La Réserve fédérale a annoncé vendredi que la production manufacturière avait augmenté de 0,3% le mois dernier après un gain de 0,3% (+0,2% en première estimation) en septembre. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une hausse de 0,2% en octobre. La production de véhicules motorisés a diminué de 2,8% après une hausse de 1,3% en septembre. Hors secteur automobile, la production manufacturière a augmenté de 0,5%, portée par la production de matériels et d'équipements pour les entreprises, après une hausse de 0,2% en septembre.
L’endettement des ménages américains a continué de s’accroître au troisième trimestre, a révélé la Réserve fédérale de New York vendredi. Il a augmenté de 219 milliards de dollars sur la période de juillet à septembre, pour atteindre 13.510 milliards de dollars, soit le 17ème trimestre consécutif de hausse. L’encours dépasse désormais largement les 12.680 milliards de dollars atteints en 2008, en pleine crise financière. La hausse du troisième trimestre a été alimentée par les crédits immobiliers, dont l’encours a progressé de 141 milliards de dollars et s'établit désormais à 9.140 milliards de dollars.
Les prix à la consommation en zone euro ont augmenté en octobre conformément à l’estimation initiale, d’après les chiffres définitifs publiés vendredi par Eurostat, l’agence européenne de la statistique. Le mois dernier, les prix à la consommation dans l’union monétaire ont progressé de 2,2% par rapport à la même période de 2017, après une hausse de 2,1% en septembre et de 2,0% en août. L’indice des prix à la consommation de base, qui exclut notamment l'énergie et les produits alimentaires, a augmenté de 1,1% sur un an en octobre et de 0,1% sur un mois.
La Réserve fédérale a annoncé aujourd’hui que la production manufacturière avait augmenté de 0,3% le mois dernier après un gain de 0,3% (+0,2% en première estimation) en septembre. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une hausse de 0,2% en octobre. La production de véhicules motorisés a diminué de 2,8% après une hausse de 1,3% en septembre. Hors secteur automobile, la production manufacturière a augmenté de 0,5%, portée par la production de matériels et d'équipements pour les entreprises, après une hausse de 0,2% en septembre.
Les prix à la consommation en zone euro ont augmenté en octobre conformément à l’estimation initiale, d’après les chiffres définitifs publiés vendredi par Eurostat, l’agence européenne de la statistique. Le mois dernier, les prix à la consommation dans l’union monétaire ont progressé de 2,2% par rapport à la même période de 2017, après une hausse de 2,1% en septembre et de 2,0% en août. L’indice des prix à la consommation de base, qui exclut notamment l'énergie et les produits alimentaires, a augmenté de 1,1% sur un an en octobre et de 0,1% sur un mois.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont progressé de façon inattendue aux Etats-Unis dans la semaine au 10 novembre, à 216.000 contre 214.000 la semaine précédente, selon le département du Travail. Les inscriptions dans trois grands Etats ne reposent toutefois que sur des estimations en raison de la journée fériée lundi du Veteran’s Day, ce qui pourrait avoir influencé la statistique. Les économistes attendaient en moyenne 212.000 inscriptions au chômage. Les inscriptions de la semaine au 3 novembre ont été confirmées à 214.000. La moyenne mobile sur quatre semaines a progressé de 1.500 d’une semaine sur l’autre à 215.250.
L’excédent commercial de la zone euro a diminué en septembre par rapport au mois précédent, a annoncé hier Eurostat. En données corrigées des variations saisonnières, il s'établit à 13,4 milliards d’euros contre 16,8 milliards en août, avec des exportations en baisse de 1,6% d’un mois sur l’autre, et des importations en progression de 0,2%. En données brutes, l’excédent commercial ressort à 13,1 milliards d’euros, en net recul sur les 25,3 milliards dégagés un an auparavant.
La croissance des ventes au détail a ralenti en octobre à son rythme le plus faible depuis six mois, un temps doux ayant freiné les achats de vêtements et le consommateur britannique ayant réduit ses dépenses après avoir beaucoup dépensé durant l'été. En rythme séquentiel, les ventes ont baissé de 0,5% en volume par rapport à septembre, alors que le consensus attendait une hausse de 0,2%. En glissement annuel, elles ont augmenté de 2,2% après +3,3% en septembre, le pourcentage le plus faible depuis avril. Les économistes anticipaient une hausse de 3,0% le mois dernier.
Les stocks des entreprises américaines ont enregistré une augmentation modeste en septembre, dans un contexte de ralentissement de l’accumulation de stocks des détaillants. Les stocks ont augmenté de 0,3%, après une hausse de 0,5% en août, selon le département du Commerce. Ceux des détaillants ont augmenté de 0,1%, contre 0,6% en août. Les stocks automobiles ont progressé de 0,4%, après 1,8% en août. Les stocks ont ajouté 2,07 points de pourcentage au rythme de croissance du PIB au troisième trimestre, qui a atteint 3,5% en variation annualisée. Les ventes des entreprises ont pour leur part augmenté de 0,4% en septembre, après une hausse de 0,5% en août.
