Nos articles d'actualité et d'analyse sur l'économie chinoise, son évolution, ses perspectives et son impact sur les principales institutions financières.
Nos articles d’actualité et d’analyse sur toutes les grandes évolutions réglementaires aux niveaux français, européens, américains et internationaux susceptibles d’affecter les acteurs de la finance (banques, assureurs, fonds, gestionnaires d’actifs etc.)
Contrairement à leurs homologues européennes, les compagnies chinoises ne sont pas obligées de contourner l’espace aérien russe, ni de participer aux coûts de la décarbonation.
La fondation helvète fustige la faible qualité des premières publications cette année. Elle demande l’utilisation d’un standard de reporting, intégrant le principe de double matérialité.
L'ACPR publie une étude présentant des pistes concrètes d'encadrement réglementaire des grands groupes technologiques, qui y échappaient jusqu'à présent.
L'Esma, la Banque centrale européenne et la Commission européenne jugent «désirable» une approche coordonnée avec les autres juridictions européennes hors de l’UE pour un passage à T+1.
Jonathan Lipkin, directeur en charge de la réglementation, de l'innovation et de la stratégie au sein de l'Investment Association, association britannique de la gestion d'actifs, donne sa vision des divergences de réglementations de marchés entre l'Union européenne et le Royaume-Uni.
Au Forum Fintech, l'Autorité des marchés financiers et l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution se sont montrées soucieuses de contribuer à l’innovation technologique dans la finance en soutenant les start-up, tout en restant vigilantes sur les risques.
Malgré un rebond potentiel de la demande, la rentabilité des constructeurs généralistes pâtira de la concurrence accrue des groupes chinois et de normes plus strictes pour les émissions de CO2.
Le Collège réclame un peu plus d'un million d’euros d’amende à l’encontre de Pharnext et de deux anciens dirigeants pour communication tardive d’informations privilégiées et manipulations de marché par diffusion d’informations fausses ou trompeuses.
Le régulateur des marchés financiers français intègre les dernières évolutions législatives et exige désormais un suivi plus poussé sur les fonds propres des sociétés de gestion.
Le phénomène concerne surtout les dettes subordonnées Additional Tier 1 (AT1) cette année, même si les banques gardent un niveau assez élevé d’émissions en devise américaine pour une question de diversification des investisseurs.
La «consolidated tape», rendue obligatoire par la révision des réglementations européennes MIF, est bien plus urgente pour les obligations que pour les actions, dont les prix et les volumes font déjà l’objet d’une certaine transparence post-négociation. Trois candidats se sont déclarés pour la fournir. La procédure de sélection débutera en janvier.
L'association européenne des gestionnaires d'actifs, Efama, estime que les nouvelles lignes directrices européennes en matière de dénomination des fonds durables pourraient freiner le développement du marché des obligations vertes.
En amont de la reprise des travaux sur la Retail Investment Strategy (RIS), la fédération européenne de l’assurance et de la réassurance fait passer quelques messages clés aux autorités européennes à travers une série de recommandations.
Emission exceptionnelle tournée au salon annuel de la gestion de patrimoine à Lyon. Toute la rédaction s’est mobilisée pour être au plus près de la profession, avec, comme invités du mois, trois des quatre associés de Terrae Patrimoine : François-Xavier Sœur, Hortense Ducy et Lucile Barnichon
Lors du récent Forum Gouvernance de L’Agefi, le régulateur et d’autres intervenants de place ont fait part de leurs attentes pour les assemblées générales 2025.
Dans les cas d’exemption au prospectus, pour les sociétés cotées depuis plus de dix-huit mois, un document de seulement onze pages sera demandé, ne nécessitant pas l’approbation de l’AMF.
Le gendarme financier européen a publié son programme de travail pour l'année prochaine, dévoilant ses actions de supervision dans ces deux domaines d'importance stratégique pour les acteurs financiers.
Les régulateurs financiers européens (EBA, Eiopa et Esma) ont nommé Marc Andries pour diriger une nouvelle unité dans le cadre de l’entrée en vigueur - à partir du 17 janvier 2025 - du règlement européen Digital Operational Resilience Act (Dora). Marc Andries a pris ses fonctions le 1er octobre. Il sera en charge de mettre en œuvre un cadre de supervision pan-européen pour les activités des fournisseurs tiers de technologies de l’information et de la communication considérés comme critiques. Marc Andries évolue depuis plus de 30 ans dans le monde des technologies de l’information. Il a entre autres occupé les fonctions d’inspecteur en chef à la Banque de France et de chef de mission, coordinateur du réseau des experts informatiques de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR).