Avec la mise en vente de sa division matériaux, valorisée près de 5 milliards d’euros, le groupe va parachever son recentrage vers les sciences de la vie.
Les créanciers du groupe de résidences de tourisme ont débloqué 300 millions d'euros pour l'aider à passer la saison d'été. Mais une restructuration en profondeur du bilan sera nécessaire.
Fragilisé par la crise du Covid-19, Pierre & Vacances devrait enfin disposer des ressources financières nécessaires pour tenir jusqu’à la reprise espérée du secteur du tourisme. Le groupe de résidences de tourisme a annoncé lundi soir avoir trouvé un accord de financement avec ses principaux créanciers, banques, détenteurs d’obligations (EuroPP) et porteurs d’obligations remboursables en actions (Ornane). Ils proposent d’apporter 300 millions d’euros de financement qui permettront de « répondre aux besoins à court terme du groupe liés à ses activités et ses contraintes opérationnelles dans l’attente de la réalisation d’une opération de renforcement des fonds propres », explique Pierre & Vacances. Le groupe espère finaliser cette recapitalisation au plus tard en début d’année 2022.
Nokia a annoncé mardi un plan d'économies prévoyant au cours des deux prochaines années jusqu'à 10.000 suppressions de postes, soit 11% de ses effectifs actuels. Cette restructuration, qui épargnera la France, réduira sa base de coûts d’environ 600 millions d’euros d’ici à fin 2023. Ces économies compenseront notamment l’augmentation prévue des investissements en R&D. Les charges de restructuration devraient s'établir au total entre 600 millions et 700 millions d’euros. La moitié de ces frais sera comptabilisée cette année, 15% en 2022 et 35% en 2023.
Nokia a annoncé ce mardi un plan d'économies prévoyant au cours des deux prochaines années jusqu'à 10.000 suppressions de postes, soit 11% de ses effectifs actuels. Cette restructuration, qui épargnera la France déjà affectée par des suppressions d’emplois au sein du groupe, réduira sa base de coûts d’environ 600 millions d’euros d’ici à fin 2023. Ces économies compenseront notamment l’augmentation prévue des investissements en R&D. La moitié des économies prévues devrait être réalisée cette année. Les charges de restructuration devraient s'établir au total entre 600 millions et 700 millions d’euros. La moitié de ces frais sera comptabilisée cette année, 15% en 2022 et 35% en 2023.
Le conglomérat industriel allemand ThyssenKrupp a annoncé ce mercredi qu’il supprimerait jusqu'à 750 emplois supplémentaires dans sa branche sidérurgique dans le cadre d’un accord conclu avec le syndicat IG Metall pour limiter les répercussions financières de la crise sanitaire. Cet accord vient compléter la convention collective nommée «Future Pact for Steel», conclue en mars 2020. Les suppressions d’emplois annoncées s’ajoutent aux 3.000 licenciements déjà prévus et concerneront aussi bien des postes administratifs que de production. La mise en œuvre de l’accord devrait être achevée d’ici au 30 septembre 2023.
Le conglomérat industriel allemand ThyssenKrupp a annoncé ce mercredi qu’il supprimerait jusqu'à 750 emplois supplémentaires dans sa branche sidérurgique dans le cadre d’un accord conclu avec le syndicat IG Metall pour limiter les répercussions financières de la crise sanitaire.
Solvay a annoncé mercredi la suppression de 500 emplois supplémentaires d’ici fin 2022, et le relèvement de son objectif de réduction des coûts à 500 millions d’euros d’ici à 2024, après avoir fait état de résultats trimestriels un peu moins mauvais que prévu. Le groupe de chimie, qui avait précédemment annoncé une réduction de ses coûts de 350 millions d’euros d’ici à 2024 dans le cadre de son plan de restructuration, a également déclaré qu’il constituerait une provision d’environ 170 millions d’euros afférente à ce plan au premier trimestre 2021. Le groupe, qui emploie plus de 23.000 personnes dans 64 pays, a supprimé 570 emplois en 2020 aux États-Unis et au Royaume-Uni.
Solvay a annoncé aujourd’hui la suppression de 500 emplois supplémentaires d’ici à la fin de 2022 et le relèvement de son objectif de réduction des coûts à 500 millions d’euros d’ici à 2024 après avoir fait état de résultats trimestriels un peu moins mauvais que prévu. Le groupe de chimie, qui avait précédemment annoncé une réduction de ses coûts de 350 millions d’euros d’ici à 2024 dans le cadre de son plan de restructuration, a également déclaré qu’il constituerait une provision d’environ 170 millions d’euros afférente à ce plan au premier trimestre 2021.