Le secteur manufacturier de la zone euro a connu un début de deuxième trimestre dynamique avec sa croissance la plus forte depuis six ans en raison d’une demande soutenue, malgré la hausse des prix. Selon l’enquête IHS Markit auprès des directeurs d’achats, l’indice PMI manufacturier pour la zone euro s’est élevé à 56,7 en avril, son niveau le plus élevé depuis avril 2011. Il avait été estimé à 56,8 en version préliminaire, contre 56,2 en mars. Le sous-indice de la production, qui rentre dans le calcul de l’indice composite qui sera publié jeudi, a lui aussi grimpé le mois dernier à un pic de six ans à 57,9 après 57,5 en mars.
La croissance de l’activité dans le secteur manufacturier britannique a atteint en avril son plus haut niveau depuis trois ans, suggérant que les entreprises profitent temporairement au moins de la faiblesse de la livre provoquée par le Brexit. L’indice PMI définitif des directeurs d’achats Markit/CIPS a progressé à 57,3 contre 54,2 en mars. Les nouvelles commandes dans le secteur manufacturier ont progressé à leur rythme le plus élevé depuis janvier 2014, tandis que celles à l’export ont atteint un pic de sept mois.
Le secteur manufacturier de la zone euro a connu un début de deuxième trimestre dynamique, avec sa croissance la plus forte depuis six ans en raison d’une demande soutenue malgré la hausse des prix, montrent mardi les résultats définitifs de l’enquête IHS Markit auprès des directeurs d’achats (PMI). L’indice PMI manufacturier d’IHS Markit pour la zone euro s’est élevé à 56,7 en avril après 56,2 en mars, soit son plus haut niveau depuis avril 2011. Il avait été estimé à 56,8 en version préliminaire. Le sous-indice de la production, qui rentre dans le calcul de l’indice composite qui sera publié jeudi, a lui aussi grimpé le mois dernier à un pic de six ans à 57,9 après 57,5 en mars. Les indices définitifs sont ressortis conformes aux indices flash en France (55,1 après 53,3 en mars) et en Allemagne (58,2 après 58,3).
La croissance de l’activité dans le secteur manufacturier britannique a atteint en avril son plus haut niveau en trois ans, suggérant que les entreprises profitent temporairement au moins de la faiblesse de la livre sterling provoquée par le Brexit. L’indice PMI définitif des directeurs d’achats Markit/CIPS a progressé à 57,3 contre 54,2 en mars. Ce chiffre est supérieur à toutes les prévisions des économistes interrogés par Reuters qui tablaient sur un recul à 54 en avril par rapport au mois précédent.
La croissance de l'économie française a marqué le pas en début d’année, retombant à 0,3% au premier trimestre, un niveau inférieur aux attentes. Elle pâtit d’un ralentissement de la production et d’un tassement de la consommation des ménages, selon les premiers résultats publiés vendredi par l’Insee. Le commerce extérieur a également pesé sur la croissance, qui a en revanche été alimentée par un nouveau bond de l’investissement des entreprises. L’investissement global a progressé de 0,9%, sous l’effet d’une nette accélération de celui des entreprises (+1,3% après +0,9%).
La première estimation des chiffres d’inflation en zone euro publiée vendredi par Eurostat, l’institut européen de la statistique, montre une accélération du rythme annuel de hausse des prix à la consommation de 1,9% en avril, contre 1,5% en mars. En outre, l’inflation sous-jacente a également augmenté de 0,4 point pour atteindre un niveau de 1,2%. Ces chiffres suivent ceux publiés jeudi, qui montrent une inflation globale de 1,9% en Allemagne et de 2,6% en Espagne, et pourraient raviver les débats au sein de la Banque centrale européenne sur l’enclenchement de la normalisation de sa politique monétaire.
