La cour d’appel de Metz a annulé des prêts souscrits en franc suisse qui laissaient à l’emprunteur la totalité de la charge du risque de change le 6 avril dernier, les remplaçant par des prêts en euros à taux zéro, a annoncé hier le cabinet Dillenschneider Favaro & Associés, qui conseillait plus d’une centaine de clients ayant notamment souscrit ce type de crédits auprès du Crédit Agricole. «Ces arrêts constituent une jurisprudence très favorable à l’emprunteur français, non seulement pour les crédits en franc suisse, mais également pour tous les prêts en devises étrangères», précise le cabinet.
L’Agence France Trésor (AFT) a annoncé ce matin l’adjudication, le jeudi 20 avril, d’un montant compris entre 750 millions et 1,25 milliard d’euros d’obligations assimilables du Trésor (OAT) indexées sur l’inflation en France (OATi) et dans la zone euro (OATei) à échéance 2021, 2025 et 2047.
Le nombre de créations d’entreprises en France a rebondi de 2,4% en mars pour s'établir à 47.518, selon les données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables publiées hier par l’Insee. L'évolution du nombre total de créations en février a été confirmée en recul de 1%. En excluant les microentrepreneurs (ex-auto-entrepreneurs), les créations affichent en mars une progression de 2,2%, à 28.690. Au premier trimestre, le rythme de hausse du nombre cumulé de créations en données brutes a accéléré à 6,2%, après +4,2% en février.
Le nombre de créations d’entreprises en France a rebondi de 2,4% en mars pour s'établir à 47.518, selon les données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables publiées ce matin par l’Insee. L'évolution du nombre total de créations d’entreprises en février a été confirmé en recul de 1% malgré une révision à la marge du nombre total de créations d’entreprises à 46.403. En excluant les microentrepreneurs (ex-auto-entrepreneurs), les créations d’entreprises affichent en mars une progression de 2,2%, à 28.690. Au premier trimestre, le rythme de hausse du nombre cumulé de créations d’entreprises en données brutes a accéléré par à 6,2%, après +4,2% en février, sous l’effet d’une forte augmentation des différents types d’entreprises.
Le gouvernement italien confirmera sa prévision de 1% de croissance en 2017 et relancera son programme de privatisation la semaine prochaine à l’occasion de la publication d’un nouveau programme budgétaire pluriannuel, a déclaré samedi Enrico Morando, secrétaire d’Etat à l’Economie. S’exprimant lors de l’atelier Ambrosetti à Cernobbio, Morando a ajouté que le gouvernement ferait état à compter de 2018 d’une tendance à la dimunution d’une dette publique qui n’a cessé d’augmenter dix années d’affilée. Cela s’appuierait sur des produits de privatisations représentant cette année 0,3% à 0,4% du PIB, a-t-il précisé. La dette italienne a atteint en 2016 133% du PIB.
Le déficit commercial de la France s’est sensiblement réduit en février par rapport à son niveau record de janvier tout en restant au-dessus de sa moyenne des dernières années du fait notamment d’importations d'énergie élevées, selon les statistiques CVS/CJO publiées vendredi par les Douanes. Il s’est inscrit ainsi à 6,57 milliards d’euros et se compare à un déficit de janvier révisé à 8,06 milliards (7,94 milliards en première estimation). Si l’on excepte le record de janvier, le déficit de février est le plus élevé enregistré sur un mois depuis quatre ans.
La Fédération française du bâtiment (FFB) a confirmé hier s’attendre cette année à une accélération de l’activité en volume, avec une hausse attendue de 3,4% tirée par le neuf, ainsi qu'à un redémarrage de l’emploi avec un solde net attendu de 10.000 postes. En 2016, le bâtiment a enregistré une croissance de 1,9% et vu ses effectifs se stabiliser, après huit années de crise et une contraction de 2,4% des volumes et 35.600 pertes d’emplois en 2015.
Si le nombre de créations d’entreprises en France a reculé de 1% en février à 46.385, le nombre de janvier a été revu à la hausse de 0,4 point à +1,9%, selon les données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables publiées hier par l’Insee. Sur les trois mois achevés fin février, en données brutes, le nombre cumulé de créations d’entreprises est en nette progression sur un an (+4,2%): l’augmentation s’est manifestée pour tous les types d’entreprises, qu’il s’agisse des entreprises classiques (+5,8%), ou des immatriculations de micro-entrepreneurs (+2,7%). Mais il affiche un net ralentissement par rapport aux 7,7% observés sur les trois mois à fin janvier.
Si le nombre de créations d’entreprises en France a reculé de 1% en février à 46.385, le nombre de janvier a été revu à la hausse de 0,4 point à +1,9%, selon les données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables publiées ce matin par l’Insee. Sur les trois mois achevés fin février, en données brutes, le nombre cumulé de créations d’entreprises est en nette progression par rapport à la même période un an plus tôt à un rythme de +4,2%, mais affiche un net ralentissement par rapport au rythme de +7,7% observé sur les trois mois à fin janvier. La hausse observée sur la période allant de décembre 2016 à février 2017 s’est manifesté pour tous les types d’entreprises, qu’il s’agisse des entreprises classiques (+5,8% des créations de sociétés), ou des immatriculations de micro-entrepreneurs, en augmentation de 2,7%.
