Plus de 10 millions de salariés du secteur privé relevant de 820.000 entreprises françaises bénéficient désormais du dispositif de chômage partiel mis en place dans le cadre des mesures de soutien à l'économie française dans le contexte de crise liée à l'épidémie de nouveau coronavirus, a annoncé mercredi la ministre du Travail, Muriel Pénicaud sur BFM Business. «C’est plus d’un salarié sur deux, et ce sont six entreprises sur dix (...) qui ont recours à ce dispositif. C’est considérable», a souligné la ministre.
Le Sénat a voté mercredi le déplafonnement de la défiscalisation des heures supplémentaires, ainsi que l’exonération de cotisations sociales de ces mêmes heures effectuées pendant l'état d’urgence sanitaire, contre l’avis du gouvernement, dans le cadre de l’examen du deuxième projet de budget rectifié pour 2020. En outre, le Sénat a adopté des amendements visant à priver toute entreprise enregistrée dans un paradis fiscal du bénéfice des mesures d’aides mises en place par l'État face à l'épidémie de coronavirus, comme au Danemark notamment.
Alors que les Etats-Unis déploient des filets sociaux inédits pour résister à la pandémie de Covid-19, une question s’impose : qu’en restera-t-il à l’issue des mesures d’urgence ?
Plus de 10 millions de salariés du secteur privé relevant de 820.000 entreprises françaises bénéficient désormais du dispositif de chômage partiel mis en place dans le cadre des mesures de soutien à l'économie française dans le contexte de crise liée à l'épidémie de nouveau coronavirus, a annoncé mercredi la ministre du Travail, Muriel Pénicaud sur BFM Business.
Le gouvernement italien prévoit de mettre au moins 50 milliards d’euros sur la table pour accompagner la reprise de l’activité économique, a annoncé mardi le président du Conseil Giuseppe Conte. Ce train de mesures sera dévoilé avant la fin du mois, a précisé le chef du gouvernement devant le Sénat. Sa coalition a approuvé le mois dernier un plan de soutien d’un montant initial de 25 milliards d’euros afin d’amortir le choc de la mise à l’arrêt de l'économie de la péninsule. Deux sources ont déclaré lundi à Reuters que le Trésor italien anticipait une contraction du PIB de l’ordre de 8% cette année avant un rebond de 4% à 5% l’année prochaine.
L’indice ZEW du sentiment des investisseurs affiche un rebond de plus de 70 points à +28,2 après -49,5 en mars, selon l’enquête mensuelle de l’institut d'études économiques éponyme. Le consensus Reuters prévoyait une hausse bien plus limitée à -42,3. Les craintes liées aux répercussions économiques et financières de la pandémie de coronavirus semblent donc s’apaiser. Mais un indice distinct mesurant le jugement des investisseurs sur la situation économique actuelle a quant à lui reculé à -91,5 après -43,1 en mars.
Les ventes de logements anciens aux Etats-Unis ont plongé de 8,5% en mars par rapport au mois précédent, en raison de la pandémie, a annoncé mardi l’Association nationale des promoteurs immobiliers (NAR). Elles s’inscrivent à 5,27 millions d’unités en termes annualisés et en données corrigées, a indiqué la NAR. Le consensus Wall Street Journal prévoyait une baisse de 7,5% le mois dernier. Les ventes s’inscrivent cependant en hausse de 0,8% en mars par rapport au même mois de 2019. La NAR s’est dite inquiète sur l'évolution du marché immobilier lors des prochains mois, alors que 40% des achats de logements ont traditionnellement lieu entre mars et juin.
Le gouvernement italien prévoit de mettre au moins 50 milliards d’euros sur la table pour accompagner la reprise de l’activité économique, a annoncé mardi le président du Conseil Giuseppe Conte. Ce train de mesures sera dévoilé avant la fin du mois, a précisé le chef du gouvernement devant le Sénat.
Le retour de la confiance chez les investisseurs allemands est tout aussi spectaculaire que le rebond des actifs risqués ces dernières semaines même si l’incertitude économique reste grande. L’indice ZEW du sentiment des investisseurs affiche un rebond de plus de 70 points à +28,2 après -49,5 en mars, selon l’enquête mensuelle de l’institut d'études économiques éponyme. Les économistes et analystes interrogés par Reuters prévoyaient une hausse bien plus limitée à -42,3.
