La croissance salariale a dépassé les attentes au Royaume-Uni, les entreprises ayant du mal à recruter le personnel qu’il leur faut. Le salaire hebdomadaire moyen hors primes a augmenté de 2,9% annuellement sur une période de trois mois à fin juillet, après +2,7% sur les trois mois précédents, a annoncé mardi l’Office national de la statistique (ONS). Primes incluses, la croissance salariale a été de 2,6% après 2,4%.
La croissance de l'économie japonaise au deuxième trimestre a été nettement plus forte qu’en première estimation, après s'être contractée lors des trois premiers mois de l’année, montrent les statistiques officielles publiées lundi, avec notamment une révision à la hausse des dépenses d’investissement. Sur la période avril-juin, le produit intérieur brut (PIB) du Japon a augmenté de 3,0% en rythme annualisé, contre 1,9% en première estimation et alors que le consensus des estimations d'économistes recueillies par Reuters ressortait à 2,6%.
Le PIB britannique a augmenté de 0,3% sur un mois en juillet, a annoncé lundi l’Office national de la statistique (ONS), ce qui marque une accélération par rapport au taux d’expansion de 0,1% affiché en juin. En cause, des conditions météorologiques favorables ayant soutenu les dépenses de consommation et la construction. Ces chiffres indiquent que l'économie britannique devrait connaître un nouveau trimestre de croissance malgré les inquiétudes suscitées par les progrès inégaux des négociations sur le Brexit. Sur trois mois glissants, le PIB a crû de 0,6% par rapport aux trois mois précédents, soit une croissance de 2,4% sur une base annualisée.
A contre-courant des pressions accrues sur l'économie face au risque de guerre commerciale avec les Etats-Unis, l’indice des prix à la production (PPI) en Chine a augmenté de 4,1% sur un an en août après une hausse de 4,6% en juillet, selon le Bureau national de la statistique. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une hausse de 4%. Sur un mois, la hausse du PPI a accéléré à 0,4% après +0,1% en juillet. L’indice des prix à la consommation (CPI) a de son côté accéléré sa progression à 2,3% sur un an, contre +2,1% en juillet. Pékin a un objectif annuel de 3% pour le CPI, comme en 2017.
La croissance de l'économie japonaise au deuxième trimestre a été nettement plus forte qu’en première estimation, après s'être contractée lors des trois premiers mois de l’année, montrent les statistiques officielles publiées ce lundi, avec notamment une révision à la hausse des dépenses d’investissement. Sur la période avril-juin, le produit intérieur brut (PIB) du Japon a augmenté de 3,0% en rythme annualisé, contre 1,9% en première estimation et alors que le consensus des estimations d'économistes recueillies par Reuters ressortait à 2,6%.
La croissance économique du Royaume-Uni a accéléré en juillet, des conditions météorologiques favorables ayant soutenu les dépenses de consommation et la construction. Ces chiffres indiquent que l'économie britannique est partie pour connaître un nouveau trimestre de croissance malgré les inquiétudes suscitées par les progrès inégaux des négociations sur le Brexit.
Dénotant des pressions accrues sur l'économie face au risque de guerre commerciale avec les Etats-Unis, l’indice des prix à la production (PPI) en Chine a augmenté de 4,1% sur un an en août après une hausse de 4,6% en juillet, selon les données publiées ce matin par le Bureau national de la statistique. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une hausse de 4,0%. Sur un mois, la hausse du PPI a accéléré à 0,4% après +0,1% en juillet.
Après les commandes à l’industrie, la production industrielle en juillet a reculé de manière inattendue en Allemagne, nouveau signe que l’orientation protectionniste de l’administration Trump commence à peser, selon les cinformations officielles publiées vendredi. Selon le ministère de l’Economie, cette production a baissé de 1,1% en juillet après un repli de 0,7% en juin (révisé de -0,9% en estimation initiale). Le ministère explique pour sa part le démarrage «atone» du troisième trimestre par «des goulots d'étranglement temporaires dans les immatriculations de voitures neuves».
Le fonds Silvestica Green Forest, qui est investi dans des actifs forestiers en Suède, Finlande et les pays baltes, est fermé aux nouvelles souscriptions, rapporte le site danois AMWatch. Le fonds forêt a été créé au printemps 2017 par SEB et est géré par CRK Forest Management. La banque suédoise en est le principal investisseur, les autres étant Folksam, KLP et un quatrième qui n’a pas souhaité être identifié. Selon Håkan Brodin, de SEB Institutional Sales, il est possible que le fonds rouvre, puisqu’il a suscité un fort intérêt de la communauté nordique. L’horizon d’investissement de chaque placement est d’au moins 12 ans. Le fonds est actuellement limité à 500 millions d’euros, car il est enregistré comme Alternative Investment Fund. Au-delà, il devra devenir un AIFM, ce qui implique davantage de règles.
