Les défauts de paiement sont déjà en hausse. Le contexte de resserrement monétaire et un levier élevé constituent un terreau pour une poursuite du mouvement.
Au lendemain des législatives, le taux à deux ans grec a frôlé celui de la France. Les rendements des titres inférieurs à un an sont déjà en dessous. Si la raison est technique, cela reflète la trajectoire positive de la Grèce.
L’agence S&P pourrait abaisser la notation de la France de AA à AA- vendredi, comme Fitch fin avril. Même si cette dégradation devenait effective, elle n’aurait pas une grande conséquence sur les marchés. Une situation bien différente de celle des pays dont la dette est proche de la catégorie haut rendement.
Une remontée des taux japonais pourrait détourner les investisseurs nippons des marchés obligataires mondiaux, notamment en zone euro, et provoquer des turbulences.
Le texte doit encore être adopté par la Chambre des représentants et par le Sénat. Les marchés sont confiants sur l’issue des votes, mais des critiques remontent déjà.
Le pays, qui a fait défaut fin 2022, a reçu l’aval pour l’aide du FMI. Il doit désormais restructurer 20 milliards de dollars de dette externe dans le cadre commun du G20.
La révision en cours de la réglementation européenne MIF2 doit amener à créer rapidement une base des données «fixed income» consolidées post-négociations.
Le comité chargé de se prononcer sur l’effacement des instruments «additional tier one» (AT1) de la banque a confirmé l’idée qu’ils sont trop subordonnés pour bénéficier des protections de crédit (CDS) standard.
Ce pays d’Amérique latine a mené le plus important échange contre des engagements en matière de préservation de la nature, dans un contexte de crise politique.
Près de la moitié de la dette négociable des pays de l’OCDE arrivera à échéance et devra être refinancée à un coût bien supérieur dans les trois prochaines années.