L’activité dans les services s’est à nouveau contractée en avril en Chine avec les confinements liés à la pandémie de coronavirus, montrent les résultats de l’enquête privée publiée jeudi par Caixin/Markit. L’indice PMI des services est ressorti à 36,2 en avril, après 42 en mars, encore au-dessous de la barre des 50 points qui sépare la croissance de la contraction sur une base mensuelle. L’indice était tombé à son plus bas niveau - à 26,5 - en février 2020, au début de la pandémie. Le sous-indice des nouvelles entreprises a également enregistré une baisse à 38,4, après 45,9 le mois précédent, les entreprises du secteur déclarant que les restrictions mises en place pour lutter contre la propagation de l’épidémie avaient pesé sur la demande au début du deuxième trimestre.
Le nombre d’actifs effectuant une première demande d’allocation chômage a augmenté aux Etats-Unis de 19.000 lors de la semaine qui s’est terminée le 30 avril, à 200.000 en données corrigées des variations saisonnières, a indiqué jeudi le département américain du Travail. Les économistes s’attendaient en moyenne à 182.000 inscriptions au chômage durant cette période. Le nombre de la semaine précédente a été révisé en hausse, à 181.000, contre une estimation initiale de 180.000. La moyenne mobile sur quatre semaines, qui lisse la volatilité de ces données, a crû de 8.000, à 188.000.
Les commandes à l’industrie allemande ont accusé un recul plus marqué que prévu en mars, en raison principalement du ralentissement de la demande en provenance de l’étranger avec la guerre en Ukraine, montrent les données de Destatis publiées jeudi. La baisse des commandes a atteint 4,7% sur un mois, leur plus important recul depuis octobre 2021, après une progression de 0,8% (révisé) en février. Les économistes tablaient sur une baisse de 1,1% en moyenne. Les commandes reçues de l’étranger ont reculé de 6,7% en mars. Après le plongeon des exportations en mars, l’économie allemande devrait connaître un ralentissement et potentiellement une récession technique au deuxième trimestre.
L’activité dans les services s’est à nouveau contractée en avril en Chine avec les confinements liés à la pandémie de coronavirus, montrent les résultats de l’enquête privée publiée jeudi par Caixin/Markit.
Le nombre d’actifs américains effectuant une première demande d’allocation chômage a augmenté de 19.000 lors de la semaine qui s’est terminée le 30 avril, à 200.000 en données corrigées des variations saisonnières, a indiqué jeudi le département américain du Travail. Les économistes s’attendaient en moyenne à 182.000 inscriptions au chômage la semaine dernière. Le nombre de la semaine précédente a été révisé en hausse, à 181.000, contre une estimation initiale de 180.000. La moyenne mobile sur quatre semaines, qui lisse la volatilité de ces données, a crû de 8.000, à 188.000.
Les commandes à l’industrie allemande ont accusé un recul plus marqué que prévu en mars, en raison principalement du ralentissement de la demande en provenance de l’étranger avec la guerre en Ukraine, montrent les données de Destatis publiées jeudi.
Les exportations allemandes ont baissé plus que prévu en mars, a annoncé mercredi l’office fédéral de la statistique. Les exportations ajustées des variations saisonnières ont reculé de 3,3% sur le mois, alors que les économistes prévoyaient une baisse de 2,0%. Les exportations vers la Russie ont chuté de 62,3%, en partie à cause des sanctions économiques imposées par l’Union européenne (UE) à Moscou depuis l’invasion de l’Ukraine, indique Destatis. Les importations ont quant à elles progressé de 3,4% alors que le consensus prévoyait une hausse de 1,0%.
La croissance de l’activité du secteur des services aux Etats-Unis a ralenti, contre toute attente et à l’inverse de la zone euro, en avril et l’emploi s’y est contracté tandis que les prix continuaient d’augmenter, montre mercredi l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. Son indice d’activité a reculé à 57,1 après 58,3 en mars, alors que les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre en légère hausse, à 58,5. L’indice ISM manufacturier, publié en début de semaine, était aussi en retrait. Une autre enquête auprès de directeurs d’achats des services, celle de S&P Global, montre un ralentissement de la croissance du secteur avec un indice en recul à 55,6 après 58,0 en mars.
L’activité du secteur privé dans la zone euro a progressé en avril, l’amélioration constatée dans les services avec l’assouplissement des restrictions sanitaires ayant compensé la quasi-stagnation de la croissance dans l’industrie, montrent les résultats définitifs des enquêtes de S&P Global (ex-IHS Markit). L’indice PMI définitif des services a atteint son plus haut niveau depuis août à 57,7, après 55,5 en mars, qui marquait un creux de 15 mois. L’indice PMI composite, qui regroupe l’industrie et les services, est monté à 55,8 en avril contre 54,9 en mars. En Allemagne, l’indice PMI définitif dans les services a augmenté à 57,6 le mois dernier, son plus haut niveau depuis août, contre 56,1 en mars et 57,9 en première estimation. Il a augmenté à 58,9 en avril, en France, au plus haut depuis janvier 2018, après 57,4 en mars et contre 58,8 en estimation «flash». L’activité dans les services a également accentué sa reprise en Italie et en Espagne, deux pays ne publiant pas d’indice PMI préliminaire. L’indice PMI des services a augmenté à 55,7 en Italie, après 52,1 en mars, ce qui est plus que prévu par le consensus Reuters qui le donnait à 54,5.
