La confiance des ménages a reculé de trois points en décembre, montrent les données de l’Insee. L’indicateur synthétisant cette confiance, s’est établi à 102, en dessous du consensus des économistes qui tablait sur 104 points. La confiance des ménages recule ainsi pour la première fois depuis décembre 2018. Le chiffre du mois de novembre a été révisé à 105 points contre 106 points auparavant.
Les commandes à l’industrie ont diminué en novembre de 1,3%, en rythme mensuel, selon l’institut statistique Destatis. Cette baisse inattendue est la conséquence de la dégradation de la demande étrangère. Les économistes sondés par Reuters prévoyaient une hausse de 0,3%. En octobre, les commandes à l’industrie ont finalement augmenté de 0,2%. Elles avaient été initialement annoncées en baisse de 0,4%. Ce nouveau recul des commandes confirme les difficultés de l’industrie allemande à se stabiliser.
Le déficit de la balance commerciale française a atteint 5,4 milliards d’euros en novembre, après 5,3 milliards d’euros en octobre, selon la direction générale des douanes. Les exportations ont diminué à 42 milliards d’euros, après 43 milliards d’euros le mois précédent, et les importations ont reculé à 47,6 milliards d’euros, contre 47,9 milliards d’euros en octobre. «En cumul sur les 12 derniers mois glissants, le solde reste au même niveau depuis mai. Il atteint -59,4 milliards d’euros en novembre 2019, contre -59 milliards d’euros en mai 2019 et -61,8 milliards d’euros en novembre 2018», ont souligné les douanes.
Alors que le consensus des économistes anticipe plutôt une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 1,8% aux Etats-Unis en 2020, la recherche indépendante de SG CIB (SG Cross Asset Research) a indiqué mercredi qu’elle voyait le pays connaître un vrai ralentissement au deuxième semestre, avec probablement une récession technique - deux trimestres consécutifs à 0% de croissance du PIB en rythme annuel - pour une croissance de 0,7% sur l’année, avant une reprise courant 2021. Les équipes justifient cela par un ralentissement général de fin de cycle. Dans ce contexte, la Réserve fédérale serait probablement obligée de baisser ses taux deux ou trois fois de 25 points de base (pb) supplémentaires cette année.
Le déficit de la balance commerciale française a atteint 5,4 milliards d’euros en novembre, après 5,3 milliards d’euros en octobre, selon les chiffres publiés ce matin par la direction générale des douanes. Les exportations ont diminué à 42 milliards d’euros, après 43 milliards d’euros le mois précédent, et les importations ont reculé à 47,6 milliards d’euros, contre 47,9 milliards d’euros en octobre.
Alors que le consensus des économistes anticipe plutôt une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 1,8% aux Etats-Unis en 2020, la recherche indépendante de SG CIB (SG Cross Asset Research) a indiqué mercredi qu’elle voyait le pays connaître un vrai ralentissement au deuxième semestre, avec probablement une récession technique - deux trimestres consécutifs à 0% de croissance du PIB en rythme annuel - pour une croissance de 0,7% sur l’année, avant une reprise courant 2021.
Les entreprises du secteur privé aux Etats-Unis ont créé plus d’emplois que prévu au mois de décembre, selon le rapport publié mercredi par Automatic Data Processing, ou ADP, et Moody’s Analytics. Le secteur privé américain a créé 202.000 emplois nets le mois dernier, ce qui est supérieur à la prévision des économistes, qui tablaient sur 150.000 nouveaux postes.
La confiance des ménages a reculé de trois points en décembre, montrent les données publiées ce mercredi par l’Insee. L’indicateur synthétisant cette confiance, s’est établi à 102, en dessous du consensus des économistes qui tablait sur 104 points. La confiance des ménages recule ainsi pour la première fois depuis décembre 2018. Le chiffre du mois de novembre a été révisé à 105 points contre 106 points auparavant.
Le jugement des économistes sur la situation de la zone euro s’est amélioré en décembre. L’indice du sentiment économique a progressé à 101,5 après 101,2 en novembre, sa deuxième hausse consécutive, selon la Commission européenne qui le publie.
Les commandes à l’industrie ont diminué en novembre de 1,3%, en rythme mensuel, selon l’institut statistique Destatis. Cette baisse inattendue est la conséquence de la dégradation de la demande étrangère. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une hausse de 0,3%. En octobre, les commandes à l’industrie ont finalement augmenté de 0,2%. Elles avaient été initialement annoncées en baisse de 0,4%. Ce nouveau recul des commandes confirme les difficultés de l’industrie allemande à se stabiliser.
Les ventes au détail dans la zone euro ont augmenté plus que prévu en novembre après deux mois de baisse, montrent les statistiques Eurostat. Leur hausse a atteint 1,0% par rapport au mois précédent et 2,2% par rapport à novembre 2018. Les économistes anticipaient une hausse de 0,6% sur un mois et de 1,3% sur un an. Eurostat a en outre révisé à la hausse les ventes au détail d’octobre, en baisse de 0,3% sur un mois contre -0,6% annoncé initialement, et une progression de 1,7% sur un an (+1,4% initialement).