L’excédent commercial de la zone euro a diminué en septembre par rapport au mois précédent, a annoncé aujourd’hui Eurostat. En données corrigées des variations saisonnières, il s'établit à 13,4 milliards d’euros contre 16,8 milliards en août, avec des exportations en baisse de 1,6% d’un mois sur l’autre, et des importations en progression de 0,2%. En données brutes, l’excédent commercial ressort à 13,1 milliards d’euros, en net recul sur les 25,3 milliards dégagés un an auparavant.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont progressé de façon inattendue aux Etats-Unis dans la semaine au 10 novembre, à 216.000 contre 214.000 la semaine précédente, a annoncé aujourd’hui le département du Travail. Les inscriptions dans trois grands Etats ne reposent toutefois que sur des estimations en raison de la journée fériée lundi du Veteran’s Day, ce qui pourrait avoir influencé la statistique.
La croissance des ventes au détail a ralenti en octobre à son rythme le plus faible depuis six mois, un temps doux ayant freiné les achats de vêtements d’hiver et le consommateur britannique ayant réduit ses dépenses après avoir beaucoup dépensé durant l'été. En rythme séquentiel, les ventes ont baissé de 0,5% en volume par rapport à septembre, alors que le consensus attendait une hausse de 0,2%. En glissement annuel, elles ont augmenté de 2,2% après +3,3% en septembre, le pourcentage le plus faible depuis avril. Les économistes anticipaient une hausse de 3,0% le mois dernier, identique à la première estimation donnée pour septembre.
Les PIB du Japon et de l'Allemagne se sont contractés au troisième trimestre, alors que la Chine a enregistré un coup de frein inquiétant de la demande intérieure en octobre.
Le taux d’inflation est resté stable à 2,4% en octobre au Royaume-Uni, selon l’office national de la statistique (ONS). Les économistes prévoyaient une accélération à 2,5%. L’inflation de base, hors énergie, alimentation, alcools et tabac, est aussi restée à 1,9%. Les prix à la production ont quant à eux augmenté de 3,3% en rythme annuel en octobre, dépassant le consensus qui donnait une hausse de 3,1%. Les prix des matières premières, dont bon nombre sont importées, ont bondi de 10% par rapport à septembre 2017, contre +9,6% attendu.
Le taux d’inflation est resté stable à 2,4% en octobre au Royaume-Uni, selon les données publiées ce matin par l’office national de la statistique (ONS). Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une accélération à 2,5%. L’inflation de base, hors énergie, alimentation, alcools et tabac, est également demeurée inchangée à 1,9%. «Les prix payés par les consommateurs ont continué d’augmenter à un rythme stable avec des baisses dans l’alimentation et l’habillement qui ont été compensées par des hausses pour l'électricité et les carburants, dans le sillage des cours du pétrole» a commenté Mike Hardie, statisticien à l’ONS.
La croissance des salaires au Royaume-Uni a connu au troisième trimestre sa plus forte accélération depuis 10 ans, montrent des données officielles publiées hier. Le salaire moyen hebdomadaire, hors primes, a augmenté de 3,2% en juillet-septembre par rapport à la même période de 2018, soit sa plus forte hausse depuis le quatrième trimestre 2008. Sur les trois mois à fin août, la hausse avait été de 3,1%. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient un chiffre inchangé sur les trois mois suivants. Mais le taux de chômage a augmenté pour la première fois de l’année, à 4,1% sur la même période.
La croissance des salaires au Royaume-Uni a connu au troisième trimestre sa plus forte accélération depuis près de dix ans mais le taux de chômage a augmenté pour la première fois de l’année, montrent des données officielles publiées mardi. Le salaire moyen hebdomadaire, hors primes, a augmenté de 3,2% en juillet-septembre par rapport à la même période de 2018, soit sa plus forte hausse depuis le quatrième trimestre 2008.
Alors que le nouveau président brésilien d’extrême droite Jair Bolsonaro va prendre ses fonctions le 1er janvier prochain, les investisseurs ont déjà ajouté 367 millions de dollars aux fonds cotés américains la semaine dernière, ce qui est le plus gros afflux depuis 2017, selon Bloomberg. Le seul pays émergent à avoir bénéficié d’afflux d’argent sur cette période était le Mexique, avec 214 millions retirés des ETF dédiés aux actifs du pays. Les entrées d’ETF sur les marchés émergents ont atteint 2,29 milliards de dollars. Jair Bolsonaro attire les investisseurs, avec son amorce de programme, comme vendre les entreprises publiques, réformer le système de retraites, et réduire le déficit fiscal.
L’Union européenne se rapproche d’un compromis afin de créer un cadre européen pour le contrôle des investissements étrangers, une proposition mise sur la table en septembre 2017 par la Commission à la demande de grands pays comme la France et l’Allemagne. «Il y a de bonnes chances de conclure d’ici à la fin de l’année», a estimé vendredi la commissaire européenne au Commerce, Cecilia Malmström, avant une réunion avec les ministres européens à Bruxelles. Le texte de la Commission prévoit surtout des échanges d’informations entre pays membres pour filtrer les investissements étrangers. Le choix de bloquer une transaction reviendrait cependant à chaque Etat.