Nos articles d’actualité et d’analyse sur les économies et marchés (croissance, politique monétaire, indices boursiers) des pays dits émergents, soit la Chine, l’Inde, le Brésil, la Russie, l’Afrique du Sud, et des pays en voie de développement.
La banque centrale a pris mardi les marchés par surprise en relevant ses taux directeurs de 150 pb à 26,25%, après les avoir baissés de 200 pb en novembre.
La banque centrale du Mexique a relevé hier son taux directeur pour la cinquième fois depuis le mois de septembre mais à un rythme plus faible qu’auparavant, le rebond du peso rendant moins nécessaire une action forte. Le comité de politique monétaire de Banco de Mexico a décidé à l’unanimité de relever d’un quart de point son principal taux à 6,50%, son niveau le plus élevé depuis le début 2009. Dans son communiqué, la banque centrale motive sa décision par son souci d’ancrer les anticipations d’inflation et dit aussi avoir pris en compte la hausse de taux d’un quart de point décidée par la Réserve fédérale américaine le 15 mars. Le taux d’inflation a atteint 5% début mars, un plus haut de huit ans, mais les banquiers centraux s’attendent à ce qu’il revienne vers l’objectif de 3% d’ici fin 2018.
Le président Jacob Zuma a remanié hier soir l’exécutif sud-africain, se séparant de son ministre des Finances, Pravin Gordhan, largement apprécié des marchés.
L’autorité des marchés de capitaux du Koweït a indiqué hier que le jour de règlement des actions cotées sera porté à T+3 d’ici la fin du mois d’avril, alors qu’il est actuellement fixé à T+2 pour les investisseurs étrangers et T+0 pour les investisseurs locaux. Le pays souhaite également introduire des activités de vente à découvert et des produits dérivés afin de se rapprocher des standards internationaux et espérer voir ses actions incluses dans les grands indices mondiaux.
Le président sud-africain, Jacob Zuma, a ordonné hier à son ministre des Finances, Pravin Gordhan, d’interrompre un déplacement en Grande-Bretagne. La nouvelle, annoncée par la présidence sans explication, a immédiatement eu un impact sur la devise sud-africaine, le rand, qui a perdu jusqu'à 1,7% de sa valeur. Sur les marchés financiers, les obligations ont reculé fortement et à la Bourse de Johannesburg les valeurs bancaires ont perdu plus de 2%. Le ministre se trouvait à Londres dans le cadre d’une présentation aux investisseurs devant ensuite se poursuivre aux Etats-Unis.
Le président sud-africain, Jacob Zuma, a ordonné lundi à son ministre des Finances, Pravin Gordhan, d’interrompre un déplacement en Grande-Bretagne. La nouvelle, annoncée par la présidence sans explication, a immédiatement eu un impact sur la devise sud-africaine, le rand, qui a perdu jusqu'à 1,7% de sa valeur. Sur les marchés financiers, les obligations ont reculé fortement et à la Bourse de Johannesburg les valeurs bancaires ont perdu plus de 2%.
L’autorité des marchés de capitaux du Koweït a indiqué que le jour de règlements des actions cotées sera porté à T+3 d’ici la fin du mois d’avril, alors qu’il est actuellement fixé à T+2 pour les investisseurs étrangers et T+0 pour les investisseurs locaux. Le pays souhaite également introduire des activités de ventes à découvert et des produits dérivés afin de se rapprocher des standards internationaux et espérer voir ses actions incluses dans les grands indices mondiaux. «Nous travaillons avec les investisseurs étrangers et locaux pour faire du Koweït le marché le plus sophistiqué de la région», a indiqué Mishaal Al-Usaimi, le vice-président de l’autorité.
Moody’s a abaissé la perspective sur la note de la Turquie. La réduction de la liquidité opérée par la banque centrale permet pour le moment de stabiliser la livre.
L’agence de notation a décidé de maintenir la notation qu’elle accorde à la dette d’Etat du Brésil à Ba2, soit deux crans en dessous de la catégorie investissement, mais a néanmoins relevé sa perspective à «stable», alors qu’elle était «négative» auparavant. «Les conditions macroéconomiques se sont stabilisées au Brésil, avec une légère reprise de la croissance attendue en 2017 et une chute plus rapide que prévue de l’inflation. (…) Un élan positif de réforme a débuté l’an dernier, indiquant une amélioration du fonctionnement des institutions qui est de nature à soutenir les réformes budgétaires», explique Moody’s dans son communiqué.
L’agence de notation a décidé de maintenir la notation qu’elle accorde à la qualité de crédit de la dette d’Etat du Brésil à Ba2, soit deux crans en-dessous de la catégorie investissement, mais a néanmoins relevé à «stable» sa perspective, alors qu’elle était «négative» auparavant.
Le gouvernement britannique travaille à l'élaboration de solutions de repli dans l’hypothèse où les négociations sur le Brexit ne permettraient pas de conclure un accord acceptable avec l’Union européenne, a déclaré dimanche David Davis, le ministre britannique du Brexit, sur la BBC. Theresa May doit invoquer dans les prochains jours l’article 50 du Traité européen de Lisbonne ouvrant une période de deux années au cours de laquelle seront discutés les termes du divorce entre Londres et Bruxelles.
La valeur de la livre turque progressait de 0,8% ce matin face au dollar, la plus forte hausse parmi les devises émergentes, après que la banque centrale du pays a adjugé un milliard de dollars en swaps de change sur le marché à un taux fixé à 0,75% pour les opérations en dollar et à 11% pour celles en livre turque. Cette dernière s’est dépréciée de 5% face au billet vert au cours des deux dernières semaines. L’autorité a pourtant légèrement resserré ses conditions monétaires lors de ses opérations quotidiennes au cours de cette semaine, avant sa prochaine réunion qui se tiendra jeudi prochain, un jour après celle de la Réserve fédérale américaine (Fed). Un nouveau resserrement des taux est attendu par le consensus.
PepsiCo a soumis une offre d’achat sur la société brésilienne de produits laitiers Fabrica de Produtos Alimenticios Vigor, selon des informations données mercredi par deux quotidiens brésiliens. Valor Economico rapporte, citant des sources industrielles, que PepsiCo a soumis deux offres, la seconde représentant dans les 6 milliards de réals (1,8 milliard d’euros), et ajoute que le propriétaire actuel, J&F Investimentos, n’est pas d’accord sur le montant de la transaction.
La filiale brésilienne de Carrefour sera mise en Bourse vers le milieu de l’année, a assuré hier le troisième actionnaire du distributeur français, Abilio Diniz. «L’IPO de Carrefour Brésil aura bien lieu cette année», a déclaré à la presse le magnat brésilien en marge d’une conférence à l’ambassade du Brésil à Paris. «Nous ne savons pas encore si cela se fera à la fin du premier semestre ou au début du deuxième», a-t-il précisé, ajoutant être confiant quant au redressement de l'économie brésilienne.