Le 16 avril 2015, les sénateurs ont adopté l’amendement permettant au souscripteur ou le bénéficiaire d’un contrat d’assurance vie en unités de comptes, d’opter pour un paiement en titres négociables.
Dans cet arrêt de la Cour d’appel de Paris du 16 septembre 2014, c’est une nouvelle fois le contentieux de la renonciation aux contrats d’assurance vie qui est abordé.
L’article 35 quater du présent projet de loi vise à créer un nouveau véhicule de capital-investissement, les «sociétés de libre partenariat» (SLP), qui seraient du point de vue juridique des sociétés en commandite simple, avec le traitement fiscal des fonds professionnels de capital-investissement (FPCI).
Le Code des assurances pose le principe du règlement en espèces des assurances sur la vie et des opérations de capitalisation. Pour les contrats en unités de compte, le contractant ou le bénéficiaire peut opter pour un paiement en titres négociables. Il est proposé d’assouplir cette disposition en l’étendant, sous certaines conditions, aux titres non négociables, éligibles en représentation des unités de comptes en vertu de l’article R.131-1 du code des assurances.
Dans le projet de loi Macron, les sénateurs ont voulu lever l’ambigüité que présentent les dispositions actuelles de l’article L. 512-1 du Code des assurances prévoyant que l’ORIAS regroupe les professions de l’assurance, sans viser explicitement les professions de la banque et de la finance.
Dans le cadre du projet de loi Macron, vient d’être adopté l’amendement qui vise à instaurer un dispositif d’abattement exceptionnel afin d’inciter à l’investissement au sein d’un PEA-PME. Il s’agit d’appliquer un abattement majoré aux cessions de titres non éligibles au PEA-PME dont le produit est réinvesti en totalité dans un PEA-PME pour une durée minimale de 5 ans. Cette mesure prendrait fin le 31 mai 2016.
Le Groupe APICIL a présenté sa gamme Santé collective standard PROFIL’R adaptée aux dispositions de la loi sur la généralisation santé qui prévoient une couverture santé complémentaire obligatoire pour l’ensemble des salariés des TPE/PME, et au décret « Contrat responsable » paru en décembre 2014.
Le 20 mars, le fisc a mis à jour la doctrine portant sur les cessions de titres, Une prise de position dont le bien-fondé sera sans doute porté devant les juges
Les assureurs veulent désormais apurer le stock des contrats vie non réglés , La réaction des banques pour retrouver les héritiers de comptes est encore discrète