Le déficit du budget de l’Etat français s’est établi à 87,0 milliards d’euros à fin octobre, en hausse de près de 10 milliards d’euros par rapport à son montant de 77,1 milliards à la même période il y a un an, selon les données publiées ce mardi par le ministère de l’Action et des Comptes publics. Les dépenses (budget général et prélèvements sur recettes) affichaient une hausse de 1,2% (à périmètre courant) à 332,4 milliards. Les recettes du budget général (nettes des remboursements et dégrèvements) étaient en recul de 2,3% à 254,0 milliards, les seules recettes fiscales nettes ayant diminué de 2,6%, à 241,4 milliards. Le solde des comptes spéciaux s’est établi à -8,6 milliards d’euros contre -8,9 milliards un an plus tôt.
Des constructeurs automobiles ont fait état d’une baisse de leurs ventes de voitures neuves aux Etats-Unis en novembre, en raison d’une hausse des prix et des taux d’intérêt, sur fond de désaffection des consommateurs pour les berlines. Les ventes de Ford, numéro deux aux Etats-Unis, ont reflué d’environ 6,9% à 196.303 véhicules en novembre. Celles de Toyota ont diminué de 0,6% à 190.423 unités le mois dernier. Chez son compatriote Honda, les ventes avaient chuté de 9,5% à 120.534 véhicules. Les ventes de Nissan, partenaire de Renault, ont plongé de 19% à 110.513 unités sur un an. Les ventes totales de voitures aux Etats-Unis ont reculé l’an dernier de 2%.
La croissance de l’activité du secteur manufacturier en zone euro a connu un ralentissement un peu moins prononcé que prévu en novembre mais elle ressort cependant à son plus faible niveau depuis août 2016, selon les données définitives publiées hier par IHS Markit. L’indice PMI du secteur manufacturier de la zone euro s’est établi à 51,8 en novembre, contre 52 le mois précédent. L’indice est supérieur à l’estimation provisoire publiée par Markit le 23 novembre, qui se situait à 51,5.
La France a emprunté 4,59 milliards d’euros à court terme lundi sur les marchés, à des taux majoritairement en hausse, a annoncé l’Agence France Trésor (AFT), chargée de placer la dette française auprès des investisseurs. Le pays souhaitait emprunter entre 3,4 et 4,6 milliards d’euros. La France emprunte depuis août 2014 à des taux négatifs sur des échéances de court terme, ce qui signifie que les investisseurs, qui cherchent à tout prix des placements sûrs, sont prêts à perdre de l’argent en lui prêtant. Emprunter sur ces échéances devient donc rémunérateur pour le Trésor.
La croissance de l’activité du secteur manufacturier en zone euro a connu un ralentissement un peu moins prononcé que prévu en novembre mais elle ressort cependant à son plus faible niveau depuis août 2016, selon les données définitives publiées aujourd’hui par IHS Markit. L’indice PMI du secteur manufacturier de la zone euro s’est établi à 51,8 en novembre, contre 52 le mois précédent. L’indice est supérieur à l’estimation provisoire publiée par Markit le 23 novembre, qui se situait à 51,5.
L’activité économique de l’Italie s’est contractée au troisième trimestre pour la première fois en quatre ans en raison d’une baisse de la demande intérieure, a annoncé vendredi le bureau national de la statistique Istat. Le produit intérieur brut (PIB) italien a reculé de 0,1% par rapport au trimestre précédent, alors qu’une première estimation l’avait donné inchangé. Il s’agit de la première contraction enregistrée depuis le deuxième trimestre de 2014, a souligné l’Istat. En rythme annuel, le PIB de l’Italie a progressé de 0,7%, contre une précédente estimation de +0,8% donnée il y a un mois.
L’activité économique de l’Italie s’est contractée au troisième trimestre pour la première fois en quatre ans en raison d’une baisse de la demande intérieure, a annoncé vendredi le bureau national de la statistique Istat. Le produit intérieur brut (PIB) italien a reculé de 0,1% par rapport au trimestre précédent, alors qu’une première estimation l’avait donné inchangé. Il s’agit de la première contraction enregistrée depuis le deuxième trimestre de 2014, a indiqué l’Istat.
A trois jours de l’ouverture en Pologne de la COP 24 sur le climat, Varsovie a annoncé hier vouloir investir l’an prochain dans l’exploitation d’une nouvelle mine de charbon en Silésie. «La Pologne a besoin de charbon. Ou bien ce sera notre charbon, ou bien il viendra de l’extérieur», a expliqué le vice-ministre de l’Energie Grzegorz Tobiszowski à la presse. A moyen terme, le gouvernement polonais prévoit de ramener la part du charbon dans la production d'électricité de 80% actuellement à 60% d’ici 2030, selon une version provisoire de sa feuille de route énergétique.
