Rédacteur exclusivement spécialisé sur les sujets Web3 et particulièrement ceux concernant les infrastructures de marché ainsi que les questions tournant autour de la réglementation des cryptoactifs. Auparavant passé par Le Figaro et BFM Business. «Not your keys not your coins»
Malgré les crises traversées en 2022, bitcoin et ethereum demeurent incontournables. Ils sont actuellement les deux réseaux les plus décentralisés de l'écosystème crypto.
La chute de l’écosystème alors dirigé par Do Kwon aura été le point de départ d’une cascade de faillites qui aura mis un terme à la bulle spéculative en sanctionnant des acteurs à la gestion financière souvent légère.
Ce stablecoin sera le plus régulé du marché et le premier du genre à être proposé par un acteur bancaire issu du monde financier traditionnel sur une blockchain publique, comme Ethereum. Grâce à une spécificité technique, il ne sera échangeable qu’entre institutionnels identifiés.
Pour la deuxième année d’affilée, l’Adan, KPMG et Ipsos ont dressé un état des lieux de l’adoption des cryptoactifs. Concernant le grand public, l’Hexagone ne comble pas son retard sur ses voisins européens.
Avec cette levée de fonds, la start-up va lancer une carte de débit et mettre à la disposition de ses clients un numéro de compte bancaire virtuel lié à leur portefeuille de bitcoins.
Les retraits des ethers mis en séquestre pour sécuriser la blockchain sont pour le moment modérés. Le cours de la cryptomonnaie a même augmenté de près de 10% depuis la mise à jour baptisée «Shanghai».
Déjà évoquée en janvier, une possible remise en service de FTX a cette fois été discutée entre les juges et le liquidateur de la plateforme crypto. Ce dernier continue à remettre la main sur des actifs disparus.
Cette mise à jour doit permettre aux investisseurs de pouvoir retirer leurs ethers bloqués pour sécuriser la blockchain. Mais l'objectif vise à faire franchir à Ethereum un degré de plus dans sa quête pour s'imposer comme la référence du paiement et du développement de l'internet de demain.
La hausse du cours du bitcoin au-dessus de 30.000 dollars est essentiellement portée par les investissements en propre et non via des produits dérivés, ce qui suggère que les institutionnels ne sont pas encore entrés dans la danse.
Depuis la chute de l’UST de Terra-Luna, les stablecoins ont été chahutés. Si les menaces réglementaires ou provenant d’attaques informatiques ne sont pas nouvelles, la faillite de banques traditionnelles, en revanche, l’est.