Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont légèrement augmenté aux Etats-Unis, a annoncé aujourd’hui le département du Travail, ce qui laisse penser que la bonne résistance du marché de l’emploi pourrait soutenir l'économie. Les inscriptions lors de la semaine au 15 février se sont élevées à 210.000, un chiffre en ligne avec les attentes, contre 206.000 (révisé en hausse de 1.000 emplois) la semaine précédente. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 209.000 contre 212.250 la semaine précédente.
Les autorités de la province chinoise du Hubei, d’où est partie l’épidémie de coronavirus, ont ordonné jeudi aux entreprises de ne pas reprendre leurs activités avant le 11 mars. Seules les entreprises impliquées dans la prévention et le contrôle des épidémies ou les services publics indispensables sont autorisés à exercer. La reprise du travail était jusqu’ici fixée au 21 février.
L’inflation au Royaume-Uni a dépassé les attentes en janvier pour atteindre son plus haut niveau depuis six mois, tirée par l’augmentation des prix des carburants et une baisse moins marquée qu’attendu de ceux du transport aérien, montrent les statistiques publiées mercredi. Les prix à la consommation ont progressé de 1,8% en rythme annuel après +1,3% en décembre, se rapprochant de l’objectif de 2% que s’est fixé la Banque d’Angleterre. Les économistes prévoyaient une hausse de 1,6% sur un an.
Le Fonds monétaire international (FMI) tire à son tour la sonnette d’alarme sur les conséquences économiques que pourrait avoir l'épidémie de coronavirus, dans une note rédigée à l’attention des ministres des Finances et des banquiers centraux du G20, qui se réuniront ce week-end en Arabie saoudite. Elle a déjà affecté la croissance économique en Chine, qui a baissé de nouveau ses taux cette semaine. Sa propagation à d’autres pays risque de compromettre la reprise «très fragile» attendue pour cette année à l'échelle mondiale, a averti mercredi l’institution. Elle maintient néanmoins à 3,3% (après 2,9% en 2019) sa prévision de croissance mondiale 2020, qu’elle a réduite il y a tout juste un mois de 0,1 point de pourcentage par rapport à celle présentée en octobre.
Les mises en chantier de logements aux Etats-Unis ont reculé moins que prévu en janvier, a annoncé le département du Commerce. Les mises en chantier ont baissé de 3,6% à 1,567 million en données annualisées en janvier après trois mois consécutifs de hausse. Les économistes attendaient 1,425 million. Le chiffre de décembre a été révisé en légère hausse à 1,626 million, son plus haut niveau depuis décembre 2006. Le nombre de permis de construire délivrés, un indicateur avancé des mises en chantier, a progressé de 9,2% à 1,551 million en rythme annualisé.
Les prix à la production aux Etats-Unis ont augmenté de 0,5% en janvier par rapport au mois précédent en données corrigées, contre une hausse de 0,2% en décembre en données révisées, a indiqué ce mercredi le département américain du Travail. Les prix à la production hors alimentation et énergie ont crû de 0,3% sur ces mêmes bases. Les économistes tablaient sur une hausse de 0,1% de l’indice global et sur une progression de 0,2% de l’indice hors alimentation et énergie. Par rapport à janvier 2019, les prix à la production ont augmenté de 2,1%.
Les prix à la production aux Etats-Unis ont augmenté de 0,5% en janvier par rapport au mois précédent en données corrigées des variations saisonnières, contre une hausse de 0,2% en décembre en données révisées, a indiqué ce mercredi le département américain du Travail. Les prix à la production hors alimentation et énergie ont crû de 0,3% sur ces mêmes bases. Les économistes tablaient en moyenne sur une hausse de 0,1% de l’indice global et sur une progression de 0,2% de l’indice hors alimentation et énergie. Par rapport à janvier 2019, les prix à la production ont augmenté de 2,1%.
L’inflation au Royaume-Uni a dépassé les attentes en janvier pour atteindre son plus haut niveau depuis six mois, tirée par l’augmentation des prix des carburants et une baisse moins marquée qu’attendu de ceux du transport aérien, montrent les statistiques publiées ce mercredi. Les prix à la consommation ont progressé de 1,8% en rythme annuel après +1,3% en décembre, se rapprochant de l’objectif de 2% que s’est fixé la Banque d’Angleterre. Les économistes prévoyaient en moyenne une hausse de 1,6% sur un an.
Les mises en chantier de logements aux Etats-Unis ont reculé moins que prévu en janvier et le nombre de permis de construire a atteint son plus haut niveau depuis près de 13 ans, a annoncé aujourd’hui le département du Commerce. Les mises en chantier ont baissé de 3,6% à 1,567 million en données annualisées en janvier après trois mois consécutifs de hausse. Les économistes attendaient en moyenne 1,425 million. Le chiffre de décembre a été révisé en légère hausse à 1,626 million, son plus haut niveau depuis décembre 2006, contre 1,608 million annoncé initialement.
