Les autorités de Kuala Lumpur ont annoncé ce 17 décembredes poursuites pénalescontre la banque américaine Goldman Sachs et deux de ses employés soupçonnés d’avoir détourné des milliards de dollars dans le scandale du fonds souverain 1MDB impliquant l’ex-premier ministre Najib Razak, rapporte l’AFP. Les poursuites concernent des filiales de Goldman Sachs ainsi que les anciens banquiers Tim Leissner et Ng Chong Hwa, a déclaré dans un communiqué Tommy Thomas, le procureur général de Malaisie, le principal conseil juridique du gouvernement, chargé des poursuites majeures. Ils sont soupçonnés d’avoir détourné à leur profit 2,7 milliards de dollars, d’avoir acheté des responsables et d’avoir fourni de fausses déclarations en réalisant des émissions obligataires pour le compte de 1MDB. La spoliation présumée de milliards de dollars du fonds d’investissement dans le cadre d’une fraude audacieuse impliquant l’ancien premier ministre et ses alliés, ayant servi entre autres à l’achat d’oeuvres d’art et de yachts, explique en bonne partie la défaite surprise du gouvernement de M.Razak aux élections de mai. L’ex-premier ministre, son épouse et des proches ont été inculpés dans le scandale, mais le dirigeant dément toute malversation. Les deux anciens employés de Goldman ont déjà été inculpés aux États-Unis le mois dernier. TimLeissner a plaidé coupable tandis que M.Ng a été arrêté en Malaisie.
L’objectif de cette organisation simplifiée qui s’appuie sur quatre piliers est de mieux répondre aux besoins des clients et de soutenir le développement d’AXA IM.
La société dédiée à l'épargne salariale lance parallèlement sa fondation destinée à soutenir financièrement « tous les projets et initiatives de l’économie sociale et solidaire porteurs de sens ».
La filiale de gestion d’actifs d’Axa IM a confirmé vendredi la mise en place de la nouvelle organisation proposée en juin 2018, à la suite des consultations qui ont eu lieu avec les représentants du personnel en France et au Royaume-Uni. Cette organisation, qui s’accompagne d’un plan d’investissement de 100 millions d’euros d’ici 2020 et d’un plan d'économies du même montant avec la suppression de 210 postes, s’appuie sur quatre piliers : clients, investissements core, investissements alternatifs et spécialisés, et fonctions support. A compter du 1er janvier 2019, Francisco Arcilla et Bettina Ducat deviendront respectivement les patrons mondiaux de la clientèle institutionnelle et de la distribution, tandis que Hans Stoter sera nommé patron des investissements core.
L’Association française de la gestion financière (AFG) et l’Association française des professionnels des titres (AFTI) ont présenté vendredi un ensemble de bonnes pratiques de Place relatives à la mise en œuvre des commissions de surperformance dans les OPCVM et les FIVG non réservés français. «Ce guide présente plus particulièrement les principes méthodologiques pour le calcul des commissions de surperformance ainsi que les aspects techniques relatifs à l’application» de ces commissions, selon un communiqué.
L’Association française de la gestion financière (AFG) et l’Association française des professionnels des titres (AFTI) présentent vendredi un ensemble de bonnes pratiques de Place relatives à la mise en œuvre des commissions de surperformance dans les OPCVM et les FIVG non réservés français. «Ce guide présente plus particulièrement les principes méthodologiques pour le calcul des commissions de surperformance ainsi que les aspects techniques relatifs à l’application» de ces commissions, selon un communiqué.
La filiale de gestion d’actifs d’Axa IM a confirmé vendredi la mise en place de la nouvelle organisation proposée en juin 2018, à la suite des consultations qui ont eu lieu avec les représentants du personnel en France et au Royaume-Uni. Cette organisation, qui s’accompagne d’un plan d’investissement de 100 millions d’euros d’ici 2020 et d’un plan d'économies du même montant avec la suppression de 210 postes, s’appuie sur quatre piliers : clients, investissements core, investissements alternatifs et spécialisés, et fonctions support.
Le groupe de protection sociale Apicil a annoncé ce 11 décembre le lancement de Capital Insurtech, un fonds d’investissement de 10 millions d’euros à destination des start-ups de l’insurtech. Ce fonds sera géré par Odysseus Alternative Ventures, une joint-venture entre Odysseus Investments (groupe Reech Corporations) et Seed Founders, société d’investissement spécialisée dans les nouvelles technologies. Il aura pour vocation d’accompagner de jeunes entreprises innovantes développant des technologies ou services pouvant faire évoluer le monde de l’assurance. «Avec ce fonds, nous souhaitons participer, collaborer et encourager l’écosystème des start-ups françaises et européennes, tout en cherchant à accompagner les mutations de demain», a fait savoir Philippe Barret, directeur général du groupe Apicil par voie de communiqué. Une volonté visiblement partagée par des investisseurs toujours plus nombreux, comme en témoignent les chiffres de la dernière étude trimestrielle réalisée par le cabinet Willis Towers Watson, selon lequel les investissements en insurtechs ont atteint 1,83 milliard d’euros en 2017, soit une augmentation de 36% par rapport à 2016. AB.
