Une étude menée par PwC Luxembourg suggère que les encours des fonds intégrant les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance représenteront entre 41% et 57%des encours totaux des fonds mutuels européens d’ici 2025. Le consultant évoqueun taux de croissance annuel moyen de 28,8% pour les encours des fonds ESG en Europeentre 2019 et 2025. PwC Luxembourg prévoit que les encours des fonds ESG européens approcheront les 7.600 milliards d’euros d’ici 2025 et que l’Europe, à elle seule, constituera74% des encours ESG au niveau mondial. Fin décembre 2019, les encours ESG en Europe s'élevaient à 1.663 milliards d’euros, soit 12,7% des encours des fonds européens. Avec 4.741 fonds ESG recensés, l’Europe représentait presque 70% des encours ESG globaux. D’après les calculs du consultant, les fonds actions ESG devraient connaître un taux de croissance annuel moyen de 26,8% avec des encours atteignant plus de 3.600 milliards d’euros d’ici 2025. En outre, d’ici la fin de l’année 2025, les fonds obligataires ESG devraient dépasser les 1.600 milliards d’euros (taux de croissance annuel moyen de 30,4%). Autre enseignement de l'étude, une majorité d’investisseurs institutionnels s’attendent à une convergence entre les fonds ESG et non-ESG d’ici 2022. 77% des institutionnels interrogés pour l'étude prévoient de ne plus acheter de produits non-ESG d’ici2022. Les sociétés de gestion sont légèrement moins convaincues sur la convergence des produits. Seulement 14% des gestionnaires interrogés envisagent d’arrêter la commercialisation de produits non-ESG d’ici 2022. Les institutionnels ne semblent pas prêts à payer davantage pour un fonds ESG à 63%. Pour ceux qui le sont, une majorité entend payer entre 21 et 40points de base supplémentaires au maximum pour les fonds actions (grandes et petites capitalisations), les fonds crédit, les fonds diversifiés. Pour les fonds d’obligations gouvernementales ESG, ils n’envisagent pas de payer plus que 20 points de base supplémentaires.
Cyrille Carrière et Cyril de Vanssay, qui géraient plus de 4 milliards d’euros au sein de Groupama Asset Management, ont lancé leur société de gestion avec un ex-collègue et des anciens d’Amiral Gestion. Cette création confirme des informations publiées fin septembre par NewsManagers. Appelée Lonvia Capital, cette boutique réunit aussi Jean-Baptiste Barenton, ancien responsable de la gestion privée d’Amiral Gestion. Il prend la direction générale de la nouvelle structure, qui sera présidée par Cyrille Carrière. Amin Zeghlache, qui était commercial distribution externe de Groupama AM, sera chargé du développement commercial de Lonvia Capital pour la France, le Benelux, la Suisse, Monaco et Singapour. Frédéric Rodriguez d’Achille, ex-responsable de développement pour la clientèle institutionnelle à Madrid d’Amiral, s’occupera des ventes en Espagne, Italie et Amérique Latine. Enfin, Jacques Gout Lombart et Dorian Terral, deux anciens d’Amiral Gestion, seront analystes gérants. Tous ces professionnels sont associés au capital de la nouvelle structure, entièrement indépendante. Et un autre commercial devrait la rejoindre prochainement. « Avec Cyril de Vanssay, qui travaille à mes côtés depuis de nombreuses années, et une équipe étendue et expérimentée, nous avons fondé Lonvia Capital, pour poursuivre le développement d’une philosophie de gestion