L’axiome est bien connu dans l’Hexagone : les hausses d’impôts sont toujours réclamées pour les autres. Même si le FMI n’est plus dirigé par une Française, ses fonctionnaires ont pourtant su faire leur ce principe. Le Fonds a ainsi récemment proposé d’instaurer une « taxe de solidarité », qui s’appliquerait aux plus riches et aux gagnants de l’épidémie. Cela dans un louable but de cohésion sociale, afin de montrer que « tous contribuent aux efforts ». Tous ? Peut être pas les fonctionnaires du FMI, dont le poste au sein d’une organisation internationale s’accompagne de généreux bénéfices et d’un statut fiscal qui ne l’est pas moins...
Les exportations de la Chine ont progressé à un rythme robuste en mars, quoiqu’inférieur aux attentes, et les importations ont bondi plus que prévu à un pic de quatre ans. En rythme annuel, les exportations chinoises ont progressé le mois dernier de 30,6%, un rythme toutefois moins important que le record de 154,9% enregistré en février. Les importations ont elles progressé de 38,1% sur un an, soit un plus haut depuis février 2017 et un rythme supérieur aux attentes des analystes (+23,3%) après une hausse de 17,3% en février. Cela s’explique notamment par les prix élevés des produits de base. L’excédent commercial de la Chine en mars ressort à 13,8 milliards de dollars.
Avec l’emploi américain, l’inflation est l’indicateur le plus surveillé par les investisseurs. Celle pour le mois de mars aux Etats-Unis était particulièrement attendue, un an après le début de la crise. Elle n’a pas provoqué de réaction d’ampleur sur les marché. Les taux longs américains étaient en baisse après son annonce.
Commencerait-on à voir les premières conséquences des dernières mesures de confinement? Le climat des affaires en Allemagne s’est dégradé en avril, ce qui n'était pas arrivé depuis novembre dernier.
Les exportations de la Chine ont progressé à un rythme robuste en mars, quoiqu’inférieur aux attentes, et les importations ont bondi plus que prévu à un pic de quatre ans.
L’économie grecque devrait croître de 4,8% en 2022, après une reprise estimée à 4,2% en 2021, a déclaré le gouverneur de la Banque de Grèce, Yannis Stournaras. La Grèce a vu son économie se contracter de 8,2% l’année dernière, moins que prévu, malgré des revenus touristiques en net repli et des restrictions sévères imposées par le gouvernement pour contenir la propagation de la pandémie. L’économie grecque devrait croître à un taux annuel d’environ 3,5% au cours de la décennie en cours grâce aurogramme de relance paneuropéen et à d’autres fonds européens. Le pays devrait obtenir 32 milliards d’euros de subventions et de prêts à taux bas du fonds de relance de Next Generation EU.
Les ventes au détail dans la zone euro ont dépassé les attentes en février, selon les données Eurostat. En février, les ventes au détail des 19 pays de la zone euro avaient progressé de 3,0% en glissement mensuel et reculé de 2,9% d’une année sur l’autre, là où les analystes tablaient respectivement sur une hausse de 1,5% et une baisse de 5,4%.
Les ventes au détail dans la zone euro ont dépassé les attentes en février alors que certains pays avaient assoupli leurs restrictions mises en place contre le Covid-19 avant de durcir à nouveau leur dispositif en mars, montrent les données publiées lundi par Eurostat. L’agence statistique européenne a indiqué qu’au mois de février les ventes au détail des 19 pays de la zone euro avaient progressé de 3,0% en glissement mensuel et reculé de 2,9% d’une année sur l’autre, là où les analystes tablaient respectivement sur une hausse de 1,5% et une baisse de 5,4%.
L’économie grecque devrait croître de 4,8% en 2022, après une reprise estimée à 4,2% en 2021, a déclaré le gouverneur de la Banque de Grèce, Yannis Stournaras, lors d’un entretien diffusé dimanche. La Grèce a vu son économie se contracter de 8,2% l’année dernière, moins que prévu, malgré des revenus touristiques en net repli et des restrictions sévères imposées par le gouvernement pour contenir la propagation de la pandémie de coronavirus.
Le gouvernement espagnol a revu vendredi à la baisse sa prévision de croissance du produit intérieur brut (PIB) pour 2021, à 6,5% sur un an contre 7,2% prévus auparavant, en raison d’un premier trimestre pénalisé par une troisième vague de la pandémie de Covid-19. Pour 2022, Madrid table sur une croissance de 7%. Concernant le chômage, le gouvernement espagnol a en revanche amélioré sa prévision, estimant qu’il toucherait 15,2% de la population active fin 2021, contre 16,9% prévus précédemment. L’Espagne a terminé l’année 2020 avec plus d’un demi-million de chômeurs supplémentaires, en particulier dans le tourisme et l’hôtellerie.
