Retrouvez les articles d’actualité et d’analyse portant sur les résultats financiers (comptes trimestriels, semestriels, annuels, journées investisseurs, avertissements sur résultats) publiés par les grandes entreprises françaises et internationales.
La banque américaine s’attend à un revenu de ses activités de marchés au deuxième trimestre «plus ou moins stable» par rapport à la même période de l’an dernier, a déclaré aujourd’hui son directeur financier John Gerspach. Lors d’une réunion d’investisseurs, il a dit que la part des actions dans le revenu des activités de trading de Citigroup devrait être plus forte que celles des obligations et des matières premières.
Le chiffre d’affaires de Saint-Gobain sera «clairement meilleur» au deuxième trimestre qu’au premier trimestre, a déclaré jeudi le PDG du groupe, Pierre-André de Chalendar, lors de l’assemblée générale du producteur de matériaux de construction. Le début d’année, toujours difficile pour l’activité du groupe, a été «un peu freiné» par les mauvaises conditions météorologiques, a rappelé le dirigeant, qui s’attend aussi à ce que le second semestre 2018 soit meilleur que le premier. Pierre-André de Chalendar s’est par ailleurs vu confier par les actionnaires un nouveau mandat d’administrateur pour quatre ans et le conseil d’administration a ensuite comme prévu renouvelé son mandat de PDG, poste qu’il occupe depuis 2010.
Navistar International a relevé aujourd’hui ses prévisions d’activité pour l’ensemble de l’exercice à la faveur d’une solide demande pour ses camions. Le groupe anticipe désormais un chiffre d’affaires compris entre 9,75 et 10,25 milliards de dollars (8,35-8,78 milliards d’euros) au lieu d’une prévision précédente de 9,25-9,75 milliards. Il a relevé sa prévision de livraisons des camions et cars de Classe 6-8 aux Etats-Unis et au Canada à 380.000-410.000 unités, au lieu de 360.000-390.000 précédemment.
Le groupe spécialisé dans la pulvérisation pour l’agriculture et l’industrie a annoncé ce matin un bénéfice net de 4,1 millions d’euros au premier semestre, clos le 31 mars, de son exercice 2017-2018, contre 8,4 millions un an plus tôt. Son résultat opérationnel a chuté de 28% à 10,9 millions, le chiffre d’affaires ayant reculé de 2,7% à 343 millions. Exel Industries anticipe un chiffre d’affaires annuel à un niveau inférieur à celui de l’exercice écoulé après des années de croissance.
Tirant parti d’une progression de son chiffre d’affaires de 6,9% à 3,8 milliards d’euros sur son exercice clos fin février 2018, le groupe sarthois LDC, leader français de la volaille, a publié aujourd’hui un résultat net part du groupe en hausse de 8% à 140,7 millions d’euros. Son pôle volaille en France a bénéficié de performances toujours solides en grandes et moyennes surfaces, doublées des effets positifs de sa stratégie de reconquête des importations. A cela s’ajoute une bonne dynamique à l’international et une montée en gamme du mix-produits au sein du pôle traiteur, ce qui a permis de compenser la hausse du prix des matières premières.
Lenovo a annoncé hier sa perte annuelle la plus importante depuis 2009, pénalisé par la hausse des coûts des composants, une charge fiscale et une baisse des revenus tirés de la cession d’actifs. En dépit d’une progression de 3% du chiffre d’affaires sur l’exercice clos en mars 2018, à un pic de trois ans, le fabricant chinois de PC a publié une perte de 189 millions de dollars (161 millions d’euros), contre un bénéfice de 535 millions il y a un an. Les résultats annuels ont également été affectés par une charge de 400 millions de dollars liée à la réforme fiscale américaine.
Le boulanger suisse abaisse une nouvelle fois ses prévisions annuelles. La vente des 49% détenus au capital de Picard devient plus que jamais nécessaire.
