La société d’investissement Eurazeo et Investissements PSP, un des principaux gestionnaires de fonds pour des caisses de retraite au Canada, ont annoncé lundi créer une coentreprise, à parts égales, afin d’investir dans un premier temps jusqu'à 300 millions d’euros de fonds propres dans le secteur hôtelier européen. La coentreprise a déjà signé sa première acquisition, en rachetant le groupe hôtelier espagnol FST Hotels, qui possède et exploite un portefeuille de 800 chambres réparties dans cinq hôtels, principalement situés à Madrid et à Barcelone.
Pionnier du reconditionnement de smartphones depuis sa création en 2009, Recommerce passe dans le giron de la famille Mulliez. L’entreprise confie la majorité de son capital à United.b, la holding chapeautant les enseignes Boulanger, Electro Dépôt, Hifi et Krëfel. Cette dernière est notamment accompagnée par le fonds Bouygues Télécom Initiatives et la société d’investissement Creadev (appartenant également à la famille nordiste), deux investisseurs historiques. Capza, au capital depuis 2018, sort intégralement du capital. L’activité de Recommerce consiste à racheter des équipements électroniques usagés à des particuliers, à les faire reconditionner et à les revendre avec des garanties. Bien que rentable, avec un Ebitda d’environ 5 millions d’euros, l’entreprise affiche un chiffre d’affaires de 100 millions d’euros.
Pionnier du reconditionnement de smartphones depuis sa création en 2009, Recommerce passe dans le giron de la famille Mulliez. Plus précisément, l’entreprise confie la majorité de son capital à United.b, la holding chapeautant les enseignes Boulanger, Electro Dépôt, Hifi et Krëfel. Cette dernière est notamment accompagnée par le fonds Bouygues Télécom Initiatives et la société d’investissement Creadev (appartenant également à la famille nordiste), deux investisseurs historiques. Capza, au capital depuis 2018, sort intégralement du capital.
La société d’investissement Eurazeo et Investissements PSP, un des principaux gestionnaires de fonds pour des caisses de retraite au Canada, ont annoncé lundi créer une coentreprise afin d’investir dans un premier temps jusqu'à 300 millions d’euros de fonds propres dans le secteur hôtelier européen.
Issu du rapprochement de trois laboratoires de biologies médicales à Amiens, en 2019, Biolam accélère dans le Nord de la France. Le groupe a procédé à l’acquisition des laboratoires Mine, près de Valencienne. Dans la région, il a aussi ouvert deux structures (à Marly et à la Madelaine) et a racheté le laboratoire Tabardel et Viart à Béthune. « En 2020, Biolam a acquis quatre laboratoires et en a créé quatre autres. L’année suivante, trois acquisitions et deux créations de structures ont été réalisées », souligne Gautier Lefebvre, associé chez Gimv – propriétaire du réseau depuis son association originelle avec le dirigeant Daniel Attias. Le réseau a ainsi vu son chiffre d’affaires passer de 3 à 60 millions d’euros. Au programme de 2022 : l’ouverture de six nouveaux établissements et de plusieurs acquisitions en Normandie comme dans les Hauts-de-France, ainsi qu’un investissement dans le renouvellement de son outil industriel.
Incubée par le fonds de capital-risque Kamet Ventures dès 2016, Padoa franchit un nouveau palier. La jeune pousse vient de sécuriser un tour de table de 80 millions d’euros (dette incluse) pour doper sa plateforme collaborative de services destinée à la prévention et à la santé au travail. Pour ce faire, elle s’est ouverte à Five Arrows Growth Capital. A l’issue de cette opération, Padoa reste contrôlée par Kamet Ventures et obtient les moyens d’accélérer. Sa solution promet de couvrir la gestion administrative des services, le suivi individuel des salariés et la gestion de la prévention des risques professionnels. La start-up de 140 salariés compte plus de 200.000 entreprises utilisatrices et 2 millions de salariés suivis. L’an dernier, son chiffre d’affaires était de 15 millions d’euros.