Le Livre beige de la Réserve fédérale (Fed), la croissance chinoise et les résultats des banques américaines figureront en bonne place dans l’agenda des marchés cette semaine. Les investisseurs analyseront mercredi le Livre beige de la Fed, qui donnera une vue détaillée de la conjoncture américaine. Le produit intérieur brut de la Chine du premier trimestre, qui sera dévoilé vendredi, constituera la plus importante statistique de la semaine. La deuxième économie mondiale devrait afficher un fort rebond sur un an. Parmi les autres indicateurs à l’agenda figurent la production industrielle américaine pour mars, jeudi, ainsi que l’indicateur avancé ZEW, en Allemagne, mardi.
Les prix à la production en Chine ont augmenté en mars au rythme le plus élevé depuis juillet 2018. L’indice des prix à la production (PPI) a progressé de 4,4% sur un an, après +1,7% en février, selon les données publiées vendredi par le Bureau national des statistiques. Cette hausse est principalement tirée par l’appréciation des prix des matières premières (80% de la hausse des prix d’un mois sur l’autre de +1,6%). Par ailleurs, l’indice des prix à la consommation (CPI) affiche une nette reprise à +0,4% sur un an, après -0,2% en février.
L'économie italienne devrait croître de 4,1% cette année et de 4,2% en 2022, selon des projections annoncées samedi par l’organisation représentative des entreprises italiennes Confindustria. Alors que l’Italie a vu son économie se replier de 8,9% en 2020 - un niveau record pour l’après-guerre - sous l’effet de la pandémie de Covid-19, Confindustria a souligné que de telles estimations de croissance «historiquement élevées» ne compenseraient pas les pertes de l’année dernière.
Le gouvernement espagnol a revu vendredi à la baisse sa prévision de croissance du produit intérieur brut (PIB) pour 2021, à 6,5% sur un an contre 7,2% prévus auparavant, en raison d’un premier trimestre pénalisé par une troisième vague de la pandémie de Covid-19. «La reprise (...) a ralenti au premier trimestre davantage que ce que nous avions prévu en octobre», a résumé la ministre de l’Economie Nadia Calviño lors d’une conférence de presse. Pour 2022, Madrid table sur une croissance de 7%.
Le Livre beige de la Réserve fédérale (Fed), la croissance chinoise et les résultats des banques américaines figureront en bonne place dans l’agenda des marchés la semaine prochaine.
Les prix à la production en Chine ont augmenté en mars au rythme le plus élevé depuis juillet 2018 tandis que les prix à la consommation sont repartis à la hausse après le creux de début d’année.
Dans une déclaration adressée au comité de pilotage du Fonds monétaire international (FMI), la secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen, a invité jeudi les grandes économies du monde à ne pas relâcher l’effort budgétaire pour soutenir l'économie mondiale. Les perspectives mondiales se sont améliorées grâce à des aides déployées simultanément dans le monde, mais «le travail n’est pas terminé», a souligné Janet Yellen, mettant en avant «la grande incertitude» et les risques d’effets de long terme de la pandémie de Covid-19 sur de nombreux pays. «J’exhorte les grandes économies à ne pas retirer leur soutien trop tôt mais de s’efforcer de fournir de nouvelles aides budgétaires importantes pour garantir une reprise robuste», dit-elle. «La priorité numéro 1 est de mettre fin à la crise sanitaire, condition préalable à une reprise économique robuste», a fait valoir Janet Yellen, en soulignant les «progrès substantiels» dans la vaccination de la population américaine.
Les commandes à l’industrie allemande ont augmenté en février pour le deuxième mois consécutif sous l’effet d’une forte demande intérieure. Elles ont progressé de 1,2% en données ajustées des variations saisonnières, en ligne avec le consensus de Reuters, après une hausse de 0,8% (chiffre révisé) en janvier, selon les données publiées jeudi par Destatis, l’Office fédéral de la statistique. Les commandes domestiques ont progressé de 4% en février alors que celles provenant de l'étranger ont baissé de 0,5%. La hausse atteint 2,7% pour les commandes de la zone euro. Ces statistiques viennent confirmer la résilience du secteur, reflétée dans les indicateurs avancés jusqu’en mars.