Le déficit de la balance commerciale américaine a atteint en novembre un plus bas de près de trois ans, en baisse de 8,2% à 43,1 milliards de dollars, selon le département du commerce. Sur les onze premiers mois de l’année, le déficit commercial diminue de 0,7%. Les importations de biens ont reculé de 1,4% à 201,1 milliards de dollars. Les exportations ont augmenté de 0,7% à 137,2 milliards de dollars. Les échanges de pétrole ont dégagé un excédent record de 0,8 milliard de dollars. Le déficit commercial avec la Chine a chuté de 15,7% en novembre à 26,4 milliards de dollars, et avec l’Union européenne, de -20,2% à 13,1 milliards de dollars.
L’inflation en zone euro s’est accélérée en décembre grâce au rebond des prix de l'énergie, selon Eurostat. L’indice des prix à la consommation montre une hausse de 1,3% sur un an en décembre, après +1,0% en novembre. Cette accélération s’explique principalement par la hausse de 0,2% sur un an des prix de l'énergie, en recul de 3,2% le mois précédent. Les prix des produits alimentaires non transformés ont augmenté de 2,1% en rythme annuel après une hausse de 1,8% en novembre.
Les ventes au détail dans la zone euro ont augmenté plus que prévu en novembre après deux mois de baisse, montrent les statistiques publiées ce matin par Eurostat. Leur hausse a atteint 1,0% par rapport au mois précédent et 2,2% par rapport à novembre 2018. Les économistes anticipaient en moyenne une hausse de 0,6% sur un mois et de 1,3% sur un an.
Le déficit de la balance commerciale américaine a atteint en novembre un plus bas de près de trois ans, en baisse de 8,2% à 43,1 milliards de dollars, selon le département du commerce. Sur les onze premiers mois de l’année, le déficit commercial diminue de 0,7% et pourrait afficher sur l’ensemble de 2019 sa première baisse depuis 2013. Les importations de biens ont reculé de 1,4% à 201,1 milliards de dollars, ce qui est leur troisième mois consécutif de repli, faisant craindre un ralentissement de la demande intérieure. Les exportations ont augmenté de 0,7% à 137,2 milliards de dollars. Les échanges de pétrole ont dégagé un excédent de 0,8 milliard de dollars, le plus important jamais enregistré. Le déficit commercial avec la Chine a chuté de 15,7% en novembre à 26,4 milliards de dollars. Le déficit commercial américain avec l’Union européenne a baissé de 20,2% à 13,1 milliards de dollars.
L’indice PMI des services calculé par Markit/Jibun Bank a reculé à 49,4 en décembre au Japon, après 50,3 en novembre, en données corrigées des variations saisonnières, son plus bas niveau depuis septembre 2016. Il chute sous le seuil de 50 qui sépare contraction et expansion de l’activité pour la seconde fois en trois mois. Lundi, Markit/Jibun Bank avait sorti d’indice PMI manufacturier, également en chute à 48,4 en décembre et en contraction pour le huitième mois de suite. L’indice PMI composite, qui intègre secteur manufacturier et services, s’est donc contracté en décembre pour un troisième mois consécutif, à 48,6, après 49,8 en novembre.
L’inflation en zone euro s’est accélérée en décembre grâce au rebond des prix de l'énergie, montre la première estimation publiée ce mardi par Eurostat. L’indice des prix à la consommation montre une hausse de 1,3% sur un an en décembre, un chiffre en ligne avec le consensus des économistes, après +1,0% en novembre. Cette accélération s’explique principalement par la hausse de 0,2% sur un an des prix de l'énergie, alors qu’ils affichaient un recul de 3,2% le mois précédent.
L’activité du secteur privé est demeurée proche de la stagnation en décembre en zone euro, le léger rebond dans les services ne suffisant pas à compenser le déclin prolongé du secteur manufacturier. L’indice PMI composite d’IHS Markit ressort à 50,9 pour décembre, après 50,6 en novembre. En Allemagne, l’indice PMI services a progressé à 52,9 en décembre, après 51,7 en novembre. En France, il a augmenté à 52,4 en décembre, après 52,2 en novembre, le secteur résistant au mouvement de grève contre la réforme des retraites, et en Espagne à 54,9 après 53,2 en novembre. Le secteur privé britannique des services est sorti de la contraction en décembre, avec un indice PMI à 50,0 en décembre.
La confiance des investisseurs de la zone euro s’est améliorée pour le troisième mois consécutif, à son meilleur niveau depuis novembre 2018. L’indice Sentix remonte à 7,6 en janvier après 0,7 en décembre. Les anticipations des 932 investisseurs interrogés sont, elles, au plus haut depuis près de deux ans. « Les récents événements concernant l’Iran n’ont pas déstabilisé les investisseurs », constate Sentix. L’amélioration de la tendance dans d’autres régions du monde, notamment en Asie, semble l’emporter, tout comme le début d’apaisement dans le conflit commercial entre les Etats-Unis et la Chine.
L’activité du secteur manufacturier au Japon s’est encore contractée selon l’indice PMI manufacturier calculé par Markit/Jibun Bank après enquête auprès des directeurs d’achats, qui a chuté à 48,4 en décembre, comme en octobre. Il reste pour le huitième mois d’affilée sous le seuil de 50, qui sépare contraction et expansion de l’activité.