Nos articles d’actualité et d’analyse sur le secteur de la pharmacie et des biotechnologies, ses évolutions et grandes tendances à l’oeuvre, ses principales entreprises françaises (Sanofi, Ipsen, Biomérieux...) et étrangères (Pfizer, Roche, Novartis, GSK, AstraZeneca etc.)
Poxel, société biopharmaceutique spécialisée dans le développement de traitements contre des maladies métaboliques, dont le diabète de type 2, vient d’obtenir un financement complémentaire d’un maximum de 30 millions d’euros via un emprunt obligataire souscrit auprès d’IPF Partners. La souscription de la première tranche de 6,5 millions d’euros est prévue en novembre 2019. Grâce à ce financement, Poxel vise une trésorerie supérieure à 35 millions d’euros en fin d’année. Poxel pourra souscrire la deuxième tranche de 10 millions d’euros jusqu’au 31 mars 2020, et la troisième tranche de 13,5 millions jusqu’au 31 décembre 2021.
Poxel, société biopharmaceutique spécialisée dans le développement de traitements innovants contre des maladies métaboliques, dont le diabète de type 2 et la stéatohépatite non alcoolique (NASH), vient d’obtenir un financement complémentaire d’un maximum de 30 millions d’euros sous la forme d’un emprunt obligataire souscrit auprès d’IPF Partners. La souscription de la première tranche de 6,5 millions d’euros est prévue en novembre 2019. Grâce à ce financement, Poxel vise une trésorerie supérieure à 35 millions d’euros en fin d’année.
Ipsen a annoncé mardi prendre acte du projet de scission de Mayroy, son actionnaire de contrôle avec 56,4% du capital et 72,08% des droits de vote, devant entraîner un reclassement interne des titres du laboratoire pharmaceutique détenus par le véhicule d’investissement des descendants d’Henri Beaufour, fondateur d’Ipsen. « Selon les termes du communiqué publié par la société Mayroy, l’actionnariat familial contrôlant Ipsen demeurera inchangé à l’issue de ces opérations, la prééminence du concert formé par Anne et Henri Beaufour étant maintenue », a indiqué Ipsen dans son communiqué.
Sanofi a confirmé jeudi son objectif d’une progression de 5% de son bénéfice par action pour 2019 malgré la baisse de 1,1% de son chiffre d’affaires à 9,5 milliards au troisième trimestre. Le groupe a notamment été pénalisé par le décalage au quatrième trimestre de la livraison des vaccins contre la grippe aux États-Unis. Son résultat net trimestriel a progressé de 0,2% à 2,4 milliards d’euros, au-dessus des attentes. Paul Hudson, le nouveau directeur général du groupe, doit présenter le 10 décembre prochain son plan stratégique aux investisseurs.
Sanofi a confirmé aujourd’hui son objectif d’une progression de 5% de son bénéfice par action pour 2019 malgré la baisse de 1,1% de son chiffre d’affaires à 9,5 milliards au troisième trimestre. Le groupe a notamment été pénalisé par le décalage au quatrième trimestre de la livraison des vaccins contre la grippe aux États-Unis. Son résultat net trimestriel a progressé de 0,2% à 2,4 milliards d’euros, au-dessus des attentes. Paul Hudson, le nouveau directeur général du groupe, doit présenter le 10 décembre prochain son plan stratégique aux investisseurs.
Les laboratoires Boiron et Lehning viennent de saisir le Conseil d’Etat en vue d’obtenir l’annulation du décret n° 2019-905 qui réduit à titre transitoire le taux de prise en charge par l’assurance maladie des médicaments et préparations homéopathiques de 30 à 15%, ainsi que du décret n° 2019-904, qui exclut les préparations homéopathiques de la prise en charge par l’assurance maladie, à compter d’une date fixée par arrêté et au plus tard le 1er janvier 2021.
Le laboratoire pharmaceutique suisse a révisé ce matin à la hausse ses prévisions pour l’exercice 2019, après avoir enregistré une croissance de son bénéfice net de 8,5% à 2,04 milliards de dollars (1,84 milliard d’euros) au troisième trimestre. Novartis, qui avait déjà relevé ses prévisions en juillet, anticipe désormais une progression du résultat opérationnel des activités stratégiques «à deux chiffres entre le milieu et le haut de la fourchette» à taux de change constants. Le groupe table également sur un chiffre d’affaires net en croissance «à un chiffre dans le haut de la fourchette» à taux de change constants.
La biotech veut profiter de ses résultats prometteurs dans le traitement de la rectocolite hémorragique. Ce médicament pourrait être mis sur le marché en 2025
GlaxoSmithKline a annoncé ce matin la cession de ses vaccins contre la rage et l’encéphalite à tiques à la société danoise Bavarian Nordic pour un montant pouvant atteindre 955 millions d’euros. Le laboratoire pharmaceutique britannique recevra un paiement initial de 301 millions d’euros, des paiements d'étape de 495 millions d’euros et des paiements supplémentaires provenant de la vente de stocks estimés à 159 millions d’euros. Il précise que cette cession est conforme à son projet de simplification de son activité vaccins. Les deux produits cédés font partie de l’activité vaccins rachetée à Novartis en 2015.
Abivax, biotech qui mobilise le système immunitaire afin de développer de nouveaux traitements contre les maladies inflammatoires, les maladies virales et le cancer, vient de présenter des résultats cliniques « remarquables » sur l’efficacité et la tolérance après 12 mois d’ABX464 dans le traitement de la rectocolite hémorragique (RCH). Dans la foulée, l’action gagne 12% à mi-séance à Paris.