La croissance de l'économie britannique a nettement ralenti au premier trimestre. L’accélération de l’inflation, provoquée par la dépréciation de la livre qui a suivi le vote en faveur du Brexit, a pénalisé les secteurs dépendant de la consommation des ménages. La hausse du PIB est tombée à 0,3%, soit le plus bas depuis un an, après +0,7% au trimestre précédent, a annoncé vendredi l’Office national de la statistique (ONS). «La distribution et l’hôtellerie-restauration sont les deux principaux responsables de la contraction dans le secteur» des services, explique l’ONS. La hausse des prix à la consommation a atteint son rythme le plus élevé depuis septembre 2013, les entreprises transférant la hausse de leurs coûts liés à l’affaiblissement de la livre.
La hausse du crédit bancaire aux ménages a atteint en mars un plus haut depuis 2009, tandis que la croissance du crédit aux entreprises et de la masse monétaire a accéléré plus qu’attendu, selon des données publiées aujourd’hui par la Banque centrale européenne (BCE). La croissance du crédit aux ménages a été de 2,4% le mois dernier contre +2,3% en février. La hausse du crédit aux entreprises a atteint 2,3%, contre +1,9% le mois précédent.
La première estimation des chiffres d’inflation en zone euro publiée ce matin par Eurostat, l’institut européen de la statistique, montre une accélération du rythme annuel de hausse des prix à la consommation au sein des 19 pays partageant la monnaie unique à 1,9% en avril, après 1,5% en mars. Ce niveau se situe juste en-dessous du pic de quatre ans atteint en février à 2% et est légèrement supérieur aux estimations du consensus Reuters, de 1,8%. En outre, l’inflation sous-jacente a également augmenté de 0,4 point pour atteindre un niveau de 1,2% supérieur de 0,2 point aux prévisions du consensus.
La croissance de l'économie britannique a nettement ralenti au premier trimestre. L’accélération de l’inflation, provoquée par la dépréciation de la livre qui a suivi le vote en faveur de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, a pénalisé les secteurs dépendant de la consommation des ménages. La hausse du PIB est tombée à un plus bas d’un an à 0,3% après +0,7% sur les trois derniers mois de 2016, a annoncé ce matin l’Office national de la statistique (ONS). Les économistes prévoyaient en moyenne une progression de 0,4% et la Banque d’Angleterre (BoE) s’attendait à une croissance de 0,5%.
La croissance de l'économie française a marqué le pas en début d’année, retombant à 0,3% au premier trimestre, un niveau inférieur aux attentes. Elle pâtit d’un ralentissement de la production et d’un tassement de la consommation des ménages, selon les premiers résultats publiés aujourd’hui par l’Insee. Le commerce extérieur a également pesé sur la croissance, qui a en revanche été alimentée par un nouveau bond de l’investissement des entreprises. Ce dernier a été soutenu à l’approche de l’expiration du dispositif de suramortissement fiscal des investissements productifs des entreprises, qui a pris fin le 14 avril. L’investissement global a progressé de 0,9% (après +0,6% au quatrième trimestre 2016), sous l’effet d’une nette accélération de celui des entreprises (+1,3% après +0,9%).
La hausse du crédit bancaire aux ménages a atteint en mars un plus haut depuis 2009, tandis que la croissance du crédit aux entreprises et de la masse monétaire a accéléré plus qu’attendu, selon des données publiées aujourd’hui par la Banque centrale européenne (BCE). La croissance du crédit aux ménages a été de 2,4% le mois dernier contre +2,3% en février. La hausse du crédit aux entreprises est ressortie au-dessus des attentes à 2,3%, contre +1,9% le mois précédent.
Le président de l’Eurogroupe s’est porté hier «personnellement» garant qu’un accord entre la Grèce et ses créanciers serait atteint en mai, permettant le déboursement d’une nouvelle tranche de crédit à Athènes. «La situation (économique) en Grèce n’est pas suffisamment bonne. La croissance est à nouveau à la peine», a déclaré le ministre néerlandais des Finances, soulignant la nécessité de parvenir rapidement à un accord. Des désaccords persistent sur les allègements à faire sur la dette du pays: le FMI conditionne sa participation financière au troisième plan d’aide à un geste en faveur d’Athènes, mais Berlin freine des quatre fers.
