Journaliste économique depuis plus de 15 ans, Camille a commencé à s’intéresser à l’économie des entreprises à travers les secteurs de la grande distribution, de la logistique et de l’automobile. Après quelques détours en presse BtoC (tourisme et RH), elle se passionne pour la finance d’entreprise qu’elle suit pendant près de 5 ans au sein de Daf magazine, avant de passer de l’autre côté du miroir en intégrant le service Banque Assurance de l’Agefi.
Malgré les craintes initiales, la panne informatique mondiale générée par CrowdStrike ne devrait pas déstabiliser le marché de l’assurance cyber. Au contraire, cela pourrait même être source de bénéfices pour le secteur.
Parmi les grands rassemblements de l’été 2024, il y avait l’Euro de foot, les JO de Paris et la tournée Eras de Taylor Swift. Si les premiers se sont déroulés sans encombre, l’annulation des trois concerts autrichiens de la chanteuse américaine jette une ombre sur l’horizon jusque-là bleu azur des assureurs événementiels concernés.
Les catastrophes naturelles augmentent mais leur coût relatif diminue au premier semestre de cette année par rapport à la même période un an plus tôt. C’est ce que révèlent les derniers rapports des deux plus importants réassureurs mondiaux.
Le quatrième assureur mondial affine ses positions, notamment en Asie, pour maintenir un haut niveau de performance. En dépit de remous au deuxième trimestre, le leader européen du secteur boucle un bon semestre.
Fort d’un bon premier semestre 2024 marqué par un bénéfice d’exploitation record et un rendement sur fonds propres historique, l’assureur helvète se voit déjà dépasser ses objectifs en 2025.
Les autorités de régulation américaines donnent leur feu vert à Arch pour acquérir les activités américaines d’assurance des entreprises de taille moyenne et du secteur du divertissement d’Allianz. Un accord stratégique important pour le secteur de l’assurance outre-Atlantique.
La deuxième banque allemande enregistre un bénéfice net en repli à fin juin 2024 et chute en Bourse malgré l’annonce d’un rachat d’actions de 600 millions d’euros.
La banque néerlandaise relève mercredi 7 août sa prévision de revenu net d’intérêt pour 2024. En Bourse le titre bondit de plus de 3%, sa plus forte hausse en trois mois.
Bénéfice en hausse de 87% sur le semestre, augmentation du dividende et possible cession de sa filiale française : 2024 a commencé fort pour la banque italienne la plus vieille du monde. Serait-ce la fin de son chemin de croix ?