Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’univers des cryptomonnaies (bitcoin, ethereum...), crypto-actifs, NFT (non fungible token) et la manière dont les cryptos affectent le secteur financier traditionnel.
Association d’anciens combattants, la Fédération Nationale André Maginot (FNAM) n’a pas besoin de subventions. Elle tire ses ressources des dividendes de la Française des Jeux (FDJ) dont elle est un actionnaire historique. Grâce à cela, elle s'est constituée un portefeuille d’actifs de 20 millions d’euros. La privatisation prochaine de la FDJ, qui sera discutée à l'Assemblée nationale dans les prochains jours, est source d'inquiétudes mais pourrait être aussi source d'opportunités.
Le gestionnaire d’actifs Invesco vient d’enrichir sa gamme d’ETF multifactoriel avec le lancement d’un nouveau fonds axé sur les marchés émergents, rapporte le site Investment Week. Baptisé Invesco Goldman Sachs Equity Factor Index Emerging Markets Ucits, ce nouveau produit offre aux investisseurs une exposition à cinq facteurs : « value », momentum, qualité, taille (« size ») et « low beta ». Coté au London Stock Exchange, cet ETF suit l’indice Goldman Sachs Equity Factor Emerging Markets Net Total Return, qui offre une exposition à plus de 300 valeurs réparties sur 30 marchés émergents à travers le monde. Les frais de ce nouveau produit sont fixés à 0,65%.
La société de gestion britannique TwentyFour Asset Management (TwentyFour AM) a recruté Davis Norris en tant que nouveau responsable de ses activités de crédit aux Etats-Unis, rapporte le site Investmement Week. L’intéressé, qui arrive en provenance du Crédit Agricole, rejoindra le bureau de New York de TwentyFour AM d’ici à la fin du mois de septembre. Il dirigera également la division américaine à l’issue du départ de Robert Arnold, un spécialiste du high yield américain. TwentyFour AM a ouvert son bureau de New York en 2016, sous la direction des gestionnaires de portefeuilles Pierre Beniguel et Robert Arnold.Précédemment, Davis Norris était directeur du trading crédit high yield au sein du Crédit Agricole où il travaillait depuis trois ans. Au cours de sa carrière, il a également passé cinq ans en tant que « executive director » dans l’équipe en charge du trading crédit high yield chez BNP Paribas. Au sein de TwentyFour AM, David Norris sera également membre de l’équipe obligataire multi-sectoriel.En parallèle, le directeur général Mark Holman a indiqué que la société envisageait de recruter jusqu’à six personnes supplémentaires aux Etats-Unis l’année prochaine, dans tous les secteurs.
Dans les hedge funds, les femmes peuvent tout faire – mais elles gèrent rarement de l’argent. Sur les 50 principaux hedge funds aux Etats-Unis en termes d’encours, seulement deux ont des femmes au sein de la direction des investissements, selon une analyse du Wall Street Journal des données d’Absolute Return. Il s’agit de Nancy Zimmerman, chez Bracebridge Capital, et Qi Wang, qui gère le hedge fund phare de Pacific Investment Management Co.Dans ce même groupe de 50 hedge funds, la moitié des départements dédiés aux relations investisseurs ou au marketing ont des femmes à leur direction ou co-direction. En dessous du top manager, les équipe d’investissement sont largement masculines dans les hedge funds. Comme ailleurs, les femmes sont parquées dans des coins spécifiques et moins bien payés du monde financier.
Credit Suisse a choisi Francfort comme centre stratégique post-Brexit pour ses activités de banque d’investissement et de marché, rapporte le Financial Times. Le groupe d’origine suisse qui a 5.500 salariés à Londres aurait déjà transféré près de 200 millions de dollars d’actifs pour soutenir la croissance de ce nouveau «hub». Il devrait également transférer 50 postes de Londres vers Francfort. La banque est également en train de transférer 50 traders à Madrid et a obtenu une nouvelle licence de brokerage à Paris. Au total, quelque 250 postes devraient être transféré depuis Londres vers d’autres bureaux où Credit Suisse est présente en Europe, indique le journal britannique.
Jean-Pierre Landau, sous-gouverneur honoraire de la Banque de France, a remis hier en fin son rapport sur les crypto-actifs à Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances.
