La production de nouveaux crédits à la consommation a progressé sur un an de 1,3% en mars, a rapporté hier l’Association française des sociétés financières (ASF). Sur l’ensemble du premier trimestre, l’activité est en hausse de 3,2% par rapport aux trois premiers mois de 2017. «La phase de redressement du marché enclenchée depuis 2015 se poursuit», constate l’ASF, en pointant une hausse de 3,3% sur douze mois cumulés à fin mars. La plus forte hausse a été enregistrée par les financements d’automobiles d’occasion, avec une progression de 10,1% sur un an en mars. Pour les financements d’automobiles neuves, l’augmentation est de 7,8%, tandis que les prêts personnels ont stagné (-0,4%).
La production de nouveaux crédits à la consommation a progressé sur un an de 1,3% en mars, rapporte l’Association française des sociétés financières (ASF). Sur l’ensemble du premier trimestre, l’activité est en hausse de 3,2% par rapport aux trois premiers mois de 2017. « La phase de redressement du marché enclenchée depuis 2015 se poursuit », constate l’ASF, en pointant une hausse de 3,3% sur douze mois cumulés à fin mars.
Après une nette accélération au quatrième trimestre 2017, la croissance de l’affacturage a ralenti au premier trimestre 2018. Avec 73 milliards d’euros de créances prises en charge au cours des trois premiers mois de l’année, l’activité affiche une hausse de 9% sur un an, contre un bond de 13,5% au quatrième trimestre 2017. A fin mars, la production cumulée sur douze mois atteint 296,6 milliards d’euros, soit une progression sur un an de 8,5%, après une hausse de 8,4% à fin décembre.
La Fédération française de l’assurance et la Caisse des dépôts ont annoncé hier le lancement des fonds de prêts à l’économie Novo 2018. Dotés de plus de 470 millions d’euros, les fonds sont gérés par BNP Paribas Asset Management et Tikehau Investment Management, qui cibleront chacun une vingtaine d’entreprises. Ils accorderont des financements à des PME-ETI non cotées, d’un montant de 10 à 50 millions d’euros, d’une durée de sept ans maximum, avec un remboursement de capital à terme. La durée de vie des véhicules est de dix ans.
La Fédération française de l’assurance et la Caisse des dépôts ont annoncé jeudi le lancement des fonds de prêts à l'économie Novo 2018. Dotés de plus de 470 millions d’euros, les fonds sont gérés par BNP Paribas Asset Management et Tikehau Investment Management qui cibleront chacun une vingtaine d’entreprises. Ils accorderont des financements à des PME-ETI non-cotées d’un montant de 10 à 50 millions d’euros, d’une durée de 7 ans maximum avec un remboursement de capital à terme. La durée de vie des véhicules est de 10 ans.
Netflix a annoncé hier qu’il allait revenir sur le marché obligataire en empruntant 1,5 milliard de dollars (1,23 milliard d’euros). Le produit net de l’émission servira à des projets d’ordre général, qui peuvent comprendre des acquisitions et de la production de contenus. Netflix, qui avait déjà emprunté 1,6 milliard de dollars en octobre 2017 à un taux de 4,875% sur dix ans, a dit qu’il comptait investir près de 8 milliards de dollars dans les contenus cette année. Selon le courtier CreditSights, la société pourrait émettre une seule tranche de dette à dix ans et demi, dont le rendement pourrait s’établir entre 5,75% et 6%, selon des discussions préliminaires.
Le promoteur immobilier Pierreval a émis son tout premier Euro PP, pour un montant de 20 millions d’euros. Les obligations paient un coupon de 5,40%, pour une maturité de 5 années. «Ces nouvelles ressources financières permettront au groupe de finaliser la réalisation de ses 255 millions d’euros de réservations nettes (+237% en deux ans) et de mettre en oeuvre les 3.500 lots nets signés sous promesse en 2017», explique le promoteur. Le groupe vise un chiffre d’affaires de 450 millions d’euros d’ici à 2021. L’Euro PP a été arrangé par Oddo BHF.
Netflix a annoncé aujourd’hui qu’il allait revenir sur le marché obligataire en empruntant 1,5 milliard de dollars (1,23 milliard d’euros). Le produit net de l'émission servira à des projets d’ordre général, qui peuvent comprendre des acquisitions et de la production de contenus. Netflix, qui avait déjà emprunté 1,6 milliard de dollars en octobre 2017, a dit qu’il comptait investir près de 8 milliards de dollars dans les contenus cette année.
Abéo a émis un Euro PP inaugural d’un montant de 20 millions d’euros. Les obligations ont une maturité de 7 ans. Elles ne sont pas cotées. Le coupon n’est pas communiqué. «En parallèle de ses financements bancaires traditionnels, cette première émission permettra à Abéo d’allonger la maturité moyenne de son endettement tout en diversifiant sa base de prêteurs auprès d’investisseurs institutionnels», explique le fabricant d'équipements sportifs. L’Euro PP a été arrangé par CA CIB, avec CMS Francis Lefebvre comme conseil. Abéo était conseillé par Lamy Lexel.
