Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
La France reste le pré carré des investisseurs tricolores. Les champions français du private equity défient avec succès la domination américano-britannique, selon le classement Europe 250 de Gain.pro.
Le groupe d'hospitalisation privée, contrôlé par KKR, CVC, Thétys et ses dirigeants, a lancé un refinancement de 1,8 milliard d'euros sous forme de loan.
L’horizon s’éclaircit pour Emeis (ex-Orpea) et Clariane (ex-Korian) à l’aune de leurs programmes de cessions d’actifs, favorisant leur désendettement, et du renforcement du taux d’occupation de leurs maisons de retraite.
Les deux spécialistes du risque de crédit unissent leurs expertises pour soutenir le financement des entreprises, notamment celles espagnoles, actives à l’international.
Grâce à un processus d’octroi très automatisé utilisant l’intelligence artificielle, la fintech ouvre le financement de multiples véhicules aux professionnels.
Goldman Sachs, Golub, Hamilton Lane ont rejoint Blackstone, Fidelity et Broadhaven au capital de cette fintech française, spécialisée dans le traitement de données et déjà bien installée chez les gérants alternatifs.
La captive de financement de Renault intervient davantage lors des ventes de véhicules électriques et bénéficie également du succès de la location longue durée.
L’innovation proposée par cette fintech réside dans un financement sans dette utilisant un algorithme de scoring éprouvé dans le trading de produits de taux.
L'entreprise acquise par Elon Musk en octobre 2022 retrouverait sa valorisation de 44 milliards de dollars si elle parvenait à boucler ce tour de table. La proximité du milliardaire avec le président américain séduit les investisseurs.
En collectant encore un milliard de dollars, moins d'un an après sa création, la start-up en IA créée par un ancien d’OpenAI, atteint une valorisation de plus de 30 milliards de dollars, six fois plus qu'à l'occasion de son premier tour de table.
L’endettement brut des sociétés non financières atteint 75% du PIB à fin septembre selon la Banque de France. 20 points de plus que la moyenne de la zone euro.