Après les commandes à l’industrie, la production industrielle en juillet a reculé de manière inattendue, nouveau signe que l’orientation protectionniste de l’administration Trump commence à peser sur la première économie européenne, selon des données officielles publiées vendredi. Selon le ministère de l’Economie, cette production a baissé de 1,1% en juillet après un repli de 0,7% en juin (révisé de -0,9% en estimation initiale) et une projection moyenne des économistes interrogés par Reuters de +0,2%.
Les commandes à l’industrie américaine ont reculé plus que prévu en juillet, pénalisées notamment par l’aéronautique, mais des signes d’accélération des dépenses des entreprises donnent à penser que le secteur manufacturier reste dynamique. Ces commandes ont baissé de 0,8% en juillet, a annoncé hier le département du Commerce. La statistique de juin a été révisée en baisse d’un dixième de point, à +0,6%. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une contraction de 0,6% des commandes à l’industrie en juillet. Sur un an, elles affichent une progression de 8,3%.
Le Commissaire européen Pierre Moscovici a appelé hier à achever cette année la réforme de la zone euro, avant les européennes de mai qui pourraient laisser un panorama politique «fragmenté» à cause de la montée des forces nationalistes et eurosceptiques. «Nous devons absolument concentrer nos efforts à réformer la zone euro» et «conclure en décembre», a déclaré le Commissaire européen aux Affaires économiques et financières, en visite à Madrid.
Les commandes à l’industrie américaine ont reculé plus que prévu en juillet, pénalisées notamment par l’aéronautique, mais des signes d’accélération des dépenses des entreprises donnent à penser que le secteur manufacturier reste dynamique. Les commandes à l’industrie ont baissé de 0,8% en juillet, a annoncé jeudi le département du Commerce. La statistique de juin a été révisée en baisse d’un dixième de point, à +0,6%. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une contraction de 0,6% des commandes à l’industrie en juillet. Sur un an, elles affichent une progression de 8,3%.
Les commandes à l’industrie ont reculé de manière inattendue en juillet après leur chute le mois précédent, signe supplémentaire que les tensions commerciales internationales pèsent sur les entreprises de la première économie d’Europe. Les commandes à l’industrie ont baissé de 0,9%, après un repli de 3,9% en juin (chiffre révisé), montrent les données publiées jeudi par Destatis, l’office fédéral de la statistique.
Même si beaucoup de réformes ont déjà été réalisées en France, notamment sur la compétitivité des entreprises et les rigidités du marché du travail, ainsi que sur la fiscalité, il reste encore beaucoup à faire. Il subsiste des freins à la compétitivité. La disponibilité et le coût de la main d’œuvre sont des sujets sur lesquels le pays doit continuer à avancer.
Le déficit commercial des Etats-Unis a atteint un plus haut de cinq mois en juillet sous l’effet d’importations record et d’une baisse des exportations notamment de soja et de l’aéronautique civile, ce qui pourrait se traduire par une contribution négative du commerce extérieur à la croissance au troisième trimestre. Le département du Commerce a annoncé hier que le déficit avait augmenté de 9,5% à 50,1 milliards de dollars (43,24 milliards d’euros), se creusant pour le deuxième mois consécutif. Le chiffre de juin a été révisé en légère baisse à 45,7 milliards de dollars contre 46,3 milliards en première estimation.
Les débats débutent aujourd’hui en commission après l’audition de Bruno Le Maire hier. Le Trésor chiffre les bénéfices de trois mesures phares à près d’un point de PIB sur le long terme.
Le ministère russe de l’Economie a abaissé aujourd’hui sa prévision de croissance du produit intérieur brut à 1,8% pour 2018 et 1,3% pour 2019. Le ministère a justifié cet abaissement de ses prévisions par les conséquences sur l’activité des sanctions américaines à l’encontre de Moscou, la forte volatilité sur les marchés financiers et la politique monétaire de la banque centrale. Il table sur un taux de change moyen de 61,6 roubles pour un dollar en 2018 et a relevé sa prévision d’inflation pour cette année à 3,4% contre 3,1% précédemment.
Le déficit commercial des Etats-Unis a atteint un plus haut de cinq mois en juillet sous l’effet d’importations record et d’une baisse des exportations notamment de soja et de l’aéronautique civile, ce qui pourrait se traduire par une contribution négative du commerce extérieur à la croissance au troisième trimestre.
L’économie américaine devrait connaître une croissance de 4,7% en rythme annualisé au troisième trimestre au vu des derniers indicateurs macroéconomiques, montrait hier le modèle de prévision GDPNow de la Réserve fédérale d’Atlanta. Cette estimation est supérieure à la précédente projection, d’une croissance de 4,1%, publiée le 30 août. L’estimation de la croissance des dépenses de consommation est passée de 3,0% à 3,6% et celle de la hausse de l’investissement privé a été révisée à 4,3%, contre 3,0%.