation des autorités de régulation.