L'économie italienne a marqué le pas au troisième trimestre faute d’impulsion de la demande intérieure et du commerce extérieur, montrent les données provisoires du produit intérieur brut (PIB) publiées hier par l’Istat, l’institut national de la statistique. Le PIB est ressorti inchangé sur la période juillet-septembre après une croissance de 0,2% au deuxième trimestre. Sur une base annuelle, la croissance ralentit à +0,8% contre +1,2%. Le consensus des économistes prévoyait en moyenne une croissance de 0,1% d’un trimestre sur l’autre et de 0,9% sur un an.
Le nombre de demandeurs d’emploi a baissé en octobre en Allemagne et l’emploi a atteint un niveau record, selon des statistiques qui confirment la bonne santé de la première économie européenne. Le nombre de chômeurs a baissé de 11.000 à 2,292 millions en données corrigées des variations saisonnières, a indiqué l’Office fédéral du Travail. Les économistes prévoyaient en moyenne une diminution de 12.000. Le taux de chômage est resté stable à 5,1%, au plus bas depuis la réunification allemande de 1990.
Le nombre de demandeurs d’emploi a baissé en octobre en Allemagne et l’emploi a atteint un niveau record, montrent aujourd’hui des statistiques qui confirment la bonne santé de la première économie européenne. Le nombre de chômeurs a baissé de 11.000 à 2,292 millions en données corrigées des variations saisonnières, a indiqué l’Office fédéral du Travail. Les économistes prévoyaient en moyenne une diminution de 12.000. Le taux de chômage est resté stable à 5,1%, au plus bas depuis la réunification allemande de 1990.
L'économie italienne a marqué le pas au troisième trimestre faute d’impulsion de la demande intérieure et du commerce extérieur, montrent les données provisoires du produit intérieur brut (PIB) publiées aujourd’hui par l’Istat, l’institut national de la statistique. Le PIB est ressorti inchangé sur la période juillet-septembre après une croissance de 0,2% au deuxième trimestre. Sur une base annuelle, la croissance ralentit à +0,8% contre +1,2%. Le consensus des économistes prévoyait en moyenne une croissance de 0,1% d’un trimestre sur l’autre et de 0,9% sur un an.
Des représentants des 28 États membres de l’UE se réunissent aujourd’hui à Bruxelles pour examiner un projet de compromis sur un futur cadre paneuropeen dédié aux obligations garanties. De sources concordantes, le texte est presque finalisé, et un accord définitif devrait intervenir courant novembre. Le texte, dont L’Agefi a obtenu copie, reste relativement proche de la proposition initiale de la Commission européenne - laquelle visait surtout à insérer en droit européen une définition de ce produit financier, et à lui conserver l’exemption de fonds propres dont il bénéficie. Les États examinent toutefois un certain nombre d’ajustements - notamment sur les actifs éligibles et les collateraux, sur les covered bonds intragroupes, et sur la composition du cover pool.
Les dépenses de consommation des ménages américains, qui représentent plus des deux tiers de l’activité économique aux Etats-Unis, ont augmenté de 0,4% le mois dernier après une hausse révisée à +0,5% en août (+0,3% en première estimation), a annoncé hier le département du Commerce. Mais leurs revenus, en hausse de seulement 0,2% le mois dernier, ont enregistré leur plus faible croissance mensuelle depuis juin 2017, laissant présager une modération prochaine de la consommation du pays.
Les dépenses de consommation des ménages américains, qui représentent plus des deux tiers de l’activité économique aux Etats-Unis, ont augmenté de 0,4% le mois dernier après une hausse révisée à +0,5% en août (+0,3% en première estimation), a annoncé aujourd’hui le département du Commerce. Mais leurs revenus, en hausse de seulement 0,2% le mois dernier, ont enregistré leur plus faible croissance mensuelle depuis juin 2017, laissant présager une modération prochaine de la consommation du pays.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté aux Etats-Unis lors de la semaine au 20 octobre, à 215.000 contre 210.000 la semaine précédente, mais le nombre de personnes recevant régulièrement des allocations est tombé à son plus bas niveau depuis plus de 45 ans, a annoncé hier le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 214.000 inscriptions au chômage. La moyenne mobile sur quatre semaines est restée inchangée d’une semaine sur l’autre à 211.750.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté aux Etats-Unis lors de la semaine au 20 octobre, à 215.000 contre 210.000 la semaine précédente, mais le nombre de personnes recevant régulièrement des allocations est tombé à son plus bas niveau depuis plus de 45 ans, a annoncé aujourd’hui le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 214.000 inscriptions au chômage. La moyenne mobile sur quatre semaines est restée inchangée d’une semaine sur l’autre à 211.750.
STABLE. « L’Italie évite le pire, pour l’instant », c’est le constat de Stéphane Déo, stratégiste chez La Banque Postale AM, après la dégradation d’un cran de la note souveraine du pays, à Baa3, par Moody’s, assortie d’une perspective stable. « L’horreur absolue aurait été un abaissement de deux crans, à Ba1, ce qui aurait placé l’Italie en high yield, forçant nombre d’investisseurs à vendre », poursuit le stratégiste. La perspective stable et non négative rassure aussi. Les emprunts d’Etat italiens n’ont pas tardé à réagir, le taux à dix ans baissant de 18 points de base à la suite de cette annonce, avant toutefois de réduire son resserrement, signe que la situation va rester compliquée.