Paypite annonce la publication d’un livre blanc à télécharger gratuitement, «qui répond à toutes les questions sur l’univers des crypto-monnaies et plus particulièrement sur cette crypto-monnaie » se définissantcomme la première à caractère francophone.
Le Conseil d’État a jugé que les produits tirés de cession de bitcoins relèvent en principe du régime des plus-values mobilières au taux forfaitaire de 19 % , Tout en admettant que certaines opérations peuvent être imposées dans la catégorie des BIC ou des BNC en fonction de leurs particularités
La « flat tax » au taux de 30%, innovation de l’année 2018, ne s’applique pas aux plus-values de cession des bitcoins. De telles plus-values peuvent être imposées jusqu’à 77,45%, rendant l’imposition « confiscatoire ».
Les plateformes de commercialisation de produits dérivés sur crypto-monnaies ont l’obligation d’obtenir l’agrément de l’Autorité des marchés financiers (AMF), Les distributeurs doivent se conformer à des règles de bonne conduite et ne sont pas autorisés à faire la promotion de leurs produits par voie électronique
Ils sont 97 % à connaître les cryptomonnaies selon le sondage de Paypite publié le 19 février, Pourtant une personne sur quatre ne sait toujours pas à quoi elles servent
Cette nuit, le Bitcoin a touché les 12.500 dollars, perdant plus de 27 % par rapport au cours de 17.250 dollars observé encore hier, avant de remonter au-dessus de 14.000 dollars ce matin. Ces variations extrêmes démontrent encore une fois la volatilité – et donc le risque - de cette monnaie virtuelle.
Le cours du bitcoin est repassé cette nuit sous les 16.000 dollars alors qu'il avait dépassé 19.500 dollars ces derniers jours, avant de se reprendre dans la matinée.
Dominique Stucki, avocat associé, et Sylvain Clavé, avocat counsel, chez Avistem Avocats, au pôle Droit des sociétés - M&A – droit financier, expliquent dans le détail le fonctionnement des Initial Coin Offerings (ICO) et soulignent les risques qu'elles peuvent comporter
Dans un communiqué commun daté du 4 décembre, l'AMF et l'ACPR mettent en garde les épargnants sur les risques que présentent les achats en bitcoins. La forte volatilité de ces « crypto-actifs » qui s'échangent en ligne en dehors de tout marché réglementé inquiète les autorités.
TOBAM étoffe sa gamme en lançant le fonds TOBAM Bitcoin Fund. Le fonds non réglementé et enregistré en France est présenté comme le premier du genre en Europe. Il est dédié aux investisseurs qualifiés et institutionnels souhaitant investir sur la crypto-devise. Du fait du développement de la technologie blockchain, de plus en plus de crypto monnaies ont été créées ces dernières années parmi lesquelles le Bitcoin affiche la plus grande capitalisation boursière, le track record le plus long, et les meilleurs niveaux de liquidité au sein des crypto-monnaies. Cependant, Tobam précise qu’en dépit de l’intérêt croissant pour la monnaie digitale, les solutions actuelles proposées aux investisseurs pour accéder au Bitcoin posent encore de nombreuses difficultés. Dans ce contexte, le fonds permet aux investisseurs qualifiés d’augmenter leur exposition à la crypto-monnaie dans un véhicule d’investissement plus efficace et plus sûr. Il intègre notamment la gestion des « forks » potentielles et permet également une gestion plus rigoureuse du risque de perte et de vol.
L’autorité des marchés financiers (AMF) vient de publier sur son site un guide pratique sur le Bitcoin intitulé « Investir dans le Bitcoin : prudence ! ». L’organisme explique le fonctionnement de la monnaie virtuelle et rappelle aux investisseurs potentiels que « le Bitcoin repose sur un marché non régulé, cette monnaie virtuelle n’a pas de cours officiel. Il s’agit d’un environnement informatique qui a ses propres règles, qui peut s’avérer non adapté aux personnes qui ne sont pas suffisamment technophiles et averties ». L’AMF considère donc à raison que « compte tenu de sa forte volatilité, ce marché est risqué ».
Amiral Gestion, société de gestion indépendante, vient d'annoncer la nomination de Francisco Javier Rodríguez D'Achille au poste de responsable du développement pour la clientèle institutionnelle en Espagne.