Ancienne handballeuse, Mathilde a finalement échangé ses stabiles pour un sac à dos en 2017 après avoir empoché une licence d’économie. Elle découvre plusieurs pays du globe et s’arrête finalement en Nouvelle-Zélande où elle étudie le journalisme. De retour dans la capitale, elle débute chez News Assurances Pro avant de rejoindre L’Agefi Actifs.
Pour 2024, le groupe mutualiste a décidé de servir un rendement net identique à celui distribué l'année précédente, soit 3,10%. Il pioche légèrement dans ses réserves de capitaux qui sont toujours conséquentes.
En novembre dernier, quatre milliards d'euros ont été engrangés, soit un niveau inégalé depuis plus de quinze ans. Sur onze mois, la collecte nette s'élève à 28,2 milliards d'euros, contre 2,2 milliards sur la même période en 2023.
Découvrez les principaux taux de la place, ajoutés au fur et à mesure de leurs annonces. Macif dévoile un taux de rendement allant de 2,70% à 2,80% pour ses fonds en euros avec une possibilité de bonus à partir d'un niveau d'unités de compte de 20% au sein des portefeuilles.
Tandis que l'Europe évolue dans un environnement économique instable, la place financière dubaïote s'impose comme incontournable pour les plus grandes richesses mondiales. Les family officers et banquiers privés y affluent.
La légère remontée des marchés actions permet à l’indice de performance de l’épargne financière des ménages français établi par l’Observatoire de l'épargne européenne, de se maintenir en terrain positif au troisième trimestre 2024.
La marque du groupe Premium consolide sa présence dans le sud de la France avec l'acquisition d'un nouvel acteur dont les actifs sous gestion s'élèvent à 135 millions d'euros.
Dans la course à la compétitivité, les family offices ont conscience du rôle important de la technologie. Mais les processus restent longs et coûteux pour les structures indépendantes, explique la dernière étude de marché de Deloitte.
Le succès des fonds indiciels relance la question de la rémunération des conseillers en gestion de patrimoine, déjà pressés par le règlement MIF 2 et la « value for money ». La flexibilité du support offre cependant des alternatives.
La fintech lyonnaise mise sur une offre individuelle entièrement digitalisée avec 0,75% de frais sur les encours annuels mais aucun sur les versements.