L’actualité (lancement, levée de fonds, nouveaux produits) des start-up qui utilisent les nouvelles technologies pour proposer des services innovants dans le domaine de la finance.
L’accès aux comptes bancaires des emprunteurs et l’investissement dans le traitement des données procurent à la plate-forme une capacité de croissance renforcée.
Pierre Kanengieser est depuis un an responsable Industrie Finances & Assurance chez Facebook France. Il explique à L'Agefi les ambitions du groupe dans la finance.
Mixité. Les jeunes pousses de la finance sont tendance, mais elles ne font guère mieux que leurs devancières traditionnelles en matière de mixité. Pour donner un coup de pouce à la féminisation du secteur, la Société Générale lance un concours, le « Female Fintech for Good Challenge ». La banque s’est associée à 50inTech, une plate-forme de mise en relation entre femmes de la tech, entreprises et sociétés de capital-risque. Ouvert jusqu’au 15 novembre, le concours récompensera deux fondatrices ou dirigeantes d’une start-up de la finance « qui développe des solutions pour accélérer la transition vers une économie plus verte ou dans une logique de générer un impact social, disposant au moins d’un démonstrateur ou d’une application, et pouvant opérer sur le marché français ». Avec, à la clé, six mois d’incubation dans l’une des branches métier de la Société Générale.
L’application de paiement Pumpkin annonce le lancement d’un compte courant au prix de 2 euros par mois. Les clients pourront gérer en temps réel leur argent et le dépenser dans le monde entier sans frais, tout en continuant de profiter de son application principale : le remboursement instantané entre particuliers. La fintech, qui revendique 1 million d’utilisateurs, explique que la responsabilité financière est également un des enjeux de l’application. Pumpkin a été créé il y a cinq ans par trois entrepreneurs lillois.
La néobanque Chime a levé 485 millions de dollars dans le cadre d’un financement de série F auprès notamment de Tiger Global, Whale Rock Capital, Access Technology Ventures et DST Global. La néobanque se valorise désormais 14,5 milliards de dollars (12,30 milliards d’euros). Soit le double de sa valorisation précédente, atteinte après son dernier financement de 500 millions de dollars au mois de décembre. L’entreprise californienne, qui revendique 6,5 millions d’utilisateurs, serait désormais rentable selon son PDG Chris Britt. Ce dernier prévoit par ailleurs une introduction en bourse de la néobanque d’ici un an. Fondée en 2013, Chime propose une application bancaire gratuite qui fournit une carte de débit - sur laquelle l’entreprise gagne des revenus d’interchange - et un compte d'épargne automatique.
La néobanque Chime a levé 485 millions de dollars dans le cadre d’un financement de série F auprès notamment de Tiger Global, Whale Rock Capital, Access Technology Ventures ou encore DST Global. La néobanque se valorise désormais 14,5 milliards de dollars (12,30 milliards d’euros). Cette nouvelle levée de fonds permet à Chime de doubler sa valorisation, après son dernier financement de 500 millions de dollars au mois de décembre.
Dernier arrivé sur la scène de la distribution de fonds en ligne, Mon Petit Placement commercialise une sélection réduite de fonds populaires. La fintech lyonnaise, fondée par Thomas Perret, un ancien de Natixis, a déjà levé plus de deux millions d'euros, et s'apprête à repartir pour un troisième tour de table.
L’Europe et les Etats-Unis sont les régions où l’on dépense le plus pour lutter contre le crime financier, notamment pour recruter une main-d’œuvre qualifiée.
La banque belge, en collaboration avec Objectway, a créé une plate-forme digitale automatisée simple à utiliser et qui laisse aux clients la maîtrise de leurs placements.
La fintech suédoise Klarna, spécialisée dans les paiements, annonce aujourd’hui une levée de fonds de 650 millions de dollars (547 millions d’euros), la valorisant 10,65 milliards de dollars (8,96 milliards d’euros). Grâce à ce tour de table, la société devient l’une des fintech les mieux valorisées d’Europe, doublant la valorisation d’acteurs comme Revolut (5,5 milliards) ou encore N26 (3,5 milliards de dollars). Silver Lake, GIC (le fonds souverain de Singapour) et les fonds et comptes gérés par BlackRock et HMI Capital ont participé au tour de table, au même titre que Merian Chrysalis, TCV, Northzone et Bonnier.
Advize Group et Generali France ont annoncé ce mardi 15 septembre la signature d’un partenariat capitalistique dont le montant reste confidentiel. Contactée par la rédaction, la fintech a toutefois précisé qu’il s’agissait d’une prise de participation minoritaire. Ce rapprochement n’étant pas exclusif, Advize continuera à vendre ses solutions à d’autres assureurs et distributeurs.
La fintech espagnole Finect s’est associée à son homologue berlinoise Raisin, spécialisée dans les dépôts bancaires. L’offre de Raisin, qui permet d’investir dans plus de 60 produits de dépôts provenant de 13 partenaires bancaires en Europe, sera ainsi intégrée à celle de Finect. Les clients de la fintech espagnole pourront choisir le taux d’intérêt (au maximum 1,41% par an) et la localisation géographique. Selon le directeur général de Finect Antonio Botas, les familles espagnoles ont cumulé près de 900 milliards de dépôts bancaires sans toucher aucun intérêt dans la plupart des cas. Le partenariat avec Raisin est ainsi censé permettre aux utilisateurs de trouver des produits de dépôts plus attractifs qu’en Espagne. Finect avait effectué ses débuts fin juilleten dévoilantuneplateforme d’investissement en ligne comprenant un millier de fonds distribués par une centaine degestionnaires nationaux et internationaux. Ce «supermarché» des fonds, dédié principalement à la clientèle individuelle,réunissaitplusieurs acteurs dont MyInvestor, EBN Banco, Fundslink, Fundsfy et Indexa Capital.
Lemonade se lance en France. La start-up qui entend « incarner la compagnie d’assurance du XXIe siècle » a confirmé mardi son lancement sur le marché français.