La société japonaise Fujitsu a annoncé hier un investissement de plus de 50 millions d’euros sur cinq ans afin de soutenir l’innovation digitale en France, en partenariat avec le gouvernement. Fujitsu va ainsi ouvrir un centre d’excellence au sein de l’incubateur de l’Ecole Polytechnique et mettre en place un programme de recherche commun avec l’Inria sur l’intelligence artificielle.
L’agence Fitch a confirmé vendredi la note souveraine «AA» de la France et la perspective stable qui lui est associée. Fitch a dégradé pour la dernière fois la note de la France en décembre 2014, la faisant passer de AA+ à AA, avec une perspective stable.
Les 47 milliards d’euros alloués aux premières phases seront entièrement engagés à la fin juin, mais les données financières publiées demeurent limitées.
L'économie française a progressé de 0,4% au quatrième trimestre 2016, selon la deuxième estimation de l’Insee publiée hier. Cette légère accélération porte la hausse du produit intérieur brut (PIB) à 1,1% sur l’ensemble de l’année dernière, après +1,2% en 2015. L’institut national de la statistique a pourtant revu en hausse de 0,1 point la croissance du premier trimestre 2016, à 0,7%. La croissance 2016 a été inférieure à la moyenne de la zone euro (1,7%) ainsi qu'à l’objectif du gouvernement, qui avait été révisé à 1,4% en novembre (contre 1,5% précédemment).
L'économie française a bien progressé de 0,4% au quatrième trimestre 2016, cette légère accélération portant la hausse du produit intérieur brut (PIB) à 1,1% sur l’ensemble de l’année dernière, après +1,2% en 2015, selon la deuxième estimation de l’Insee publiée mardi. La croissance 2016 a donc bien été inférieure à la moyenne de la zone euro (1,7%) ainsi qu'à l’objectif du gouvernement, qui avait été révisé à 1,4% en novembre (contre 1,5% précédemment).
La confiance des ménages est restée stable en février, évoluant au niveau de sa moyenne de longue période pour le deuxième mois consécutif, selon des données publiées vendredi par l’Insee. L’indicateur synthétisant cette confiance reste ainsi à 100. Il n’avait pas évolué à ce niveau depuis octobre 2007, ayant plongé entre temps jusqu'à 80 au printemps 2013. L’enquête de février fait apparaître une opinion des ménages sur leur situation financière personnelle passée et future proche de la normale. Leurs craintes sur le chômage sont quasi stables et restent à un niveau inférieur à la moyenne de long terme pour le quatrième mois consécutif.
La confiance des ménages est restée stable en février, évoluant au niveau de sa moyenne de longue période pour le deuxième mois consécutif, selon des données publiées vendredi par l’Insee. L’indicateur synthétisant cette confiance reste ainsi à 100, conformément aux attentes des économistes interrogés par Reuters, comme en janvier. Il n’avait pas évolué à ce niveau depuis octobre 2007, ayant plongé entre temps jusqu'à 80 au printemps 2013.
Le coût d’une garantie contre un risque de défaut de l’Etat français sur sa dette a atteint hier son plus haut niveau depuis plus de trois ans, reflétant l’incertitude sur l’issue de l'élection présidentielle d’avril-mai. Les swaps de défaut de crédit (CDS) sur la dette française, des instruments financiers utilisés comme une assurance contre un risque de non-remboursement des obligations d’Etat, ont atteint environ 67 points de base selon les données de la société d’information financière Markit. La probabilité d’un défaut français dans un délai de cinq ans est estimée à 5,5%, contre 3% au début du mois.
Le coût d’une garantie contre un risque de défaut de l’Etat français sur sa dette a atteint mardi son plus haut niveau depuis plus de trois ans, reflétant l’incertitude sur l’issue de l'élection présidentielle d’avril-mai. Les swaps de défaut de crédit (CDS) sur la dette française, des instruments financiers utilisés par certains investisseurs comme une assurance contre un risque de non-remboursement des obligations d’Etat, ont atteint environ 67 points de base selon les données de la société d’information financière Markit.
EDF a annoncé hier que son conseil d’administration avait décidé d’engager son augmentation de capital d’environ quatre milliards d’euros avant la fin du premier trimestre si les conditions de marché le permettent. Ce projet dévoilé le 22 avril 2016 s’inscrit dans une série de mesures destinées à renforcer la structure financière de l'électricien public, qui publie ses résultats annuels aujourd’hui avant l’ouverture de la Bourse, rappelle dans un communiqué que l’Etat, son premier actionnaire, s’est engagé à participer à cette opération à hauteur de trois milliards d’euros. L’opération sera réalisée en fonction des conditions de marché, après une nouvelle délibération du conseil d’administration et une fois obtenu le feu vert de l’Autorité des marchés financiers, précise le groupe. Les banques chargées de l’opération, en tant que coordinateurs globaux associés, sont BNP Paribas, HSBC , JP Morgan et la Société générale.