La nouvelle Première ministre britannique a annoncé un plan d’aide à court terme de 150 milliards de livres, et des ambitions dans l’énergie à moyen terme.
Le déficit commercial de la France continue de se creuser et s’est établi à 14,54 milliards d’euros fin juillet, selon les données publiées jeudi par le bureau des Douanes. La dégradation du solde extérieur est portée par la balance énergétique, qui se détériore de 0,6 milliard sur le mois. Hors énergie, le solde est quasi stable en juillet, précisent les Douanes. A la fin juin, le déficit s’élevait à 13,08 milliards d’euros après révision.
L’économie japonaise a progressé de 0,9% au deuxième trimestre 2022, bien plus que selon la première estimation de 0,5%, après une croissance révisée à la hausse à 0,1% au premier trimestre. Les données ont bénéficié d’une révision à la hausse de la consommation privée (+1,2% après +0,3% au T1) suite à une levée des restrictions pour lutter contre le Covid, tout comme des dépenses publiques (+0,7% après +0,4% précédemment). Le commerce net a également contribué positivement, avec une croissance des exportations stable (+0,9%) tandis que les importations ont augmenté à un rythme plus faible (+0,7% après +3,5%).
Le déficit commercial de la France continue de se creuser et s’est établi à 14,54 milliards d’euros fin juillet, selon les données publiées jeudi par le bureau des Douanes.
L’économie japonaise a progressé de 0,9% au deuxième trimestre 2022, bien plus que selon la première estimation de 0,5%, après une croissance révisée à la hausse à 0,1% au premier trimestre.
Longtemps rejetée par les Etats du nord de l’Europe, l’idée d’un découplage des prix de l’électricité de ceux du gaz est en train de s’imposer à la Commission. Pas si simple à mettre en œuvre.
La croissance économique dans la zone euro au deuxième trimestre a été plus forte qu’estimé initialement, d’après les données publiées mercredi par Eurostat : le produit intérieur brut (PIB) des 19 Etats membres a progressé de 0,8% par rapport au premier trimestre, et de 4,1% sur un an. Mi-août, Eurostat avait estimé la croissance à 0,6% d’un trimestre sur l’autre et de 3,9% en rythme annuel. Les dépenses de consommation des ménages ont contribué à la hausse du PIB à hauteur de 0,6 point de pourcentage, après une contribution nulle sur les deux trimestres précédents. La contribution de la dépense publique ressort à 0,1 point, celle du commerce extérieur a été négative de 0,1 point. Les Pays-Bas (+2,6%) ont enregistré la plus forte hausse du PIB par rapport au premier trimestre, suivis de la Roumanie (+2,1%) et de la Croatie (+2,0%).
La croissance des exportations de la Chine a ralenti en août alors que l’inflation galopante a refroidi la demande, ce qui vient s’ajouter aux risques pesant sur la deuxième économie mondiale. Les exportations ont progressé de 7,1% en rythme annuel en août, après un bond de 18% en juillet, d’après les données publiées mercredi par les douanes chinoises. Ce pourcentage au-dessous des attentes de 12,8% s’explique en partie par la forte croissance constatée à la même période l’an dernier, mais aussi par de nouvelles restrictions sanitaires destinées à enrayer la résurgence de l’épidémie de covid-19. Les vagues de chaleur sans précédent dans le pays ont également perturbé la production dans des régions du sud-ouest. Les importations chinoises ont également été moroses, augmentant seulement de 0,3% sur un an en août, après 2,3% en juillet, au lieu de 1,1% attendu.
La croissance des exportations de la Chine a ralenti en août alors que l’inflation galopante a refroidi la demande, ce qui vient s’ajouter aux risques pesant sur la deuxième économie mondiale. Les exportations ont progressé de 7,1% en rythme annuel en août, après un bond de 18% en juillet, d’après les données publiées mercredi par les douanes chinoises.
La croissance économique dans la zone euro au deuxième trimestre a été plus forte qu’estimé initialement, d’après les données publiées mercredi par Eurostat : le produit intérieur brut (PIB) des 19 Etats membres a progressé de 0,8% par rapport au premier trimestre, et de 4,1% sur un an. Mi-août, Eurostat avait estimé la croissance à 0,6% d’un trimestre sur l’autre et de 3,9% en rythme annuel.
Les commandes à l’industrie allemande ont enregistré une baisse plus importante que prévu en juillet, la sixième d’affilée, alors que la première économie d’Europe continue de subir de plein fouet l’impact de la guerre en Ukraine, montrent les données de l’Office fédéral de la statistique mardi. Ces commandes ont diminué de 1,1% sur le mois en données ajustées des variations saisonnières, alors que les analystes interrogés par Reuters tablaient sur une baisse de 0,5%. Elles ont chuté de 13,6% par rapport à juillet 2021. Les commandes nationales ont baissé de 4,5% en juillet, tandis que les commandes de l’étranger ont augmenté de 1,3%, a précisé l’Office fédéral de la statistique.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s’est adressé mardi à la Bourse de New York afin de promouvoir l’attractivité de son pays pour les investissements étrangers, même si le conflit avec la Russie ne montre aucun signe d’une conclusion proche. «L’Ukraine est l’histoire d’une victoire future, a lancé son Président, une chance pour vous d’investir aujourd’hui dans des projets de plusieurs centaines de milliards de dollars, pour partager la victoire avec nous.» Avant l’invasion russe, les investissements privés américains en Ukraine n’avaient totalisé que 532 millions de dollars en 2021, même s’ils étaient en hausse de 32% sur un an, selon l’administration américaine.
