Attirée depuis toujours par les voyages et l’étranger, Stéphanie a passé plus de vingt ans à Londres où elle a pu couvrir les affres de la crise financière et les interminables soubresauts du Brexit. Loin des gratte-ciels de Canary Wharf et de la City, elle suit désormais l’actualité économique et financière de l’Espagne et plus largement du sud de l’Europe depuis Madrid.
Après avoir généré un bénéfice net supérieur aux attentes au début de l’année, la banque italienne anticipe de poursuivre cette trajectoire sur les prochains trimestres.
Les résultats nets cumulés progressent de 14% au 31 mars. Mais les ténors du secteur enregistrent un repli de l’octroi du crédit et une chute des dépôts.
Cette semaine, l’Espagne subit une canicule inhabituelle pour la saison. Plus encore que les principales économies de la zone euro, le pays subit de plein fouet les conséquences des chocs climatiques.
Les porteurs de dette AT1 de Credit Suisse ont payé le prix fort, les actionnaires aussi. Les conditions du sauvetage de la banque par UBS ont remis sous les feux des projecteurs la question de la responsabilité. Celle des dirigeants de banques se pose aussi, notamment en Europe.
Face à ses actionnaires, l’entreprise espagnole présente jeudi 13 avril son projet contesté de déménagement à Amsterdam. Le fonds norvégien s’est finalement laissé convaincre.
Le marché italien du non-coté, riche d'un tissu de belles entreprises familiales, continue à se développer. Et attire de plus en plus de gérants étrangers, dont des français.
Sous la pression de TCI Fund, le géant des tours télécoms espagnol a remplacé son président pour accélérer le processus de recrutement de son nouveau directeur général.