Annoncée par L’Agefi il y deux mois, la recherche d’investisseur minoritaire d’International SOS a abouti. Le numéro un mondial des services de santé et de sécurité à l’international a concrétisé une augmentation de capital d’environ 306 millions de dollars (250 millions d’euros) auprès de FFP, la société d’investissement cotée de la famille Peugeot, et de Cobepa. A ce titre, la holding belge aurait injecté un peu plus de 40 millions de dollars pour maintenir sa participation à 14 %, a appris le journal L’Echo. Arnaud Vaissié et Pascal Ray-Herme, les deux dirigeants-fondateurs, sécurise une petite partie de leur plus-value tout en conservant la majorité du capital.
Présent sur le marché américain depuis sa création en 2013 par Providence Equity, Providence Strategic Growth (PSG) signe son arrivée sur le Vieux continent. La société de gestion spécialisée dans le growth capital vient de lever 1,25 milliard d’euros auprès de ses investisseurs pour son premier véhicule européen. Une enveloppe conséquente à laquelle ont notamment contribué des fonds souverains, des family offices et des fonds de pension comme celui de la Pennsylvanie.
Annoncée par L’Agefi il y deux mois, la recherche d’investisseur minoritaire d’International SOS a abouti. Le numéro un mondial des services de santé et de sécurité à l’international a concrétisé une augmentation de capital d’environ 306 millions de dollars (250 millions d’euros) auprès de FFP, la société d’investissement cotée de la famille Peugeot, et de Cobepa. A ce titre, la holding belge aurait injecté un peu plus de 40 millions de dollars pour maintenir sa participation à 14 %, a appris le journal L’Echo. Arnaud Vaissié et Pascal Ray-Herme, les deux dirigeants-fondateurs, sécurise une petite partie de leur plus-value tout en conservant la majorité du capital.
Après Bio c'Bon, le groupe vise l'enseigne Grand Frais mais pourrait affronter la concurrence de plusieurs fonds. PAI serait à ce jour «blacklisté», a appris L’Agefi.
Utac Ceram, spécialiste de l’homologation et des essais automobiles, contrôlé par Eurazeo PME depuis l’an dernier, vient de fusionner avec son homologue britannique Millbrook. L’opération a été rendue possible grâce à un investissement supplémentaire de 115 millions d’euros de la filiale d’Eurazeo. L’acquisition de ce périmètre de 83 millions d’euros de chiffre d’affaires permet à Utac Ceram de doubler son chiffre d’affaires et de viser 180 millions de revenus en 2021. La nouvelle entité reste présidée par Laurent Benoit, dirigeant d’Utac Ceram depuis une dizaine d’années.
Utac Ceram change d’envergure. Le leader français de l’homologation et des essais automobiles, contrôlé par Eurazeo PME depuis l’an dernier, vient de fusionner avec son homologue britannique Millbrook. L’opération a été rendue possible grâce à un investissement supplémentaire de 115 millions d’euros de la filiale d’Eurazeo.
Le dernier né des fonds du programme d’investissement «Assureurs – Caisse des Dépôts Relance Durable France», lancé à l’initiative de la Fédération française de l’assurance et de la CDC, a trouvé son gérant. A l’issue d’un processus concurrentiel, Turenne Groupe a été choisi pour piloter le véhicule Nov Relance Impact, doté de 124 millions d’euros par sept assureurs tricolores. Celui-ci est destiné à soutenir une quinzaine de PME et d’ETI dans les régions, par le biais d’opérations de capital-développement et de LBO. Turenne entend privilégier l’actionnariat salarié et les mécanismes de partage dans chacune des futures participations du fonds. Le gérant affiche 1,2 milliard d’euros sous gestion. Il est actuellement implanté à Paris, à Lille, à Lyon, à Marseille et à Metz.