singulière et reconnue, appliquée avec succès depuis de nombreuses années sur le segment des petites et moyennes valeurs européennes, avec des moyens renforcés et de nouvelles ambitions de croissance », a commenté Cyrille Carrière, co-fondateur, président et directeur de la gestion. Trois fonds vont voir le jour La nouvelle boutique va lancer trois fonds UCITS V de droit luxembourgeois spécialisés sur les petites et moyennes capitalisations européennes. Lonvia Avenir Mid-Cap Euro et Lonvia Avenir Mid-Cap Europe seront placés sous la responsabilité de Cyrille Carrière et Lonvia Avenir Small Cap Europe sera piloté par Cyril de Vanssay. La stratégie d’investissement déployée au sein de ces fonds s’inscrira «dans la parfaite continuité du savoir-faire développé par Cyrille Carrière», souligne un communiqué. Jusqu’en septembre 2020, ce dernier gérait les stratégies actions Small & Mid Cap Euro et Europe de Groupama AM au travers notamment des deux fonds Groupama Avenir Euro et G Fund Avenir Europe. Ces stratégies sont passées de 70 millions d’euros d’encours entre mars 2012, date de son arrivée, à plus de 4 milliards d’euros d’encours en septembre 2020. Une prouesse que la nouvelle équipe espère répliquer. D’ores et déjà, un riche investisseur privé, un gros familly office de la place et plusieurs banques privées et CGP se sont associés au nouveau projet en investissant dans les nouveaux fonds pour un montant qui n’a pas été précisé. Enfin, pour la touche «impact», Lonvia Capital s’engage à consacrer 10 % de son résultat net pour soutenir des projets dans les domaines de la recherche médicale, de l’inclusion sociale ou encore de la préservation de l’environnement.
Vingt acteurs du capital-investissement présents dans la région Provence Alpes Côte d’Azur (PACA) ont annoncé ce 12 octobre la fondation de l’association «Ambition Capital». L’association a pour ambition de représenter le secteur et ses membres auprès de l’ensemble des acteurs socio-économiques de la région, d'être un lieu de rencontre, et de promouvoir les bonnes pratiques de la profession notamment par la mise en place d’initiatives en matière de RSE. Elle sera également un relais pour les délégués régionaux de France Invest,. Le premier conseil d’administration est le suivant : - Président, chargé des relations avec les institutions : Franck Paoli, président de ConnectPro; - Trésorier, chargé de la politique RSE : Marc Andrieu, directeur de participations chez SG Capital Partenaires; - Secrétaire général, chargé des statistiques régionales et de la communication : Alexandre Flageul, directeur général de Sofipaca; - Chargé des relations avec les accélérateurs et les experts intervenants : Arnaud Hilaire, directeur d’investissement sénior chez Bpifrance; - Chargée de l’animation des réseaux sociaux : Violaine Mahier, directrice des participations chez iXO PE; - Chargée des relations avec France Invest et avec les grandes écoles du territoire : Marie Desportes, directrice associée chez Turenne Capital. Les autres membres sont : A+ Finance, BNP Développement, CAAP Création, Côte d’Azur Capital, Créazur, Crédit Mutuel Equity, Go Capital, Jump Venture, Sofimac Innovation, Tertium, P Factory, Région Sud Investissement, SCR Provençale et Corse, Smalt Capital. Les membres doivent disposer d’au moins une adresse et un investissement dans la région.
