Atos, Clariane et Vallourec occupent le podium des valeurs «shortées» à Paris. Le groupe de services numériques a remplacé un autre groupe en difficulté, Casino, à la tête de ce palmarès.
Le groupe énergéticien italien a annoncé une diminution de ses émissions de gaz à effet de serre moindre qu’attendu pour 2023, en raison de la crise énergétique en Europe, ce qui entraîne une hausse des coupons de dix titres.
Les écarts de performance des principales capitalisations de la technologie américaine se creusent. Mais l’environnement de taux et la crainte de déception sur les résultats commencent aussi à ébranler le concept.
La détérioration plus importante que prévu des finances publiques en mars diminue la capacité à réduire les impôts avant un scrutin législatif où le parti conservateur est donné perdant.
Les indices PMI préliminaires pour avril montrent une reprise du secteur privé, grâce aux services qui bénéficient de la hausse du pouvoir d’achat des ménages, malgré la faiblesse persistante du secteur manufacturier.
La recapitalisation du groupe d’ingénierie industrielle par Bpifrance a ouvert la voie à une nouvelle émission obligataire de 430 millions d’euros à taux variable.
L’opérateur télécoms a émis 500 millions d’euros pour racheter des obligations à échéance 2024 et 2025. Le marché high yield reste animé mais sélectif. Lundi, une opération a été annulée.
Après avoir initié en premier les baisses de taux, les institutions monétaires des pays d'Amérique latine, notamment, tergiversent. Le ralentissement de la désinflation et la politique de la Fed limitent leurs marges de manœuvre.
Les investisseurs n’attendaient qu’une étincelle pour initier une consolidation. Elle vient des menaces au Moyen-Orient, avec des craintes aussi sur les taux américains.