Le parquet national financier (PNF) a requis quatre ans d’emprisonnement dont deux ferme à l’encontre d’Ernest-Antoine Seillière, l’ancien président du conseil de surveillance de Wendel. Pour Jean-Bernard Lafonta, associé co-fondateur de HLD et ancien président du directoire, la requête grimpe même à cinq ans de prison, dont trois ferme. En tout, quatorze ex-cadres de la structure d’investissement de la famille Wendel comparaissent devant la justice pour avoir mis en place un programme d’intéressement baptisé « Solfur », leur ayant supposément permis de récupérer 315 millions d’euros en titres sans imposition. Le montage vieux de 15 ans reposait sur le régime d’apport-cession. L’an dernier, JPMorgan avait accepté de payer une amende de 25 millions d’euros pour solder cette affaire.
Incubée par le fonds de capital-risque Kamet Ventures dès 2016, Padoa franchit un nouveau palier. La jeune pousse vient de sécuriser un tour de table de 80 millions d’euros (comprenant de la dette) pour doper sa plateforme collaborative de services destinée à la prévention et à la santé au travail. Pour ce faire, elle s’est ouverte à Five Arrows Growth Capital. A l’issue de cette opération, Padoa reste contrôlée par Kamet Ventures et obtient les moyens d’accélérer. Sa solution promet de couvrir la gestion administrative des services, le suivi individuel des salariés et la gestion de la prévention des risques professionnels, tout en améliorant les diagnostics et recommandations formulés aux employeurs et aux salariés. Forte de 140 collaborateurs, la start-up comptabilise plus de 200.000 entreprises utilisatrices et 2 millions de salariés suivis. Avec cette opération, elle prévoit de recruter une soixantaine de nouveaux salariés cette année et d’étoffer encore les services de sa plateforme. Cela dans l’espoir de devenir le Doctolib de la santé au travail. L’an dernier, son chiffre d’affaires était de 15 millions d’euros. Une croissance de 60 à 70 % est attendue cette année.
Le réquisitoire est lourd. Hier soir, le parquet national financier (PNF) a requis quatre ans d’emprisonnement dont deux ferme à l’encontre d’Ernest-Antoine Seillière, l’ancien président du conseil de surveillance de Wendel. Pour Jean-Bernard Lafonta, associé co-fondateur de HLD et ancien président du directoire, la requête grimpe même à cinq ans de prison, dont trois ferme. En tout, quatorze ex-cadres de la structure d’investissement de la famille Wendel comparaissent devant la justice pour avoir mis en place un programme d’intéressement baptisé « Solfur », leur ayant supposément permis de récupérer 315 millions d’euros en titres sans imposition. Le montage vieux de 15 ans reposait sur le régime d’apport-cession. L’ensemble des personnes accusées s’étaient vu notifier un redressement fiscal de 240 millions d’euros pour abus de droit – une notion juridique rendant sanctionnable tout usage d’un droit qui dépasse les bornes de l’usage raisonnable de ce droit.
Les gestionnaires d’actifs américains BlackRock et Fidelity ont investi en série D dans MNTN, uneplateforme logicielle de marketing pour la publicité sur la télévision connectée, a annoncé MNTN ce mardi. Les deux sociétés de gestion ont investi un total de110 millions de dollars sur les 119millions levés par MNTN au quatrième trimestre 2021. MNTN permet de mesurer en temps réel l’audience des publicités des marques sur près de 150 réseaux de diffusion comme CNN, Discovery+ ou encore ESPN.
Exclusif – Le groupe agroalimentaire prévoirait d’acheter le solde du capital de sa filiale sur la base d'une valorisation d’un peu moins de 2 milliards d’euros.
Le marché secondaire du private equity a vu ses volumes plus que doubler en 2021 avec 126 milliards de dollars de transactions recensées (60 milliards en 2020), selon une étude de Lazard publiée ce lundi. Le précédent record, daté de 2019, s’établissait à 83 milliards. Le marché a surtout été porté par les opérations initiées par les gérants (GP-led), qui représentent désormais la moitié des volumes (63 milliards), tandis que les deals organisés par les investisseurs (LP-led) ont entamé un rebond à partir de la seconde moitié de l’année.