Les mises en chantier de logements en France se sont repliées de 1,3% sur les trois mois à fin juillet, après avoir chuté de 7,7% au deuxième trimestre, selon les données corrigées des jours ouvrables et des variations saisonnières publiées hier par le ministère de la Cohésion des territoires. La baisse provient de la construction de logements individuels (-4,1%, après -3,0%) alors que les mises en chantier se sont redressées dans les logements collectifs (+0,8%, après -10,9%). Sur les douze mois à fin juillet, 421.400 logements ont été mis en chantier en France, contre 407.400 un an plus tôt, soit une hausse de 3,4%. Mais les permis de construire ont reculé de 4,5%, à 474.800, au plus bas depuis février 2017.
Les promesses de vente de logements aux Etats-Unis ont décliné de manière inattendue en juillet, s’inscrivant désormais en baisse sur un an pour le septième mois consécutif, signe que le marché immobilier américain connaît une période d’essoufflement. L’indice de la National Association of Realtors (NAR), qui mesure le nombre de contrats signés pour l’achat d’un logement, a diminué de 0,7% par rapport au mois précédent à 106,2, a annoncé mercredi l’association américaine des agents immobiliers. Les économistes s’attendaient à un indice stable sur le mois. Les promesses de juillet accusent un déclin de 2,3% par rapport au même mois en 2017.
Les mises en chantier de logements en France se sont repliées de 1,3% sur les trois mois à fin juillet après avoir chuté de 7,7% au deuxième trimestre, selon les données corrigées des jours ouvrables et des variations saisonnières publiées ce matin par le ministère de la Cohésion des territoires. La baisse provient de la construction de logements individuels (-4,1% après -3,0%) alors que les mises en chantier se sont redressées dans les logements collectifs (+0,8% après -10,9%).
La croissance du crédit bancaire aux entreprises et aux ménages dans la zone euro est restée soutenue le mois dernier, alors que celle de l’agrégat monétaire M3, souvent un bon indicateur avancé de l’activité, a ralenti plus fortement que prévu, a annoncé hier la Banque centrale européenne (BCE). Le crédit aux entreprises non financières a augmenté de 4,1% et les prêts aux ménages ont progressé de 3,0% en juillet, tous deux à leur rythme de croissance le plus soutenu depuis 2009. Le rythme de croissance annuel de M3 a ralenti à 4,0% en juillet, contre 4,5% en juin, alors que les économistes attendaient +4,3%.
La confiance du consommateur s’est franchement améliorée en août aux Etats-Unis au point qu’elle n’avait plus été aussi haute depuis octobre 2000, montre l’enquête mensuelle du Conference Board publiée hier. L’indice de confiance établi par l’organisation patronale s’est élevé à 133,4 ce mois-ci alors que les économistes l’attendaient à 126,7. L’indice du mois de juillet a été révisé à la hausse de 0,5 point, à 127,9. La composante du jugement des consommateurs sur la situation actuelle a, elle aussi, progressé, passant de 166,1 en juillet (première estimation, 165,9) à 172,2 ce mois-ci.
La confiance des ménages est restée stable en août en France pour le deuxième mois consécutif et continue ainsi d’évoluer à son plus bas niveau depuis septembre 2016, selon les données publiées hier par l’Insee. L’indicateur synthétisant cette confiance est ressorti sans changement, à 97, un niveau inférieur à sa moyenne de longue période, calée à 100, et conforme aux attentes des économistes.
La croissance du crédit bancaire aux entreprises et aux ménages dans la zone euro est restée soutenue le mois dernier, alors que celle de l’agrégat monétaire M3, souvent un bon indicateur avancé de l’activité, a ralenti plus fortement que prévu, a annoncé ce matin la Banque centrale européenne (BCE). Le crédit aux entreprises non-financières a augmenté de 4,1% et les prêts aux ménages ont progressé de 3,0% en juillet, tous deux à leur rythme de croissance le plus soutenu depuis 2009. Le rythme de croissance annuel de M3 a ralenti à 4,0% en juillet contre 4,5% en juin, alors que les économistes attendaient +4,3%.
Le ministre italien de l’Economie, Giovanni Tria, en déplacement en Chine, a assuré hier que le but de sa visite n’était pas de trouver de nouveaux acheteurs pour la dette publique italienne, démentant ainsi de récentes spéculations dans la presse. «L’objectif de la mission est de renforcer la coopération économique entre nos deux pays», a-t-il déclaré dans une interview au journal chinois Guangming, traduite en italien sur le site internet de Radio Chine Internationale. «Les investisseurs chinois évalueront l’opportunité d’acheter de la dette chinoise au même titre que les autres investisseurs, étrangers ou italiens», a ajouté Giovanni Tria. Je suis confiant dans le fait que le projet de budget du gouvernement italien renforcera l’opinion positive sur la stabilité financière de l’Italie.»
