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De formation juridique, Bruno a rejoint L’Agefi au début du siècle, du temps du quotidien papier avant sa rapide mutation dans le monde du numérique. Il suit plus particulièrement les sujets de gouvernance, d’assemblée générale, de régulation des entreprises, de droit boursier, et s’intéresse également à la vie financière des émetteurs non financiers et aux questions de concurrence. Pour ajouter une pointe de légèreté, il est friand d’actualités des têtes couronnées.
Le gendarme boursier reproche à la biotech et à ses dirigeants de l’époque de ne pas avoir publié dès que possible une information privilégiée. Dans le secteur, tout renseignement sur le développement d’un candidat médicament est particulièrement attendu par le marché.
Dans le cadre de ses recommandations 2025 sur le gouvernement d’entreprise, l’Association française de la gestion financière invite les administrateurs à être particulièrement vigilants sur la qualité de l’information financière et extra-financière.
L’agence de conseil en vote ne souhaite pas que l’auditeur de durabilité soit le commissaire aux comptes certifiant les comptes, mais ne sanctionnera pas. Elle reverra sa position en 2028. Si c’est le même auditeur, le proxy exige la transparence sur ses honoraires et sur sa compétence.
Ou comment répondre à la CJUE après l’arrêt Illumina-Grail de septembre 2024. Le gendarme de la rue de l’Echelle propose deux principales options : un pouvoir d’évocation ciblé et l’introduction d’un nouveau seuil de notification obligatoire fondé sur une décision de l’Autorité ou de la Commission européenne. La consultation est ouverte jusqu’au 16 février 2025.
Lors de ses vœux, la présidente de l’Autorité des marchés financiers a rappelé l’engagement de ne plus surtransposer les textes européens et le besoin de simplification.
Aucun autre actionnaire, ni nouvel investisseur n’a voulu participer à l’opération. L’assureur détient désormais près de 94% du capital de la foncière, qui reste cotée.
Ce montant constitue un deuxième record historique après 1,8 milliard de sanctions en 2020. Les cartels de l’électroménager (611 millions d’euros) et du matériel électrique (470 millions) ainsi que le non-respect des engagements de Google en matière de droits voisins de la presse (250 millions), ont fait l’année.
A l’issue de cette première période d’offre, Bridgepoint détient 74,6% du capital et 74,5% des droits de vote de la plateforme de digitalisation et automatisation de process documentaires. Il compte mettre en œuvre un retrait obligatoire si moins de 10% du capital et des droits de vote restent aux mains des minoritaires.