Novares a annoncé la signature d’un crédit syndiqué pour un montant total de 300 millions d’euros. Celui-ci vise à « refinancer une partie de la dette existante en devises et le prêt en dollars qui avait été contracté lors de l’acquisition de Key Plastics par Mecaplast en 2017, ainsi qu’à renforcer la liquidité du groupe et ses moyens de financement dans le cadre de son plan de croissance moyen terme », indique l'équipementier automobile qui a renoncé en début d’année à son projet d’introduction en Bourse.
Angela Merkel s’est prononcée hier pour la transformation de l’actuel Mécanisme européen de stabilité (MES) en un Fonds monétaire européen (FME) placé sous contrôle des Etats membres, lors d’une intervention devant les parlementaires de son camp conservateur au Bundestag. La chancelière, qui doit évoquer la réforme de la zone euro aujourd’hui avec Emmanuel Macron, a par ailleurs souhaité que ce fonds soit intégré à la législation européenne via une modification des traités mais elle n’en fait toutefois pas une condition.
Iliad, maison mère de l’opérateur télécoms Free, a annoncé hier avoir émis avec succès deux emprunts obligataires d’un montant total de 1,15 milliard d’euros, en précisant qu’il s’agissait «de la plus importante émission obligataire pour un émetteur non noté depuis cinq ans». La première tranche a un montant de 500 millions d’euros, une durée de 3,5 ans et porte un coupon annuel de 0,625%. La seconde s’élève à 650 millions d’euros, a une durée de 7 ans et offre un coupon annuel de 1,875%
La société de financement du groupe Paragon ID a placé un second emprunt obligataire, de 54 millions d’euros, qui vient s'ajouter aux 52 millions émis fin 2016.
Fnac Darty a annoncé avoir finalisé hier la renégociation des conditions financières et l’allongement de la maturité des facilités de crédit signées le 20 avril 2016 avec ses partenaires bancaires. La maturité finale de l’emprunt à terme, d’un notionnel de 200 millions d’euros, a été prolongée de deux ans à avril 2023, avec un calendrier d’amortissement lui aussi décalé de deux ans. La maturité de la ligne revolving d’un notionnel de 400 millions d’euros a également été étendue à avril 2023.
Total, via son fonds d’investissement dans les start-up Total Energy Ventures, a pris une participation dans la société américaine Ionic Materials, spécialisée dans les matériaux innovants pour batteries, a déclaré mercredi le groupe français. Le montant de la transaction n’a pas été communiqué. Ionic Materials avait annoncé en février avoir sécurisé un financement de 65 millions de dollars auprès d’un groupe d’investisseurs financiers et stratégiques.
Angela Merkel s’est prononcée aujourd’hui pour la transformation de l’actuel Mécanisme européen de stabilité en un Fonds monétaire européen (FME) placé sous contrôle des Etats membres, lors d’une intervention devant les parlementaires de son camp conservateur au Bundestag, rapportent plusieurs d’entre eux. La chancelière, qui doit évoquer la réforme de la zone euro demain avec Emmanuel Macron, a par ailleurs souhaité que ce fonds soit intégré à la législation européenne via une modification des traités mais elle n’en fait pas une condition.
Le conseil d’administration d’Intesa Sanpaolo a approuvé hier l’accord annoncé lundi soir avec le spécialiste suédois du recouvrement de créances Intrum Justitia qui permettra à la banque italienne de faire passer son ratio de prêts non performants sous la barre de 10%. Dans le cadre de cet accord, Intrum Justitia va acquérir 51% de Capital Light Bank, la filiale de recouvrement créée en 2014 par Intesa SanPaolo, et 51% d’un portefeuille de créances douteuses d’une valeur comptable brute de 10,8 milliards d’euros, qui sera déconsolidé d’Intesa.
RBS a annoncé hier qu’elle verserait 2 milliards de livres sterling (2,32 milliards d’euros) à son fonds de retraite en 2018, et qu’elle procéderait à d’autres versements d’un montant pouvant atteindre 1,5 milliard de livres à partir de 2020, en vue de l’application de la législation sur la séparation bancaire au Royaume-Uni. Cet accord représente une étape importante en vue de la reprise ultérieure du versement d’un dividende à ses actionnaires. La banque d’origine écossaise a indiqué que ces paiements à son fonds de pension serviraient à compenser la perte du soutien de certaines entités du groupe après 2026, une mesure dictée par la législation britannique sur la séparation des activités des banques. Elle a précisé que le versement initial réduirait son ratio de fonds propres CET1 de 80 points de base sur une base pro forma et que cet impact sera comptabilisé dans ses comptes du deuxième trimestre 2018.