Les ventes de logements neufs aux Etats-Unis ont reculé de 5,5% au rythme annualisé de 553.000 unités le mois dernier, selon les données publiées hier par le département américain du Commerce. Il s’agit du rythme de ventes le plus faible depuis décembre 2016. Les économistes prévoyaient en moyenne une baisse de 1,4% en septembre, au rythme de 625.000 unités. Sur un an, ces ventes ont diminué de 13,2%. Le rythme des ventes du mois d’août, estimé dans un premier temps à 629.000, a été ramené à 585.000 et celles de juin et juillet ont également été revues en baisse.
L'économie et l’inflation des Etats-Unis se sont développées à une cadence modeste à modérée de fin novembre jusqu'à la fin de 2017, et les salaires ont continué d’augmenter, à un rythme modeste, indique le Livre Beige de la Réserve fédérale (Fed), publié hier. Plusieurs Fed régionales ont noté une hausse des coûts des facteurs de production dans l’industrie, le bâtiment et les transports, et certaines d’entre elles pensent que les salaires continueront d’augmenter dans les mois qui viennent. L’inflation reste inférieure à l’objectif de la Fed, soit 2%, depuis plus de cinq ans. Malgré tout, les responsables de la Fed pensent encore augmenter les taux à trois reprises cette année comme en 2017, dans un contexte de croissance soutenue et de chômage faible.
Les ventes de logements neufs aux Etats-Unis ont reculé de 5,5% au rythme annualisé de 553.000 unités le mois dernier, montrent les données publiées aujourd’hui par le département américain du Commerce. Il s’agit du rythme de ventes le plus faible depuis décembre 2016. Les économistes prévoyaient en moyenne une baisse de 1,4% en septembre, au rythme de 625.000 unités. Sur un an, ces ventes ont diminué de 13,2%. Le rythme des ventes du mois d’août, estimé dans un premier temps à 629.000, a été ramené à 585.000 et celles de juin et juillet ont également été revues en baisse.
La croissance du crédit aux entreprises de la zone euro s’est amplifiée et a inscrit un nouveau pic post-crise en septembre, annonce la Banque centrale européenne (BCE) mercredi. Le crédit aux entreprises a crû de 4,3% en septembre après une hausse de 4,1% en août, une croissance sans précédent depuis la mi-2009, tandis que le crédit aux ménages est resté stable à une croissance post-crise de 3,1%.
Le climat des affaires s’est légèrement dégradé ce mois-ci en France pour toucher un plus bas depuis février 2017, selon les données publiées ce mercredi par l’Insee. Le recul est plus prononcé dans l’industrie manufacturière, où le climat des affaires se dégrade dans la quasi-totalité des secteurs, exception faite des biens d'équipement. L’indicateur global s’inscrit en baisse d’un point, à 104, sa valeur de septembre ayant été révisée en baisse d’un point à 105. L’indicateur des services est resté stable à 105 en octobre, celui du bâtiment est aussi demeuré inchangé à 108 mais celui du commerce de détail a plongé de quatre points, à 105.
L’excédent des comptes courants de la zone euro a augmenté à 24 milliards d’euros en août, contre 19 milliards le mois précédent, dans le sillage de l’excédent commercial, montrent les données publiées vendredi par la Banque centrale européenne (BCE). Sur les 12 mois à fin août, l’excédent a représenté 3,3% du produit intérieur brut (PIB) de la zone euro, contre 3,0% un an auparavant, du fait notamment d’un bond de l’excédent des services. Ce surplus, régulièrement critiqué par l’administration américaine qui le juge excessif, devrait être réduit à 2,8% du PIB l’an prochain selon les projections de la BCE.
Le déficit budgétaire britannique s’est élevé à 4,123 milliards de livres (4,694 milliards d’euros) en septembre dernier contre 4,958 milliards un an auparavant, a annoncé vendredi l’Office national de la statistique. Le consensus des économistes projetait en moyenne un déficit de 4,5 milliards de livres. Depuis le début de l’exercice fiscal en avril 2018, le déficit représente 19,9 milliards de livres, au plus bas depuis 2002. La dette publique ressortait à 1.790 milliards de livres en septembre, soit 84,3% du PIB, contre 86,7% un an avant.
L’excédent des comptes courants de la zone euro a augmenté à 24 milliards d’euros en août, contre 19 milliards le mois précédent, dans le sillage de l’excédent commercial, montrent les données publiées ce matin par la Banque centrale européenne (BCE). Sur les 12 mois à fin août, l’excédent a représenté 3,3% du produit intérieur brut (PIB) de la zone euro, contre 3,0% un an auparavant, du fait notamment d’un bond de l’excédent des services.
Le déficit budgétaire britannique s’est élevé à 4,123 milliards de livres (4,694 milliards d’euros) en septembre dernier contre 4,958 milliards un an auparavant, a annoncé aujourd’hui l’Office national de la statistique. Le consensus des économistes projetait en moyenne un déficit de 4,5 milliards de livres. Depuis le début de l’exercice fiscal en avril 2018, le déficit représente au total 19,9 milliards de livres, au plus bas depuis 2002. La dette publique ressortait à 1.790 milliards de livres en septembre, soit 84,3% du PIB, contre 86,7% un an auparavant.