Nos articles d'actualité et d'analyse sur les principales campagnes lancées par des actionnaires activistes (Elliott, Amber, Third Point, Trian Partners, Cevian, TCI etc.) sur des entreprises cotées en Bourse.
Nos articles d’actualité et d’analyse sur l'écosystème du paiement, avec les banques, les fintechs (Stripe, PayPal, Klarna), les acteurs spécialisés (Worldline), les Gafa (Apple Pay), la réglementation (DSP), le paiement instantané, les virements, le buy now pay later.
Une première transaction d'une carte allemande Girocard a eu lieu sur un TPE tricolore. Grâce à l’adoption d’un nouveau standard, les terminaux de paiement français pourront accepter davantage de cartes étrangères, dont celles émises en Allemagne.
Le portefeuille électronique d’EPI fonctionne : des transactions ont été réalisées entre la Sparkasse Elbe-Elster et BPCE, une première étape avant le lancement commercial prévu en 2024.
Deux mois après sa première levée de fonds, la start-up poussée par ses actionnaires accélère le développement de son offre et son déploiement commercial.
La fintech de paiement avait déjà collecté 590 millions d’euros l’année dernière et compte poursuivre son développement géographique et fonctionnel auprès des commerçants.
Plutôt que de mener en interne le projet d'offre de paiement, la banque a préféré l’externaliser auprès de ce start-up studio composé d’entrepreneurs focalisés sur la qualité de l’exécution.
Grâce à ce standard d’acceptation des paiements par carte transfrontière, les grandes enseignes peuvent unifier leur monétique, déployer de nouveaux services et offrir aux consommateurs une expérience de paiement qui leur est familière.
La banque envisagerait d'entrer au capital du spécialiste des paiements en difficulté, selon Bloomberg. Elle pourrait ainsi consolider le partenariat annoncé cette année entre les deux groupes, dans un domaine où elle tâtonne depuis plus de cinq ans.
Apple a proposé à Goldman Sachs de mettre fin à leur association dans les cartes de crédit et les comptes d'épargne d’ici à quinze mois. Si cette décision se confirmait, cela mettrait fin à un partenariat majeur entre une banque et un groupe technologique.
Après la publication de la proposition de règlement sur l'euro numérique par la Commission Européenne le 28 juin dernier, une nouvelle étape a été franchie le 1er novembre dernier pour ce projet visant à adapter la monnaie européenne à la numérisation croissante des paiements.
Le groupe japonais de paiements compte ainsi accélérer la croissance de son réseau d’acceptation et permettre à ses porteurs de cartes de les utiliser partout sur le territoire hexagonal.
Une étude du cabinet FXC Intelligence montre comment évoluent les revenus de quelques grands prestataires de transfert d'argent. Western Union domine toujours, mais ses concurrents grignotent des parts de marché.
Le transporteur de fonds Loomis, qui a installé des distributeurs de billets indépendants dans toute la France, constate une augmentation de la demande dans les petites communes et se déploie également chez les buralistes.
Pour Hervé Sitruk, président fondateur du France Payments Forum, les discussions sur l'euro numérique de détail doivent sortir des cercles de pouvoir, institutions européennes et gouvernements des Etats membres, et se tenir sur la place publique, démocratiquement.
Ce think tank synthétise les objectifs et attentes de la filière française des paiements qui cherche à rebâtir une indépendance stratégique européenne.
D’autres acteurs des paiements, comme Worldline, Adyen ou Revolut, proposent également l’offre dès maintenant aux marchands pour faciliter l’acceptation des paiements par carte.
Attendus nombreux pour les Jeux olympiques, les clients asiatiques pourront ainsi régler leurs courses dans les magasins de l’enseigne par QR code avec leurs portefeuilles électroniques habituels.