La banque américaine Morgan Stanley a annoncé jeudi qu’elle allait acquérir la société de gestion Eaton Vance pour un montant de 7 milliards de dollars. En s’arrogeant les 500 milliards de dollars d’encours d’Eaton Vance, Morgan Stanley va porter ses encours à 1.200 milliards de dollars dans la gestion d’actifs, via sa société Morgan Stanley Investment Management. Le chiffre d’affaires des deux entités s’élèvera à plus de 5 milliards de dollars. En ajoutant l’activité de gestion de fortune, les encours de Morgan Stanley atteindront 4.400 milliards de dollars. MSIM et Eaton Vance sont «fortement complémentaires, avec peu de doublons dans l’investissement et la distribution», assure un communiqué. Eaton Vance est une société qui dispose de plusieurs boutiques de gestion spécialisées, dont Eaton Vance Management, Parametric, Atlanta Capital, Calvert et Hexavest. Certains d’entre elles sont le fruit d’une stratégie d’acquisitions. «L’ajout des capacités d’investissement et de distribution de haute qualité d’Eaton Vance à l’activité de gestion d’actifs de Morgan Stanley renforcera encore la compétitivité de Morgan Stanley au sein de l’industrie”, a commenté pour NewsManagers Stephen Tu, VP-Sr Credit Officer chez Moody’s Investors Service. «Eaton Vance apporte à Morgan Stanley un certain nombre de capacités d’investissement différenciées et à grande échelle dans des segments qui offrent d’importantes possibilités de croissance organique des encours pour son activité de gestion d’actifs. Il est important de souligner que nombre de ces capacités visent à apporter de la valeur aux clients au-delà de la surperformance active ou de la fourniture d’un beta pur à faible coût, comme les facteurs ESG, les portefeuilles personnalisés et les solutions fiscales». Cette fusion doit permettre à Morgan Stanley de réaliser des économies de coûts de 150 millions de dollars - soit 4 % des dépenses de MSIM et d’Eaton Vance, précise encore le communiqué Selon les termes de l’accord de fusion, les actionnaires d’Eaton Vance recevront 28,25 dollars par action en espèces et 0,5833 action ordinaire Morgan Stanley, ce qui représente un montant total d’environ 56,50 dollars par action. Il y a quelques jours, début octobre, Morgan Stanley bouclait le rachat du courtier en ligne E*Trade annoncé au mois de février dernier, pour un montant de 13 milliards de dollars. L’opération lui avait déjà permis d’augmenter ses encoure de 780 milliards de dollars et de s’ouvrir au marché des investisseurs particuliers. Cette nouvelle acquisition n’est pas une surprise totale, Morgan Stanley ayant annoncé en début d’année qu’elle continuerait à rechercher des acquisitions afin de renforcer son activité de gestion d’actifs.
Calvert Research and Management, la filiale d’Eaton Vance Corp dédiée à l’investissement responsable, ouvre le Calvert Institute for Responsible Investing en Europe et Asie, un institut de recherchequi vise à promouvoir les meilleures pratiques en matière d’investissement responsable et faire progresser la compréhension sur ce sujet, initialement lancé en Amérique du Nord. En complément de ses programmes internes de recherche et d'éducation, le Calvert Institute s’associera avec des organisations universitaires de premier plan, des groupes industriels et d’autres investisseurs partageant les mêmes préoccupations pour créer et parrainer des recherches tierces axées sur les questions environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) qui préoccupent les investisseurs responsables. Les projets de recherche actuels incluent l’exploration et l'évaluation des formes de gouvernance d’entreprise, la gestion du capital humain, l’inégalité et la matérialité financière de la diversité des sexes et des races, l’intégration des facteurs ESG, les finances publiques, les pratiques durables et la transition énergétique mondiale.
Le gérant américain BNY Mellon Investment Management vient de lancer deux nouveaux fonds au sein de sa gamme obligataire Efficient beta. Le premier, «BNY Mellon Efficient Global IG Corporate Beta Fund», cherchera à dégager une performance supérieure à celle de son indice, tandis que le second, «BNY Mellon Efficient Global High Yield Fund», visera une performance en ligne avec celle de son indice. La gestion a été confiée à Mellon Investments Corporation, et la distribution à la sicav irlandaise BNY Mellon Global Fund. La gamme est spécialisée dans l’utilisation de dérivés de crédits, d’ETF, de trading et d’amélioration de l'échantillonnage de portefeuilles pour essayer de dégager des performances compétitives, supérieures ou similaires à celles d’un indice de référence obligataire, le tout en corrigeant les inefficiences inhérentes à cet indice, comme par exemple des règles d’indice trop strictes et des coûts de transaction importants. A fin juin 2020, elle représentait 8,8 milliards de dollars d’encours sur les 2.000 milliards gérés par la firme.