Le secteur privé aux Etats-Unis a créé moins d’emplois qu’attendu en avril, montre mercredi l’enquête mensuelle du cabinet ADP, qui reflète probablement une pénurie persistante de main-d’oeuvre dans plusieurs secteurs. Elle recense 274.000 créations de postes alors que les économistes interrogés par Reuters en prévoyaient en moyenne 395.000. ADP a par ailleurs révisé en hausse les résultats de l’enquête de mars, qui montrent désormais 479.000 emplois créés alors que les résultats initiaux en faisaient ressortir 455.000. Mardi, les statistiques nationales sur les offres d’emploi ont montré que 11,5 millions de postes étaient à pourvoir aux Etats-Unis fin mars. Les données sur l’emploi en avril seront publiées vendredi. Les économistes prévoient 385.000 créations de postes dans le secteur privé après 426.000 en mars.
Les exportations allemandes ont baissé plus que prévu en mars, alors que les importations ont progressé, a annoncé mercredi l’office fédéral de la statistique. Les exportations ajustées des variations saisonnières ont reculé de 3,3% sur le mois, alors que les économistes prévoyaient une baisse de 2,0%.
La croissance de l’activité du secteur des services aux Etats-Unis a ralenti, contre toute attente et à l’inverse de la zone euro, en avril et l’emploi s’y est contracté tandis que les prix continuaient d’augmenter, montre mercredi l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. Son indice d’activité a reculé à 57,1 après 58,3 en mars, alors que les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre en légère hausse, à 58,5. L’indice ISM manufacturier, publié en début de semaine, était aussi en retrait.
Le secteur privé aux Etats-Unis a créé moins d’emplois qu’attendu en avril, montre mercredi l’enquête mensuelle du cabinet ADP, qui reflète probablement une pénurie persistante de main-d’oeuvre dans plusieurs secteurs. Elle recense 274.000 créations de postes alors que les économistes interrogés par Reuters en prévoyaient en moyenne 395.000.
L’activité du secteur privé dans la zone euro a progressé en avril, l’amélioration constatée dans les services avec l’assouplissement des restrictions sanitaires ayant compensé la quasi-stagnation de la croissance dans l’industrie, montrent les résultats définitifs des enquêtes de S&P Global (ex-IHS Markit).
Le taux de chômage dans la zone euro est tombé à 6,8% de la population active en mars, conformément aux attentes du consensus, contre 6,9% en février et 8,2% en mars 2021, le nombre de personnes sans emploi étant passé de 11,350 millions à 11,274 millions d’un mois sur l’autre, selon les chiffres dévoilés mardi par d’Eurostat. Le resserrement du marché du travail est susceptible d’exercer une pression à la hausse supplémentaire sur les salaires, déjà sous la pression de la flambée des coûts de l'énergie qui a poussé l’inflation à la consommation à un niveau record de 7,5% en avril.
L’office statistique de l’Union européenne, Eurostat, a indiqué mardi que les prix à la sortie des usines dans les 19 pays de la zone euro avaient augmenté de 5,3% en glissement mensuel au mois de mars, soit une hausse de 36,8% en glissement annuel. Les économistes avaient prévu en moyenne une hausse mensuelle de 5,0% et une hausse annuelle de 36,3%. Sans l'énergie, les prix à la production n’ont augmenté que de 2,1% sur le mois et de 13,6% en glissement annuel, poussés à la hausse par des biens intermédiaires plus coûteux, certaines chaînes d’approvisionnement mondiales restant perturbées.
Les commandes aux usines aux Etats-Unis ont augmenté en mars, signalant que la demande de biens reste vigoureuse malgré les tensions sur les chaînes d’approvisionnement et les hausses de prix, selon l’enquête du département du Commerce publiée mardi. Les commandes de biens manufacturés ont augmenté de 2,2% en mars par rapport à février, selon le ministère. Les économistes tablaient en moyenne sur une hausse de 1%. Les commandes ont progressé de 0,1% en février, en données révisées, alors qu’elles avaient été estimées initialement en baisse de 0,5%. En mars, la demande a été tirée par les commandes de biens durables, qui ont progressé de 1,1%, après un recul de 1,7% en février.
L’office statistique de l’Union européenne, Eurostat, a indiqué mardi que les prix à la sortie des usines dans les 19 pays de la zone euro avaient augmenté de 5,3% en glissement mensuel au mois de mars, soit une hausse de 36,8% en glissement annuel. Les économistes avaient prévu en moyenne une hausse mensuelle de 5,0% et une hausse annuelle de 36,3%.
Le taux de chômage dans la zone euro est tombé à 6,8% de la population active en mars, conformément aux attentes du consensus, contre 6,9% en février et 8,2% en mars 2021, le nombre de personnes sans emploi étant passé de 11,350 millions à 11,274 millions d’un mois sur l’autre, selon les chiffres d’Eurostat. Le resserrement du marché du travail est susceptible d’exercer une pression à la hausse supplémentaire sur les salaires, déjà sous la pression de la flambée des coûts de l'énergie qui a poussé l’inflation à la consommation à un niveau record de 7,5% en avril.
La croissance de l’activité manufacturière dans la zone euro a légèrement ralenti en avril en raison des difficultés d’approvisionnement et de la hausse des prix, montre lundi l’enquête de S&P Global (ex-IHS Markit) auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI manufacturier définitif est revenu à son plus bas niveau depuis 15 mois, à 55,5 en avril après 56,5 en mars. Le sous-indice mesurant la production, qui entre dans le calcul de l’indice PMI composite, est tombé à 50,7 en avril après 53,1 en mars, soit au plus bas depuis juin 2020. «La production manufacturière est pratiquement revenue au point mort dans la zone euro en avril», résume Chris Williamson, chef économiste de S&P Global. L’indice des coûts acquittés par les entreprises a parallèlement continué de monter, à 77,3 en avril, un nouveau record, après 74,2 en mars.