Le conseil d’administration d’Intesa Sanpaolo a approuvé aujourd’hui l’accord annoncé hier soir avec le spécialiste suédois du recouvrement de créances Intrum Justitia qui permettra à la banque italienne de faire passer son ratio de prêts non performants sous la barre de 10%. Dans le cadre de cet accord, Intrum Justitia va acquérir 51% de Capital Light Bank, la filiale de recouvrement créée en 2014 par Intesa SanPaolo, et 51% d’un portefeuille de créances douteuses d’une valeur comptable brute de 10,8 milliards d’euros, qui sera déconsolidé d’Intesa.
Après avoir pris part à deux levées de fonds de la plate-forme de prêts participatifs Lendix, via sa structure Matmut Innovation, le groupe Matmut a annoncé aujourd’hui qu’il intégrait l’offre de Lendix aux solutions proposées à ses entreprises clientes. Les PME éligibles devront avoir dégagé un chiffre d’affaires supérieur à 250.000 euros sur leur dernier exercice. Ce partenariat «concrétise une nouvelle fois l’intérêt historique du groupe mutualiste pour les acteurs de l’économie réelle ainsi que son dynamisme sur le marché des professionnels», relève la Matmut. Ce marché représentait en 2016 près de 8% du chiffre d’affaires global du groupe, qui compte actuellement plus de 120.000 entreprises clientes.
Altran a mené à bien son augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription pour un montant brut d’environ 750 millions d’euros. Le produit net servira à rembourser une partie de la dette contractée par le groupe de R&D externalisée pour acheter Aricent. Un peu plus de 81,2 millions d’actions nouvelles ont été créées. La demande totale s’est élevée à environ 1,177 milliard, correspondant à un taux de souscription d’environ 157%. L’augmentation de capital était garantie par un syndicat bancaire comprenant Crédit Agricole CIB, Goldman Sachs et Morgan Stanley.
Après avoir pris part à deux levées de fonds de la plate-forme de prêts participatifs Lendix, via sa structure Matmut Innovation, le groupe Matmut a annoncé aujourd’hui qu’il intégrait l’offre de Lendix aux solutions proposées à ses entreprises clientes. Les PME éligibles devront avoir dégagé un chiffre d’affaires supérieur à 250.000 euros sur leur dernier exercice. Ce partenariat «concrétise une nouvelle fois l’intérêt historique du groupe mutualiste pour les acteurs de l’économie réelle ainsi que son dynamisme sur le marché des professionnels», relève la Matmut. Ce marché représentait en 2016 près de 8% du chiffre d’affaires global du groupe, qui compte actuellement plus de 120.000 entreprises clientes.
Altran a mené à bien son augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription pour un montant brut d’environ 750 millions d’euros. Le produit net servira à rembourser une partie de la dette contractée par le groupe de R&D externalisée pour acheter Aricent. Un peu plus de 81,2 millions d’actions nouvelles ont été créées. La demande totale s’est élevée à environ 1,177 milliard, correspondant à un taux de souscription d’environ 157%, précise Altran. « Conformément à leurs intentions de souscription, Altrafin Participations, Alexis Kniazeff (et sa famille) et Hubert Martigny, qui détiennent respectivement 8,42%, 1,42% et 1,42% du capital social de la société, ont souscrit à l’augmentation de capital à titre irréductible, à hauteur de la totalité de leurs droits préférentiels de souscription », ajoute Altran.
CGG a finalisé l'émission obligataire destinée à refinancer la souche émise en février 2018 et qui arrivait à échéance en 2023. Le groupe de services parapétroliers a placé l'équivalent de 650 millions de dollars en deux tranches, l’une en euro (280 millions), l’autre en dollar (300 millions), toutes les deux à 5 ans. La tranche en dollar paie un coupon de 9%, bien au-dessus du rendement moyen pour de la dette high yield en dollar (6,1% selon l’indice Bloomberg Barclays). La tranche en euro est également plus coûteuse.
Sulzer, qui a réduit à moins de 50% la participation de son principal actionnaire russe Renova dans son capital, a annoncé hier avoir ainsi été libéré des sanctions américaines. «Ce transfert d’actions a été achevé et Renova est à présent actionnaire minoritaire avec 48,83% du capital de Sulzer. Sulzer détient désormais 15,24% de ses propres actions», précise le groupe suisse. Les comptes bancaires américains du groupe industriel avaient été gelés pour certaines opérations suite aux sanctions imposées à Viktor Vekselberg, propriétaire de Renova.
Sulzer, qui a réduit à moins de 50% la participation de son principal actionnaire russe Renova dans son capital, a annoncé aujourd’hui avoir ainsi été libéré des sanctions américaines. «Ce transfert d’actions a été achevé et Renova est à présent actionnaire minoritaire avec 48,83% du capital de Sulzer. Sulzer détient désormais 15,24% de ses propres actions», précise le groupe suisse.