Le Fonds monétaire international (FMI) tire à son tour la sonnette d’alarme sur les conséquences économiques que pourrait avoir l'épidémie de coronavirus. Elle a déjà affecté la croissance économique en Chine, qui a baissé de nouveau ses taux cette semaine, et dont la croissance devrait ralentir autour de 5%. La Chine a dépassé ce jour les 2.000 décès.
La Chine est en mesure d’atteindre son objectif de croissance économique pour 2020 en dépit de l’impact de la crise du coronavirus, a affirmé le président chinois Xi Jinping, cité par la télévision publique chinoise. Les économistes anticipent pourtant une chute de la croissance au premier trimestre alors que l’épidémie a déjà un impact en Chine. Malgré la reprise progressive de l’activité (60% serait déjà opérationnelle selon les analystes d’UBS), la croissance devrait se contracter les trois premiers mois de l’année et donc sur l’ensemble de 2020. Les économistes d’UBS anticipent une croissance de 3,8% au premier trimestre (en rythme annuel ; -1,5% en rythme trimestriel) et de 5,4% en 2020. A condition que l’épidémie soit sous contrôle d’ici fin mars.
Le nombre de personnes occupant un emploi au Royaume-Uni a de nouveau fortement augmenté les trois derniers mois de 2019, montrent les statistiques officielles de l’ONS, l’institut national de la statistique, avec une hausse de 180.000 à 32,934 millions. Le nombre de demandeurs d’emploi a en parallèle diminué de 16.000 personnes à 1,290 million. Le taux de chômage, à 3,8%, demeure à son plus bas niveau depuis 1975. La croissance des salaires, primes incluses, a toutefois légèrement ralenti à 2,9% sur un an, sa plus faible progression en rythme annuel depuis les trois mois à fin août 2018. Hors primes, la hausse ralentit également, à 3,2% sur un an, son plus bas niveau depuis le troisième trimestre 2018.
Le sentiment des investisseurs en Allemagne s’est dégradé plus que prévu depuis le début du mois de février en raison du coronavirus Covid-19. L’indice Zew du sentiment sur les perspectives économiques dégringole à 8,7 points (contre 26,7 en janvier) un niveau inférieur au consensus Dow Jones Newswires. Sans surprise, ce sont les secteurs dépendants des exportations qui ont subi la plus forte dégradation. Un indice distinct mesurant l'évolution du jugement des investisseurs sur la situation économique actuelle a reculé à -15,7 après -9,5 en janvier et -10,3 attendus par les économistes sondés par Reuters.
La Chine est en mesure d’atteindre son objectif de croissance économique pour 2020 en dépit de l’impact de la crise du coronavirus, a affirmé le président chinois Xi Jinping dont les propos ont été rapportés par la télévision publique chinoise. Objectif que le gouvernement est censé annoncer début mars. Xi Jinping a ajouté que l'économie du pays restait solide.
Le nombre de personnes occupant un emploi au Royaume-Uni a de nouveau fortement augmenté sur les trois derniers mois de 2019, montrent les statistiques officielles publiées aujourd’hui. L’ONS, l’institut national de la statistique, a fait état d’une hausse de 180.000 à 32,934 millions, un chiffre situé dans le haut de la fourchette des estimations des économistes. Le nombre de demandeurs d’emploi a en parallèle diminué de 16.000 personnes à 1,290 million. Le taux de chômage, à 3,8%, demeure à son plus bas niveau depuis 1975.
Le sentiment des investisseurs en Allemagne s’est dégradé plus que prévu depuis le début du mois de février en raison du coronavirus Covid-19. L’indice Zew du sentiment sur les perspectives économiques chute de 26,7 en janvier à 8,7, un niveau inférieur aux attentes des économistes interrogés par Dow Jones Newswires (21). « Les effets négatifs redoutés de l'épidémie de coronavirus en Chine sur le commerce mondial ont entraîné une baisse considérable de l’indicateur ZEW des perspectives économiques pour l’Allemagne », a déclaré Achim Wambach, le président de l’institut de conjoncture. Sans surprise, ce sont les secteurs dépendants des exportations qui ont subi la plus forte dégradation. Un indice distinct mesurant l'évolution du jugement des investisseurs sur la situation économique actuelle a reculé à -15,7 après -9,5 en janvier et -10,3 attendu les économistes sondés par Reuters.
La Bundesbank a appelé lundi le gouvernement allemand à utiliser ses importants excédents budgétaires pour soutenir la croissance économique, à un moment où l'épidémie de coronavirus en Chine engendre de nouvelles menaces pour le secteur manufacturier du pays. «Il existe manifestement une marge de manœuvre dans le cadre des règles régissant les finances publiques», a souligné la banque centrale dans son rapport mensuel. Ces propos marquent une inflexion de la position de l’institution, qui jusqu'à récemment rejetait les demandes de responsables internationaux en ce sens.