L’exploitant de stations de ski et de parcs à thème a bouclé les six premiers mois de son exercice clos le 30 septembre 2018 sur un chiffre d’affaires de 491,2 millions d’euros, en hausse de 7,1% et de 3,2% à périmètre comparable. L’excédent brut d’exploitation de la Compagnie des Alpes a progressé de 6,7% (+3,6% en comparable), à 169,8 millions, avec rentabilité en recul de 10 points de base, à 34,6%, en raison notamment des coûts induits par la sécurisation des pistes liée à des conditions météo difficiles. Le résultat net a augmenté de 18,4% à 69,0 millions.
Lenovo a annoncé aujourd’hui sa perte annuelle la plus importante depuis neuf ans, pénalisé par la hausse des coûts des composants, une charge fiscale et une baisse des revenus tirés de la cession d’actifs. En dépit d’une progression de 3% du chiffre d’affaires sur l’exercice clos en mars 2018, à un pic de trois ans, le fabricant chinois de PC a publié une perte de 189 millions de dollars (161 millions d’euros), contre un bénéfice de 535 millions il y a un an. Les résultats annuels ont également été affectés par une charge de 400 millions de dollars liée à la réforme fiscale américaine.
Le groupe de boulangerie industrielle Aryzta dévisse à la Bourse de Zurich à la suite d’une nouvelle révision en baisse de son objectif d’excédent brut d’exploitation (Ebitda) 2018, après des marges d’Ebitda décevantes au troisième trimestre. Le cours de l’action plonge de 26%. Le prix des obligations perpétuelles s’effondre également : la ligne en euros émise en 2014 chute de plus de 8% à 87 centimes. Le marché craint que le groupe finisse par casser ses covenants même s’il venait à vendre sa part de 49% au capital du distributeur de surgelés Picard.
Uber Technologies a publié hier soir des résultats à fin mars 2018 qui montrent un bénéfice net de 2,46 milliards de dollars (2,10 milliards d’euros) sur des réservations brutes de 11,29 milliards de dollars. Ces dernières ont augmenté de 55% d’un an sur l’autre. Hors éléments exceptionnels, le groupe américain de VTC a enregistré une perte de 577 millions de dollars au premier trimestre 2018, contre une perte de 1,04 milliard de dollars au quatrième trimestre 2017.
General Electric ne peut pas garantir le versement du dividende de 2019 et il n’a pas fini de régler les problèmes de ses différentes divisions, notamment GE Power, a déclaré hier son directeur général, John Flannery. Ces propos ont fait décrocher le titre du conglomérat industriel, qui a terminé la séance en baisse de 7,26%, à 14,18 dollars. Prié de dire s’il pouvait garantir le versement du dividende de 2019, John Flannery a répondu que cela dépendrait de la génération de trésorerie, des performances opérationnelles et des efforts de modification du portefeuille d’activités. Il également déclaré ne pas attendre de croissance du bénéfice pour la division GE Power cette année, les perspectives pour le marché des grosses turbines à gaz restant faibles jusqu’en 2020. Le bénéfice de cette division a plongé l’an dernier de 53%, à 1,9 milliard de dollars (1,63 milliard d’euros).
Les banques américaines ont dégagé 56 milliards de dollars (47,5 milliards d’euros) de bénéfices au premier trimestre 2018, soit une hausse de 27,5% d’un an sur l’autre, grâce à la réforme fiscaleadoptée par le Congrès fin 2017, montrait hier un rapport de la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC). Plus de 70% des banques aux Etats-Unis ont enregistré une progression de leurs résultats sur les trois premiers mois de l’année. Leurs revenus nets d’intérêt ont crû de 8,5%, à 131,3 milliards de dollars. Au quatrième trimestre 2017, leurs profits avaient chuté de 40,9%, en raison, principalement, d’une charge exceptionnelle liée à la réforme fiscale, qui a ramené le taux de l’impôt sur les sociétés aux Etats-Unis de 35% à 21%. L’effet bénéfique de cette réforme se poursuivra à long terme, souligne la FDIC. Son président, Martin Gruenberg, estime que ce rapport reflète d’autres tendances positives, comme l’augmentation des crédits et l’amélioration des marges nettes d’intérêt.