Le nombre de demandeurs d’emploi en Allemagne a diminué plus qu’attendu en novembre, faisant retomber le taux de chômage à un nouveau plus bas historique, montrent les statistiques officielles publiées hier. L’Office fédéral du travail a fait état d’une baisse de 16.000 du nombre de demandeurs d’emploi en données corrigées des variations saisonnières (CVS), à 2,276 millions. Les économistes prévoyaient en moyenne un recul de 10.000 seulement. Le taux de chômage est revenu à 5%, son plus bas niveau depuis 1990.
Le nombre de demandeurs d’emploi en Allemagne a diminué plus qu’attendu en novembre, faisant retomber le taux de chômage à un nouveau plus bas historique, montrent les statistiques officielles publiées ce matin. L’Office fédéral du travail a fait état d’une baisse de 16.000 du nombre de demandeurs d’emploi en données corrigées des variations saisonnières (CVS), à 2,276 millions. Les économistes prévoyaient en moyenne un recul de 10.000 seulement. Le taux de chômage est revenu à 5%, son plus bas niveau depuis la réunification du pays en 1990.
Trois jours avant l’ouverture en Pologne de la COP24 sur le climat, Varsovie a annoncé aujourd’hui son intention d’investir l’an prochain dans la construction d’une nouvelle mine de charbon en Silésie. «La Pologne a besoin de charbon. Ou bien ce sera notre charbon, ou bien il viendra de l’extérieur», a expliqué le vice-ministre de l’Energie Grzegorz Tobiszowski lors d’une conférence de presse. A moyen terme, le gouvernement polonais prévoit de ramener la part du charbon dans la production d'électricité de 80% actuellement à environ 60% d’ici 2030, selon une version encore provisoire de sa feuille de route énergétique.
L'économie suisse a subi au troisième trimestre une contraction inattendue de 0,2% par rapport au trimestre précédent, selon les chiffres du Secrétariat d’Etat à l'économie (Seco) publiés ce matin. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une croissance de 0,4% du PIB après 0,7% du deuxième trimestre, et la plus basse de leurs estimations était de +0,2%. Sur un an, le PIB suisse voit sa croissance ramenée à 2,4% au troisième trimestre, soit un demi-point en dessous du consensus, ce qui devrait confirmer le maintien des taux négatifs par la Banque nationale suisse (BNS).
Le produit intérieur brut (PIB) a augmenté de 3,5% en rythme annualisé sur la période juillet-septembre, après 4,2% au deuxième trimestre, selon une deuxième estimation publiée mercredi par le département du Commerce. Alors que les entreprises ont accumulé des stocks plus rapidement et dépensé davantage en équipements, les dépenses de consommation et les exportations ont été révisées en baisse. Par rapport au troisième trimestre 2017, le PIB américain est en hausse de 3%. La progression de l’indice des prix core PCE, très suivi par la Réserve fédérale, a été révisée en baisse à 1,5% contre 1,6% en première estimation.
Dans un rapport publié hier, Londres estime que l'érosion de la croissance britannique serait limitée à 2,1% sur quinze ans si l'accord avec l'UE était ratifié.
La croissance des bénéfices des entreprises industrielles en Chine a ralenti pour le sixième mois consécutif en octobre, avec les pressions sur les prix et le ralentissement de la demande dans un contexte de tensions commerciales avec les Etats-Unis. Les profits du secteur industriel ont progressé de 3,6% le mois dernier, à 548 milliards de yuans (69,56 milliards d’euros), un plus bas de 7 mois, selon le Bureau national de la statistique. De janvier à octobre, la progression des bénéfices des entreprises industrielles chinoises atteint 13,6% sur un an.
La confiance des ménages français a fortement baissé en novembre, ces derniers étant beaucoup moins optimistes sur leur niveau de vie futur, selon l’enquête de conjoncture de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). L’indice de confiance des ménages s'établit à 92 en novembre, son plus bas niveau depuis février 2015, contre 95 en octobre. Les craintes des ménages sur l'évolution du chômage augmentent aussi fortement en novembre: le solde correspondant gagne 21 points et se situe à son plus haut niveau depuis novembre 2016.
La croissance des bénéfices des entreprises industrielles en Chine a ralenti pour le sixième mois consécutif en octobre, avec les pressions sur les prix et le ralentissement de la demande dans un contexte de tensions commerciales avec les Etats-Unis. Les profits du secteur industriel ont progressé de 3,6% le mois dernier, à 548 milliards de yuans (69,56 milliards d’euros), un plus bas de sept mois, a indiqué ce mardi le Bureau national de la statistique. Sur la période de janvier à octobre, la progression des bénéfices des entreprises industrielles chinoises atteint 13,6% sur un an, contre +14,7% sur la période de janvier à septembre.
La confiance des ménages français a fortement baissé en novembre, ces derniers étant beaucoup moins optimistes sur leur niveau de vie futur, selon l’enquête de conjoncture publiée ce mardi par l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). L’indice de confiance des ménages s'établit à 92 en novembre, son plus bas niveau depuis février 2015, contre 95 en octobre et au-dessous de sa moyenne de long terme de 100.