Le dernier né des fonds du programme d’investissement « Assureurs – Caisse des Dépôts Relance Durable France », lancé à l’initiative de la Fédération française de l’assurance et de la CDC, a trouvé son gérant. A l’issue d’un processus concurrentiel, Turenne Groupe a en effet été choisi pour piloter le véhicule Nov Relance Impact, doté de 124 millions d’euros par sept assureurs tricolores. Celui-ci est destiné à soutenir une quinzaine de PME et d’ETI dans les régions, par le biais d’opérations de capital-développement et de LBO.
Le verdict du tribunal de commerce d’Orléans a annoncé que International Cookware, exploitant de la licence Pyrex pour la zone EMEA, va pouvoir reprendre le verrier Duralex, qui était en redressement judiciaire depuis septembre. L’offre de l’acquéreur prévoit de récupérer la quasi-totalité des 248 collaborateurs du périmètre, exceptés deux managers, ainsi que l’usine de La Chapelle-Saint-Mesmin. Pyrex a dû rehausser sa proposition initiale en proposant un prix de 3,55 millions d’euros, mais a exclu la reprise d’un contrat d’un million d’euros signé avec Axa. En 2005, l’entreprise avait déjà été contrainte de déposer le bilan, avant d’être reprise trois ans plus tard par l’industriel franco-britannique Antoine Ioannidès et deux cadres.
Le verdict du tribunal de commerce d’Orléans est tombé jeudi. International Cookware, exploitant de la licence Pyrex pour la zone EMEA, va pouvoir reprendre le célèbre verrier Duralex, qui était en redressement judiciaire depuis septembre. L’offre de l’acquéreur prévoit de récupérer la quasi-totalité des 248 collaborateurs du périmètre, exception faite de deux managers, ainsi que l’usine de La Chapelle-Saint-Mesmin.
Le processus de cession de Nutrisens que pilotait Amala Partners a atteint son épilogue plus rapidement que prévu. Evolem et Unigrains, actionnaires de ce groupe agroalimentaire spécialisé dans la nutrition et la santé, ont accepté l’offre préemptive émise par Sagard. Celle-ci se base sur un prix de 140 millions d’euros et s’appuie sur une unitranche fournie par Idinvest Partners. Une opération en or pour la société de gestion créée par Bruno Rousset, fondateur du groupe d’assurance April, qui avait investi dans la PME dès 2007. A cette époque, l’entreprise ne générait que 7 millions d’euros de chiffre d’affaires et avait été fusionnée avec trois autres participations de l’investisseur pour créer Nutrisens. Un périmètre de moins de 20 millions d’euros de revenus qui a grandi à coup de croissance externe jusqu’à atteindre 87 millions d’euros l’an dernier.
Le processus de cession de Nutrisens que pilotait Amala Partners a atteint son épilogue plus rapidement que prévu. Evolem et Unigrains, actionnaires de ce groupe agroalimentaire spécialisé dans la nutrition et la santé, ont accepté l’offre préemptive émise par Sagard. Celle-ci se base sur un prix de 140 millions d’euros et s’appuie sur une unitranche fournie par Idinvest Partners. Une opération en or pour la société de gestion créée par Bruno Rousset, fondateur due groupe d’assurance April, qui avait investi dans la PME dès 2007.
Leon Black a annoncé sa démission du poste de directeur général, après la confirmation de ses liens d’affaires avec le financier et prédateur sexuel Jeffrey Epstein.
Leon Black, dirigeant-cofondateur de la société d’investissement Apollo Global Management, est sur le départ. Le milliardaire de 69 ans a prévu de démissionner de son poste de directeur général du fonds d’ici au 31 juillet, pour n’endosser qu’un rôle de président du conseil d’administration. Une décision directement liée à la publication d’un rapport du cabinet d’avocats Dechert, mandaté par le conseil d’administration d’Apollo, confimant les liens d’affaires entre Leon Black et le financier et criminel sexuel Jeffrey Epstein, qui a mis fin à ses jours en août 2019.
Le groupe de bijouteries chapeautant Histoire d’Or, Marc Orian, Oro Vivo et Stroili était détenu par Bridgepoint, Apax Partners et Qualium Investissement depuis 2010.