Le gouvernement danois a décidé d’exclure les entreprises enregistrées dans des paradis fiscaux figurant sur la liste établie par l’Union européenne des dispositifs d’aide mis en oeuvre face à la crise provoquée par la pandémie. Cette décision est une première dans le monde. Copenhague a adopté ce week-end un nouveau paquet financier de 100 milliards de couronnes (environ 13 milliards d’euros) pour soutenir les entreprises confrontées à une chute de leurs revenus liés aux mesures de confinement. Au total, les autorités danoises ont débloqué jusqu'à présent 400 milliards de couronnes. En outre, les sociétés qui demanderont à bénéficier d’une extension de l’aide publique devront s’engager à ne verser aucun dividende et à n’entreprendre aucun programme de rachats d’actions sur les exercices 2020 et 2021.
Le gouvernement français a annoncé lundi le lancement d’un plan pour renforcer l’accès numérique à l'éducation dans les quartiers prioritaires, où le confinement accroît les inégalités.
Le gouvernement danois a décidé d’exclure les entreprises enregistrées dans des paradis fiscaux des dispositifs d’aide mis en oeuvre face à la crise provoquée par la pandémie de coronavirus. Cette décision est une première dans le monde.
Des manifestations demandant la levée des mesures de confinement face au coronavirus ont agité samedi plusieurs villes américaines. Samedi, lors de son point presse quotidien, le président Donald Trump a semblé justifier les manifestations. Lui qui ne cache pas sa hâte de «rouvrir» l'économie du pays même s’il a indiqué qu’il laisserait les gouverneurs de chaque État décider quand lever les restrictions, avait appelé vendredi à «libérer» du confinement trois Etats gérés par des gouverneurs démocrates - Michigan, Minnesota et Virginie. Le confinement a fait exploser le nombre de chômeurs à travers le pays, et privé beaucoup de gens de tout revenu. Les États-Unis est le pays le plus frappé par le coronavirus avec plus de 715.000 cas et 37.000 morts.
L'économie chinoise a chuté de 6,8% au premier trimestre par rapport à la même période l’an dernier. Il s’agit de la première fois que le pays enregistre une telle baisse depuis que Pékin a commencé à publier son produit intérieur brut (PIB) trimestriel en 1992. Ce recul du PIB de 6,8% en glissement annuel fait suite à une croissance de 6% au cours des trois derniers mois de 2019. Par rapport au quatrième trimestre 2019, le PIB de la Chine a fléchi de 9,8%. Mais la production industrielle a baissé moins que prévu en mars (-1,1% sur un an contre -13,5% en janvier-février).
La semaine prochaine verra la montée en puissance de la saison des résultats trimestriels de part et d’autre de l’Atlantique, de nombreuses publications d’entreprises figurant au programme. Les investisseurs continueront également à mesurer l’impact de la pandémie de Covid-19 sur l'économie grâce à plusieurs indicateurs économiques clés.
L'économie chinoise a chuté de 6,8% au premier trimestre par rapport à la même période l’an dernier, alors que l'épidémie de coronavirus a paralysé la production et la consommation. Il s’agit de la première fois que le pays enregistre une telle baisse depuis que Pékin a commencé à publier son produit intérieur brut (PIB) trimestriel en 1992.
L'économie chinoise a chuté de 6,8% au premier trimestre par rapport à la même période l’an dernier. C’est la première fois que le pays enregistre une telle baisse depuis que Pékin a commencé à publier son produit intérieur brut trimestriel en 1992.
Le nombre de mises en chantier de logements aux Etats-Unis a diminué de 22,3% en mars dernier par rapport à février, à 1.216.000 unités en rythme annualisé et en données corrigées des variations saisonnières, a annoncé hier le département américain du Commerce. Le nombre de permis de construire délivrés a reculé de 6,8%, à 1.353.000 en termes annualisés, contre 1.452.000 en février, en données révisées. Le nombre de mises en chantier pour mars est inférieur aux attentes des économistes, qui s’attendaient à un recul de 15,6%. Le nombre de permis délivrés est en revanche supérieur au consensus qui tablait sur une baisse de 14,6%.