Le fonds, qui gère les ressources de l’université américaine, enregistre un meilleur rendement que celui projeté pour l’exercice achevé en juin 2020, et maintient son allocation.
La plupart des produits d'épargne à long terme et d'épargne-retraite de l'Union européenne "n'ont pas eu, en moyenne, un rendement réel proche" de celui des marchés des capitaux au cours des 20 dernières années, révèle une étude de Better Finance, la fédération des investisseurs particuliers européens.
L’organisation indépendante britannique City Hive, qui promeut une industrie de lagestion d’actifs plus durable, diverse et inclusive, a envoyé vendredi une lettre aux aux responsables de plusieurs sociétés de gestion. Dans ce courrier, City Hive tacle le manque d’action concrète de la part du secteur de la gestion d’actifs pour faire une priorité des questions de diversité et d’inclusion. Si Bhavini Shah, la directrice générale de City Hive, relève qu’il y a eu une hausse de l’attention portée à ses sujets à travers les récentes campagnes comme #IAM, #BlackLivesMatter ou #Metoo, elle estime que les sociétés de gestion doivent changer leur culture de manière importante et que cela commence en haut de la hiérarchie. «Les directeurs généraux (des sociétés de gestion) tiennent de beaux discours, achètent régulièrement des tables lors des remises de prix, sponsorisent des événements, postent durant les jours ou mois de commémoration et signent des initiatives quant à leur engagement sur l’amélioration de la diversité dans l’industrie et au sein de leurs propres sociétés. Cependant, sans action concrète, cela revient simplement à cocher des cases», écrit Bhavini Shah, qui insiste sur le manque de preuves tangibles démontrant que la diversité et l’inclusion sont une priorité dans l’industrie. «L’amélioration de la diversité, qu’elle soit de genre, ethnique, LGBTQ, d'éducation, socio-économique ou en termes de neurodiversité, doit être inscrite comme un objectif clé de l’activité des sociétés de gestion, et ne pas être un objectif une fois dans l’année lors de la journée internationale de la femme ou quand il vient d’avoir une grosse injustice.La diversité et l’inclusion comptent 365 jours par an», souligne Bhavini Shah.
Instit Invest publie les dossiers de participation aux Couronnes 2020 qui auront lieu le 3 décembre à Paris. Aujourd'hui, la Sacra, Société anonyme de consolidation des retraites de l’assurance, concourt pour le prix de la Meilleure initiative en faveur de la gouvernance et de sa transparence avec Stève Baumann, son président du directoire. Extraits.
EDF recherche un partenaire pour la gestion financière et administrative du futur dispositif « PER obligatoire » pour le personnel non statutaire d’EDF SA et de certaines filiales du groupe EDF. L’accès aux documents du marché est restreint. Les candidats (individuels ou groupés) doivent relever de l’une des catégories suivantes : entreprises d’assurance, mutuelles ou unions, institutions de prévoyance ou unions, établissements de crédit, entreprises d’investissement, établissements habilites pour les activités de conservation ou d’administration d’instruments financiers. Plus d’information ici. Les candidature sont attendues avant le 07/10/2020 à 12:00.
La Caisse Autonome de Retraite des Médecins de France a mobilisé près d'un milliard d'euros pour financer diverses actions liées à la crise du Covid-19. Elle a également réalisé une forte plus-value sur la vente d'ETF d'or.