Le gestionnaire d’actifs suisse GAM Holding a annoncé jeudi qu’il prévoyait désormais une perte de 925 millions de francs sur l’ensemble de l’exercice, notamment en raison de charges de dépréciations massives liées à la baisse de son activité. Pour redresser la barre, le groupe va réduire ses coûts fixes de 40 millions de francs, notamment via la suppression de 10% de ses effectifs.
Rebondissement. Les gestionnaires sont à la fête. La Commission des affaires économiques et monétaires (Econ) du Parlement européen vient de voter un report de deux ans, au 31 décembre 2021, de l’extension du réglement Priips pour les OPCVM. Cet amendement dispense donc les fonds Ucits de produire le document d’information clé (Dici) lorsqu’ils sont vendus à des investisseurs privés, jusqu’à cette date. La profession s’était en effet saisie du sujet arguant que deux documents d’information clé allaient coexister dès le 1er janvier 2020 : le nouveau Dici et le Dic OPCVM usuellement produit. Or la nature des informations et les calculs de performance variant considérablement d’un document à un autre pour un même fonds d’investissement, les gestionnaires craignaient de semer le trouble du côté des épargnants. Confiants, au dire de certains acteurs, ce délai supplémentaire serait propice à la modification profonde de la directive.
CM-CIC Asset Management (AM) a signé un accord avec Milleis Banque (ex-Barclays France), pour reprendre les actifs gérés par Milleis Investissements (ex-Barclays Wealth), ont annoncé mercredi les deux parties. Les actifs cédés représentent environ 900 millions d’euros répartis dans cinq fonds actions, convertibles et monétaire, précise une source proche du dossier. Ils sont gérés par Jean-Louis Delhay et Jean-Luc Ménard, qui rejoindront CM-CIC AM à la clôture de l’opération, prévue à la fin du premier trimestre 2019. La filiale de gestion du Crédit Mutuel Alliance Fédérale (ex-Crédit Mutuel-CM11) gère actuellement 64,9 milliards d’euros. Milleis Investissements conservera 80 millions d’euros d’encours de fonds structurés. A leur échéance en 2020, la société de gestion devrait fermer ses portes. Contrôlée depuis 2017 par le fonds AnaCap, Milleis affiche 9 milliards d’euros d’encours clientèle.
CM-CIC Asset Management (AM) a signé un accord avec Milleis Banque, l’ex-Barclays France, pour reprendre les actifs gérés par Milleis Investissements (ex-Barclays Wealth), ont annoncé cet après-midi les deux parties. «Nous confions les fonds de notre société de gestion à CM-CIC AM pour proposer à nos clients une gestion patrimoniale en architecture ouverte, en sélectionnant les meilleurs fonds du marché», explique à L’Agefi Nicolas Hubert, directeur général de Milleis Banque.
Andreas Utermann, le directeur général d’Allianz Global Investors, la filiale de gestion d’actifs de l’assureur allemand, a prôné mardi une interdiction pure et simple des cryptoactifs qui, selon lui, engloutissent l'épargne des particuliers. Il se déclare «surpris que les régulateurs n’aient pas sévi davantage». Andrew Bailey, le président de la Financial Conduct Authority (FCA), lui a opposé que la réglementation était «assez stricte» au contraire, avant d’ajouter que les cryptoactifs n’avaient «pas de valeur intrinsèque». «Nous suivons cela de très près», a-t-il assuré, ainsi que les ICO (initial coin offerings).
La SAS Normandie Participations lance un appel à manifestation d’intérêt afin d’identifier et de sélectionner des investisseurs partenaires privés qui seront autorisés à conclure une convention de partenariat avec Normandie Participations, pour la réalisation de coinvestissements. La sélection des investisseurs partenaires privés s’effectuera au travers d’une évaluation d’un dossier de candidature selon les critères de sélection détaillées à l’article 7 de l’appel à Manifestation d’intérêt qui sera téléchargeable à partir du 15.12.2018, à l’adresse de Normandie Participations. La société Normandie Participations est une société de coinvestissement créée par la région Normandie qui accompagne les initiatives des acteurs privés mais aussi par son positionnement, qui participe à la structuration de l’offre de financement aux entreprises du territoire. Ce fonds de coinvestissement généraliste permet également de donner une plus grande cohérence à l'écosystème du financement normand en contribuant à la meilleure articulation des acteurs. Il a enfin pour objectif d’attirer et d’animer des coinvestisseurs locaux ou extérieurs à la région Normandie (Business Angels, Capital Risque et Banques notamment) afin d’investir au coté du fonds dans les entreprises. Le Conseil régional de Normandie a pour cela constitué une SAS placée sous le régime des Sociétés de capital-risque (SCR), et au capital entièrement détenu par la région Normandie: la SAS Normandie Participations. Date prévue pour le lancement de la procédure de passation : le 1er janvier 2019** Pour lire l’avis complet, cliquer ici.
Andreas Utermann, le directeur général d’Allianz Global Investors, la filiale de gestion d’actifs de l’assureur allemand, a prôné mardi une interdiction pure et simple des cryptoactifs qui, selon lui, engloutissent l'épargne des particuliers. «Vous devriez les interdire», a déclaré Andreas Utermann lors d’une table ronde à Londres, rapporte Reuters, s’adressant notamment à Andrew Bailey, le président de la Financial Conduct Authority (FCA), assis à ses côtés. «Je suis personnellement surpris que les régulateurs n’aient pas sévi davantage », a ajouté Andreas Utermann.