L’activité du secteur des services aux Etats-Unis a poursuivi en août son redressement dans un contexte de hausse des commandes et d’un marché de l’emploi solide, tandis que les tensions sur l’offre et les prix se sont atténuées. L’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM), publiée mardi, montre que l’indice des services a avancé le mois dernier à 56,9, deuxième hausse consécutive après trois mois de baisse. En juillet, l’indice était ressorti à 56,7. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne pour le mois d’août un chiffre à 54,9. Le sous-indice des nouvelles commandes reçues par les sociétés de services a bondi à 61,8 après 59,9 en juillet. Celui de l’emploi s’est redressé à 50,2 après une contraction à 49,1.
Les commandes à l’industrie allemande ont enregistré une baisse plus importante que prévu en juillet, la sixième d’affilée, alors que la première économie d’Europe continue de subir de plein fouet l’impact de la guerre en Ukraine, montrent mardi les données de l’Office fédéral de la statistique. Elles ont diminué de 1,1% sur le mois en données ajustées des variations saisonnières, alors que les analystes interrogés par Reuters tablaient sur une baisse de 0,5%. Les commandes ont chuté de 13,6% par rapport à juillet 2021.
L’économie britannique a terminé le mois d’août sur des bases beaucoup plus faibles qu’initialement estimé, avec une contraction de l’activité pour la première fois depuis février 2021, signe d’une probable entrée en récession, montrent les résultats définitifs de l’enquête mensuelle de S&P Global-IHS Markit auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI composite a été révisé à 49,6 en août, après 52,1 en juillet (50,9 en première estimation), à cause de l’indice PMI manufacturier (47,3 après 52,1), mais aussi de l’indice PMI des services, qui a reculé à 50,9 en août après 52,1 en juillet (52,5 en première estimation), même s’il reste au-dessus de la barre des 50, qui sépare contraction et expansion.
L’activité économique dans la zone euro s’est contractée en août pour le deuxième mois d’affilée en raison de la baisse de la demande liée au renchérissement du coût de la vie, montrent les résultats définitifs de l’enquête S&P Global (ex-IHS Markit) auprès des directeurs d’achats du secteur des services. L’indice PMI composite a reculé à 48,9 en août, après 49,9 en juillet, à un creux de dix-huit mois. Une première estimation l’avait donné à 49,2, alors que la barre des 50 sépare contraction et croissance de l’activité. L’indice PMI des services s’est établi en août à 49,8, premier mois sous le seuil des 50 depuis mars 2021, après 51,2 en juillet et 50,2 en première estimation.
Les ventes au détail en zone euro ont augmenté moins que prévu en juillet, en raison notamment de la baisse persistante de la demande de produits non alimentaires. Elles ont progressé de 0,3% sur un mois en juillet et reculé de 0,9% en glissement annuel, selon les données publiées lundi par Eurostat, alors que les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une hausse de 0,4% sur le mois et à une baisse de 0,7 % sur un an. Les ventes de produits non alimentaires, hors carburants, ont diminué de 0,4% en glissement mensuel et de 0,9% sur un an, tandis que les ventes de carburants ont augmenté de 0,4% sur le mois et de 0,6% sur l’année.
Les ventes au détail en zone euro ont augmenté moins que prévu en juillet, en raison notamment de la baisse persistante de la demande de produits non alimentaires. Elles ont progressé de 0,3% sur un mois en juillet et reculé de 0,9 % en glissement annuel, selon les données publiées lundi par Eurostat, alors que les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une hausse de 0,4% sur le mois et une baisse de 0,7 % sur un an. Les ventes de produits non alimentaires, hors carburants, ont diminué de 0,4% en glissement mensuel et de 0,9% sur un an, tandis que les ventes de carburants ont augmenté de 0,4% sur le mois et de 0,6% sur l’année.
L’économie britannique a terminé le mois d’août sur des bases beaucoup plus faibles qu’initialement estimé, avec une contraction de l’activité pour la première fois depuis février 2021, signe d’une probable entrée en récession, montrent les résultats définitifs de l’enquête mensuelle de S&P Global-IHS Markit auprès des directeurs d’achats.
L’activité économique dans la zone euro s’est contractée en août pour le deuxième mois consécutif en raison de la baisse de la demande liée au renchérissement du coût de la vie, montrent les résultats définitifs de l’enquête S&P Global (ex-IHS Markit) auprès des directeurs d’achat du secteur des services. L’indice PMI composite a reculé à 48,9 en août, après 49,9 en juillet, à un creux de dix-huit mois. Une première estimation l’avait donné à 49,2, alors que la barre des 50 sépare contraction et croissance de l’activité. L’indice PMI des services s’est établi en août à 49,8, premier mois sous le seuil des 50 depuis mars 2021, après 51,2 en juillet et 50,2 en première estimation. «Un deuxième mois de détérioration des conditions économiques dans la zone euro renforce la probabilité d’une contraction du PIB au troisième trimestre», a prévenu Chris Williamson, chef économiste chez S&P Global.