La relocalisation et le renforcement de l’industrie sont dans l’air du temps. La thématique d’investissement en non coté de Yotta Capital, combinant industrie du futur et décarbonation, a donc trouvé un écho favorable auprès de souscripteurs tel que Bpifrance, le Fonds européen d’investissement, des institutionnels français (assureurs, banquiers) ou encore Swen Capital Partners (filiale d’OFI et d’Arkea). Le reste des investisseurs sont des particuliers ou de petits family offices. Ils apportent en tout 101 millions d’euros à la nouvelle société de gestion pour son premier véhicule, qui a l’ambition de collecter jusqu'à 120 millions pour son closing final dans les prochains mois. Le fonds a pour vocation de financer des PME françaises qui réalisent entre 5 et 50 millions d’euros de chiffre d’affaires, le plus souvent en régions. «Nous allons nous consacrer à deux types de cibles, d’une part les apporteurs de solutions aux industriels, qui les équipent d’outils digitaux, les aident à installer une robotisation ou une automatisation, et de l’autre des exploitants «traditionnels» qui veulent migrer vers cette industrie du futur», expliquent Pierre Dejoux, Xavier Herrmann et Benoît Perrot, associés fondateurs de Yotta Capital Partners. «Nous avons également un axe fort sur la décarbonation, nous sommes là pour aider ces entreprises à s’améliorer sur ce point, poursuivent-ils. Nous travaillons en partenariat avec Carbone 4 qui pourra accompagner ces entreprises et nous nous sommes fixés des objectifs extra-financiers pour le portefeuille en termes de décarbonation et de création d’emplois en régions.»
Danske Bank va devoir payer une indemnité comprise entre 80 millions et 100 millions de couronnes danoises à 900 clients d’un produit d’investissement pour lequel les informations ont été insuffisantes, annonce-t-elle dans un communiqué. Entre le 1er février 2017 et le 5 juillet 2018, les clients de Danske Porteføljepleje n’ont pas été correctement informés des rendements nets négatifs attendus pour ces stratégies à faible risque. La découverte de ce problème fait suite à un premier cas de ce genre (Flexinvest Fri), qui a conduit à un audit des produits d’investissement de la banque danoise.
Patrizia AG a promu Vivian Bouquery au poste nouvellement créé de directeur de l’asset management. Il travaillera en étroite collaboration avec le président en France, Lionel Nicolas. Sous la direction d’Alberto González de las Heras, directeur de l’asset management pour l’Europe du Sud-Ouest, Vivian Bouquery dirigera les activités de près de 100 actifs en France, dont la valeur dépasse les 2,1 milliards d’euros. Vivient Bouquery a rejoint Patrizia en 2016 et était jusqu’à présent «senior asset manager» en France et en Belgique, selon son profil Linked-In. Il a précédemment travaillé pour Etoile Property Services, Tamar Capital Partners et Bail Investissement.
BMO Global Asset Management a nommé June Lui responsable de l’Asie-Pacifique en plus de son rôle de gérante principale du fonds LGM Greater China Equities, rapporte Asian Investor. Elle succède à Raveendra Sriskandarajah, qui est partie le mois dernier et devrait rejoindre la société de gestion australienne QIC en septembre comme executive director of client solutions and capital.
La société de gestion suédoise Catella Funds a nommé Fredric Calles directeur général. Il succède à Erik Kjellgren, qui quitte son poste avec effet immédiat. Fredric Calles est actuellement responsable des investissements alternatifs du groupe Catella, qui détient 30 % de Catella Funds. Avant cela, il a travaillé pour AB Industrivärden en tant que responsable de la gestion d’actifs et responsable des investissements et CEO de Nordinvest. Cette nomination fait suite à la vente par Catella de 70 % de Catella Funds à Athanase Industrial Partner. «La société aborde une nouvelle phase, qui requiert un nouveau leadership», justifie Johan Claesson, CEO de Catella et président du conseil d’administration de Catella Fund.
Royal London Asset Management a enregistré au premier semestre 2020 des souscriptions nettes de 997 millions de livres. Sur la période correspondante de l’an dernier, la collecte avait été de 5,5 milliards de livres. «Les flux internes et la croissance pour les fonds durables ont été partiellement effacés par des rachats externes d’institutionnels, notamment sur les fonds obligataires et monétaires», commente la société de gestion. Les encours sous gestion sont restés stables à 139 milliards de livres par rapport à fin 2019.