Les promesses de ventes de logements aux Etats-Unis ont reflué en mars en raison d’une baisse de l’activité liée à une pénurie de biens, montrent les données publiées hier par la Fédération nationale des agents immobiliers (NAR). Son indice, calculé à partir des compromis signés le mois dernier, a reculé de 0,8% à 111,4, après avoir touché un pic de dix mois en février à 112,3. Les économistes s’attendaient à une baisse encore plus forte, de 1%, le mois dernier. Sur un an, les promesses de ventes ont progressé de 0,8%.
Les promesses de ventes de logements aux Etats-Unis ont reflué en mars en raison d’une baisse de l’activité liée à une pénurie de biens, montrent les données publiées jeudi par la Fédération nationale des agents immobiliers (NAR). Son indice, calculé à partir des compromis signés le mois dernier, a reculé de 0,8% à 111,4, après avoir touché un pic de dix mois en février à 112,3. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une baisse encore plus forte, de 1%, le mois dernier. Sur un an, les promesses de ventes ont progressé de 0,8%.
Plus d’un tiers des Européens et des Américains seraient heureux de ne dépendre que de transactions électroniques pour leurs paiements, montre une enquête, menée en Europe, aux Etats-Unis et en Australie, par Ipsos pour le compte de la banque néerlandaise ING. L'étude montre que ce sont dans les pays où l’argent liquide est le plus utilisé qu’il y a la plus grande volonté exprimée de passer au tout électronique. 21% des Européens et 34% des Américains sondés ont dit ne guère utiliser l’argent liquide. Mais seulement 10% des Allemands disent avoir rarement recours à de l’argent liquide, contre une proportion de 33% en Pologne et de 35% en France.
Le chômage est reparti à la hausse en mars, repassant au-dessus du seuil de 3,5 millions d’inscrits à Pôle emploi en catégorie A pour la première fois depuis septembre dernier, selon les chiffres publiés hier soir par le ministère du Travail. Le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A (sans aucune activité) a enregistré le mois dernier sa plus forte hausse mensuelle depuis septembre 2013 (+1,3% à 3.508.100 personnes). En ajoutant les catégories B et C (personnes exerçant une activité réduite), il a en revanche diminué de 0,2% pour s’élever à 5.503.800 personnes. Globalement, sur un an, le nombre de demandeurs de catégorie A diminue de 0,9% tandis que le total des inscrits dans les catégories A, B et C affiche une progression de 0,9%. La ministre du Travail Myriam El Khomri souligne dans un communiqué que les évolutions des derniers mois s’expliquent notamment «par des mouvements importants de bascule entre catégories».
Plus d’un tiers des Européens et des Américains seraient heureux de se passer d’argent liquide et de ne dépendre que de transactions électroniques pour leurs paiements, montre une étude publiée mercredi. Cette enquête, menée dans des 13 pays européens, aux Etats-Unis et en Australie, par Ipsos pour le compte du site internet Ezonomics de la banque néerlandaise ING, dit également que ce sont dans les pays où l’argent liquide est le plus utilisé qu’il y a la plus grande volonté exprimée de passer au tout électronique.
Le gouvernement allemand a légèrement relevé ses prévisions de croissance pour cette année et l’an prochain afin d’intégrer l’amélioration des perspectives d'évolution de la demande mondiale, selon des sources gouvernementales haut placées citées hiers par Reuters. Berlin tablerait désormais sur une hausse de 1,5% du PIB cette année et de 1,7% en 2018, soit dans les deux cas 0,1 point de plus que dans ses prévisions de janvier. Cette révision intègre le fait que le marché du travail devrait bénéficier d’environ un million d’emplois nouveaux d’ici fin 2018, ce qui devrait stimuler la demande et les recettes fiscales.
Les ventes de logements neufs ont atteint en mars un pic de huit mois aux Etats-Unis, signe de la robustesse du marché immobilier américain malgré un ralentissement de la croissance du secteur au premier trimestre. Elles ont augmenté de 5,8% à 621.000 unités en rythme annualisé, corrigé des variations saisonnières, selon les chiffres publiés mardi par le département du Commerce. Le rythme des ventes au mois de février a été révisé à 587.000 unités au lieu de 592.000. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une baisse de 0,8% à 583.000 unités le mois dernier.