Sanofi a annoncé «le retrait préventif et volontaire» du Zantac, un médicament anti-ulcère en vente libre, au Canada et aux Etats-Unis, suite à une contamination possible par une impureté de nitrosamine appelée N-nitrosodiméthylamine (NDMA). Le 13 septembre 2019, la Food and Drug Administration des Etats-Unis et l’organisme Santé Canada ont averti que certains médicaments contenant de la ranitidine, dont le Zantac, pourraient comporter de faibles concentrations de NDMA, et ont demandé aux fabricants d’effectuer des analyses. Pour la même raison, d’autres laboratoires, comme GlaxoSmithKline et Novartis, ont déjà retiré leur version de ce médicament.
Sanofi a annoncé «le retrait préventif et volontaire» du Zantac, un médicament en vente libre, au Canada et aux Etats-Unis. Ce retrait fait suite à une contamination possible par une impureté de nitrosamine appelée N-nitrosodiméthylamine (NDMA). Zantac est un médicament anti-ulcère contre les brûlures d’estomac.
L’action Johnson & Johnson (JNJ) perd 3,5% vendredi en début de séance à New York, après que le groupe pharmaceutique américain a annoncé le rappel d’un «lot unique» de talc pour bébé à la suite de la découverte de «traces d’amiante blanc».
Le laboratoire pharmaceutique suisse a relevé mercredi, pour la troisième fois, sa prévision de chiffre d’affaires pour 2019, soutenu par la progression de ses ventes en Chine. Il s’attend également à finaliser le rachat de Spark Therapeutics pour 4,3 milliards de dollars (3,9 milliards d’euros) d’ici à la fin de l’année malgré des retards. Au troisième trimestre, son chiffre d’affaires a progressé de 13% à 15,6 milliards de francs suisses (14,2 milliards d’euros), notamment sous l’effet d’un bond de 50% des ventes de son traitement de la sclérose en plaques Ocrevus, qui ont atteint 929 millions de francs.
Le laboratoire pharmaceutique suisse a relevé aujourd’hui pour la troisième fois sa prévision de chiffre d’affaires pour 2019, soutenu par la progression de ses ventes en Chine. Il s’attend également à finaliser le rachat de Spark Therapeutics pour 4,3 milliards de dollars (3,9 milliards d’euros) d’ici à la fin de l’année malgré de nombreux retards. Roche anticipe désormais une croissance de son chiffre d’affaires dans le haut de la fourchette à un chiffre, à taux de changes constants, alors qu’il tablait en juillet sur une progression comprise entre le milieu et le haut de cette fourchette.
La société de biotechs française Hybrigenics, en difficulté après l'échec d’un essai clinique de son seul produit en développement, a annoncé mardi être passée sous le contrôle du français DMS Group. DMS, qui se consacrait à l’origine à l’imagerie médicale avant d'étendre son activité au marché du bien-être et la recherche sur les tissus adipeux, prend ainsi 80% de son capital. La direction d’Hybrigenics avait envisagé d’inviter les actionnaires à se prononcer sur la dissolution de la société fin 2018 après l'échec de l’essai clinique de phase II d’un candidat-médicament, l’inécalcitol. Elle avait finalement reçu une offre d’achat. Fondée en 1997, Hybrigenics s'était introduite à la Bourse de Paris fin 2007.
A l’annonce d’une augmentation de capital, avec maintien du droit préférentiel de souscription (DPS), de 7,2 millions d’euros, Valbiotis a chuté jeudi de 16,90% en Bourse. Le cours s’est ajusté sur le prix de souscription. Le spécialiste de la R&D pour la prévention et la lutte contre les maladies métaboliques offre ses titres au prix unitaire de 2,35 euros, soit une décote de 17,3% sur le cours du 8 octobre. Quatre actions détenues permettent de souscrire à trois actions nouvelles. La souscription sera ouverte du 16 au 28 octobre. L’opération permettra de sécuriser le financement à court terme, jusqu’en juin 2021, de la société.
A l’annonce d’une augmentation de capital, avec maintien du droit préférentiel de souscription (DPS), de 7,2 millions d’euros, Valbiotis a chuté aujourd’hui de 16,90% en Bourse. Le cours s’est ajusté sur le prix de souscription. Le spécialiste de la R&D pour la prévention et la lutte contre les maladies métaboliques offre ses titres au prix unitaire de 2,35 euros, soit une décote de 17,3% sur le cours du 8 octobre. Quatre actions détenues permettent de souscrire à trois actions nouvelles. La souscription sera ouverte du 16 au 28 octobre. L’opération, non garantie, fait l’objet d’engagements de souscription à hauteur de 75% par, permettra de sécuriser le financement à court terme, jusqu’en juin 2021, de la société.
SimCorp, l’un des principaux fournisseurs de services et solutions logicielles dans l’univers de l’investment management, a annoncé ce 9 octobre qu’Unigestion a finalisé avec succès sa migration d’un modèle «on premise» vers le cloud, sur SimCorp Dimension. Ce projet permet de réduire les charges opérationnelles auxquelles sont confrontées de nombreuses organisations buy side, qui recherchent plus de flexibilité, d'évolutivité et d'élasticité pour leurs opérations d’investissement. Unigestion est le premier client à migrer d’un déploiement «on premise» vers le Cloud SimCorp, déjà choisi par 20 organisations buy side à travers le monde. La société de gestion aura accès via le Cloud à de nombreux services permettant d’optimiser l’utilisation de SimCorp Dimension.