Le climat des affaires s’est amélioré en août en Allemagne pour la première fois depuis le début de l’année, grâce notamment à la retombée des craintes des entrepreneurs d’une escalade des tensions commerciales, après la trêve conclue entre l’Union européenne et les Etats-Unis dans ce dossier en juillet. L’indice du climat des affaires calculé par l’Ifo s’est établi à 103,8, contre 101,7 en juillet. Le chiffre d’août est largement supérieur aux prévisions des économistes, qui l’attendaient en moyenne à 101,9. Il s’inscrit au plus haut depuis le mois de février et affiche la plus forte hausse mensuelle depuis décembre 2014.
Luigi Di Maio, le vice-président du Conseil italien, a déclaré hier que la «seule solution» était de nationaliser les autoroutes à péage contrôlées par Autostrade après l’effondrement du viaduc Morandi à Gênes, qui a fait 43 morts. «Nous allons sortir de la logique du profit, nous allons réduire [le montant] des péages, nous allons faire beaucoup plus de maintenance et nous allons introduire des innovations technologiques pour améliorer la sécurité et la mobilité», a-t-il déclaré sur Facebook. Autostrade per l’Italia est la filiale du groupe Atlantia détentrice de la concession autoroutière dont dépend le pont Morandi, qui s’est en partie effondré le 14 août à Gênes.
Le ministre italien de l’Economie Giovanni Tria, en déplacement en Chine, a assuré ce lundi que le but de sa visite n'était pas de trouver de nouveaux acheteurs pour la dette publique italienne, démentant ainsi de récentes spéculations dans la presse. «L’objectif de la mission est de renforcer la coopération économique entre nos deux pays», a-t-il déclaré dans une interview au journal chinois Guangming, traduite en italien sur le site internet de Radio Chine Internationale.
Le produit intérieur brut (PIB) de l’Allemagne a crû de 0,5% au deuxième trimestre par rapport aux trois mois précédents en données corrigées de l’inflation, des variations saisonnières et des effets calendaires, après avoir augmenté de 0,4% au premier trimestre, a confirmé vendredi l’Office fédéral de la statistique, Destatis. Sur un an, le PIB est ressorti en hausse de 2% au deuxième trimestre, comme annoncé lors de la première estimation du PIB allemand le 14 août.
Les commandes nouvelles de biens d'équipement de base ont encore augmenté plus fortement que prévu en juillet aux Etats-Unis et la croissance des livraisons est restée soutenue. Le département du Commerce a annoncé vendredi que les commandes de biens d'équipement, un indicateur des plans d’investissement des entreprises suivi de près, avaient augmenté de 1,4% le mois dernier. En juin, elles ont augmenté de 0,6% au lieu d’une première estimation qui donnait une hausse de 0,2%.
Le nombre cumulé de réservations – c’est-à-dire de ventes – de logements neufs entre avril et juin a progressé de 1,7% par rapport au deuxième trimestre 2017, à 34.100 unités, selon les données provisoires publiées hier par le ministère de la Cohésion des territoires. Cette hausse globale recouvre une progression dans le collectif, avec des ventes d’appartement en augmentation de 2,3% par rapport au printemps 2017, ce qui a plus que compensé le net repli dans l’individuel, avec un reflux de 4,9% des ventes.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont baissé la semaine dernière aux Etats-Unis, donnant à penser que les tensions commerciales avec leurs partenaires n’ont pour le moment pas d’impact sur le marché du travail. En données corrigées des variations saisonnières, elles ont diminué de 2.000, à 210.000, durant la semaine au 18 août, a annoncé hier le département du Travail. Les économistes prévoyaient en moyenne 215.000 inscriptions la semaine dernière. Il s’agit de la troisième baisse hebdomadaire d’affilée des inscriptions au chômage outre-Atlantique.
Les ventes de logements neufs aux Etats-Unis ont baissé contrairement aux attentes en juillet, à un creux de neuf mois, dernier signe en date du ralentissement du marché immobilier. Elles ont diminué de 1,7%, au rythme annualisé de 627.000 unités, montrent les données publiées hier par le département américain du Commerce, leur plus faible niveau depuis octobre 2017. Le rythme des ventes du mois de juin, estimé dans un premier temps à 631.000, a été révisé à la hausse, à 638.000.
La Russie va probablement abaisser sa prévision de croissance économique pour 2018, à 1,8%, contre 1,9% précédemment, a déclaré hier le ministre russe de l’Economie, Maxime Orechkine. Par rapport aux précédentes prévisions, le rouble va être légèrement plus faible et les sorties de capitaux plus élevées au cours des douze prochains mois en raison des nouvelles sanctions américaines et de la situation plus générale des marchés émergents, a-t-il dit. La mauvaise récolte céréalière et la faiblesse du rouble vont aussi amener le ministère à relever ses prévisions d’inflation, a ajouté Maxime Orechkine.
Les stocks américains de pétrole brut se sont contractés de 5,8 millions de barils la semaine dernière, alors que les économistes attendaient en moyenne une diminution de 1,5 million de barils, montrent les données publiées hier par l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA). Les stocks d’essence ont, de leur côté, progressé de 1,2 million de barils par jour. Les économistes attendaient une baisse de 488.000. Les réserves de produits distillés, qui incluent le fioul domestique, ont affiché une croissance de 1,8 million de barils, contre une hausse attendue de 1,5 million. Le taux d’utilisation des capacités de raffinage est resté inchangé, à 98,1%.