Sept sociétés de la catégorie high yield ont déjà emprunté sur le marché en mai, grâce à une bonne liquidité. Mais après l’affaire Altice, les investisseurs se montrent plus exigeants sur le niveau de protection offert par la documentation juridique.
Le bond spectaculaire des cours de la tonne de fève de cacao en 2024 est devenu insoutenable pour une partie des opérateurs sur ce marché. Une chute exacerbée par la faible liquidité même si les problèmes structurels restent.
Les tensions géopolitiques et l’ajustement des anticipations de taux ont provoqué une consolidation de la plupart des actifs financiers, mettant fin au rallye des marchés.
Lors de la réunion du Politburo du parti communiste chinois, l’exécutif a affirmé qu’il fallait maintenir le soutien à l’économie malgré le bon premier trimestre. Il veut aussi s’attaquer au problème des stocks de logements pour tenter d’arrêter l’hémorragie des prix.
Ben Bernanke, ex-président de la banque centrale américaine, a ciblé en mars l’absence de visions prospectives dans la politique monétaire de la Banque d’Angleterre (BoE). La boussole des grands argentiers est-elle la bonne ?
La troisième transaction sur le marché obligataire du groupe automobile, qui n’a pas de rating, a été couronnée de succès. Mais le marché reste sélectif et de nombreuses entreprises se font noter.
La baisse récente du marché est liée aux tensions au Moyen-Orient ainsi qu’au réajustement des anticipations de taux, mais aussi à la vente par les particuliers d’une partie de leurs actions, notamment technologiques, pour payer les impôts. Un effet récurrent en avril.