Hewlett Packard Enterprise (HPE) a publié hier un bénéfice trimestriel meilleur que prévu, soutenu par une solide demande pour ses serveurs et ses produits de stockage. Le groupe américain, issu de la scission de l’ex-HP en 2015 et dédié aux serveurs et réseaux pour entreprises, anticipe désormais un bénéfice ajusté par action compris entre 1,40 et 1,50 dollar pour 2018, contre une prévision antérieure de 1,35 à 1,45 dollar.
Sur son exercice clos fin mars 2018, le fabricant et distributeur d’équipements de sports et de loisirs a publié hier un chiffre d ’affaires en hausse de 12,4%, à 188 millions d’euros (+2,8% en organique), dont un effet périmètre de 11,1% lié aux récentes acquisitions. Fort d’un carnet de commandes de 195 millions d’euros à fin mars, Abeo confirme son objectif de chiffre d’affaires de 300 millions d’euros à horizon 2020. Sur l’exercice 2017-2018, le groupe anticipe une progression de sa rentabilité opérationnelle. Il avait dégagé une marge d’Ebitda de 9% en 2016-2017.
Les banques américainesont dégagé 56 milliards de dollars de bénéfices au premier trimestre, au total, soit une hausse de 27,5% par rapport à la même période de l’an dernier, grâce à la réforme fiscaleadoptée par le Congrès en décembre, a indiqué mardi un rapport de la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC).
Abeo gagnait 2,40% à mi-séance après la publication de son chiffre d’affaires annuel. Depuis son entrée en Bourse en octobre 2016, l’action a gagné près de 130%. Sur son exercice clos fin mars 2018, le fabricant et distributeur d’équipements de sports et de loisirs a enregistré une hausse de 12,4% de ses ventes à 188 millions d’euros (+2,8% en organique), dont un effet périmètre de 11,1% lié aux récentes acquisitions. Sur le seul quatrième trimestre, le chiffre d’affaires a bondi de 24% à 53 millions (+8,5% en organique).
Ryanair a publié hier sur son exercice clos au 31 mars 2018 un bénéfice net record de 1,45 milliard d’euros, en hausse de 10% et légèrement supérieur à la prévision moyenne des analystes qui était de 1,44 milliard. Le transporteur aérien à bas coût prévoit un bénéfice compris entre 1,25 milliard et 1,35 milliard pour l’exercice en cours, inférieur au consensus qui table sur 1,37 milliard. S’il anticipe désormais une croissance du trafic de 7% à 139 millions de passagers, contre 138 millions précédemment, ses coûts unitaires sont attendus en hausse de 9% en raison d’une augmentation des charges salariales et des prix du pétrole.
Tikehau Capital a fait état hier d’une croissance de 3% de ses actifs sous gestion au premier trimestre, à 14,2 milliards d’euros, avec une collecte nette de 600 millions sur la période. Concernant ses perspectives, «Tikehau Capital constate une très bonne dynamique commerciale sur toutes ses lignes de métier qui devrait se traduire par la progression notable de ses actifs sous gestion au cours de l’exercice 2018», note la société dans un communiqué.
Vallourec a accusé de nouveau une perte au premier trimestre, mais la hausse des cours du pétrole et l’accélération de l’activité de forage aux Etats-Unis permettent au groupe d’attendre une amélioration de ses résultats à partir du second semestre. Dans un communiqué, le producteur de tubes sans soudure en acier, qui a pris de plein fouet la crise du secteur pétrolier, vise ainsi un résultat brut d’exploitation 2018 en amélioration par rapport à 2017, avec un second semestre 2018 en forte progression par rapport à celui du premier semestre. Vallourec, qui a mis en œuvre un vaste plan de restructuration, a enregistré au titre du premier trimestre une perte nette de 170 millions d’euros (contre -126 millions un an plus tôt), un Ebitda de - 5 millions (contre -21 millions) et un chiffre d’affaires de 862 millions (+10,1%).