Mérieux Equity Partners a annoncé mardi une prise de participation majoritaire au capital de Plantex, un fabricant d’extraits végétaux. L’investissement a été réalisé par l’intermédiaire du fonds Mérieux Participations 3. Il s’agit du 11e investissement de ce véhicule, lancé en juillet 2018 et clos fin 2019 avec 377 millions d’euros de souscription. Mérieux Equity Partners a investi une trentaine de millions d’euros dans l’opération. La dette senior est arrangée par la Société Générale et Cerea Partners intervient en tant que mezzaneur. Fondée en 1990, Plantex est spécialisé dans l’extraction végétale pour l’industrie agroalimentaire, pharmaceutique etcosmétique ou encore pour la nutrition animale. Son chiffre d’affaires a atteint 30 millions d’euros en 2020.
Mérieux Equity Partners a annoncé mardi une prise de participation majoritaire au capital de Plantex, un fabricant d’extraits végétaux. L’investissement a été réalisé par l’intermédiaire du fonds Mérieux Participations 3. Il s’agit du 11e investissement de ce véhicule, lancé en juillet 2018 et clos fin 2019 avec 377 millions d’euros de souscription.
Meeschaert Capital Partners, via son fonds small cap Meeschaert Private Equity Growth (MPEG), a pris une participation minoritaire au capital de Formind, spécialisé dans la cybersécurité. Le fonds s’est associé aux deux dirigeants fondateurs du groupe, Hervé Morizot et Xavier Fauquet. Formind compte 150 consultants et a réalisé un chiffre d’affaires de près de 17 millions d’euros en 2020.
Le constructeur automobile français enregistre la sortie de son pool majoritaire d’actionnaires, constitué de Siparex, de Carvest, du Crédit Agricole Centre-France Développement et de BNP Paribas Développement. A l’exception d’Edify – la holding issue de l’histoire industrielle de Damartex et de Somfy –, qui en profite pour renforcer sa présence au capital, aux côtés de l’équipe de management. Comptant parmi les deux principaux acteurs du marché européen des véhicules sans permis pour les particuliers et des véhicules utilitaires légers avec son concurrent Aixam, Ligier a vu son chiffre d’affaires bondir entre 2015 et 2019 de 98 à 156 millions d’euros. En 2019, le groupe a signé un partenariat avec EasyMile, une start-up soutenue par Alstom, Bpifrance et Continental Automotive.
Nouvelle opération d’envergure dans l’univers de la cybersécurité. Après avoir absorbé Shape Security en 2019, l’américain F5 Networks, coté au Nasdaq, a jeté son dévolu sur Volterra, une plateforme américaine facilitant le déploiement d’applications et de solutions de sécurités dans le cloud et le edge computing. L’opération valorise cette dernière 500 millions de dollars (dont 440 millions en cash). Volterra est connue dans l’Hexagone pour avoir fusionné avec la start-up tricolore Accorus Networks en 2019. Lors de ce rapprochement, les actionnaires de la pépite française, à savoir Elaia, Partech et Kima Ventures, en avaient profité pour monter au capital du nouvel ensemble. Le rachat par F5 Networks engendre aujourd’hui leur sortie, au même titre que les autres soutiens financiers de Volterra.
Groupe Ligier modifie son actionnariat. Le constructeur automobile français enregistre la sortie de son pool majoritaire d’actionnaires, constitué de Siparex, de Carvest, du Crédit Agricole Centre-France Développement et de BNP Paribas Développement. A l’exception d’Edify – la holding issue de l’histoire industrielle de Damartex et de Somfy –, qui en profite pour renforcer sa présence au capital, aux côtés de l’équipe de management. Comptant parmi les deux principaux acteurs du marché européen des véhicules sans permis pour les particuliers et des véhicules utilitaires légers avec son concurrent Aixam, Ligier a connu une trajectoire ascendante. Entre 2015 et 2019, son chiffre d’affaires a bondi de 98 à 156 millions d’euros. Une évolution basée notamment sur une augmentation à deux chiffres de son segment des véhicules sans permis et sur le déploiement d’une offre B2B de véhicules électriques. En 2019, le groupe a signé un partenariat avec EasyMile, une start-up soutenue par Alstom, Bpifrance et Continental Automotive. Cela dans l’optique de construire des navettes autonomes interurbaines.
Nouvelle opération d’envergure dans l’univers de la cybersécurité. Après avoir absorbé Shape Security en 2019, l’américain F5 Networks, coté au Nasdaq, a jeté son dévolu sur Volterra, une plateforme américaine facilitant le déploiement d’applications et de solutions de sécurités dans le cloud et le edge computing. L’opération valorise cette dernière 500 millions de dollars (dont 440 millions en cash). Volterra est notamment connue dans l’Hexagone pour avoir fusionné avec la start-up tricolore Accorus Networks en 2019. A l’occasion de ce rapprochement, les actionnaires de la pépite française, à savoir Elaia, Partech et Kima Ventures (qui avaient investi 5 millions d’euros dans le cadre d’une série A en 2018), en avaient profité pour monter au capital du nouvel ensemble. Le rachat par F5 Networks engendre aujourd’hui leur sortie, au même titre que les autres soutiens financiers de Volterra. La pépite américaine était notamment épaulée par Microsoft, Samsung Next et Vinod Khosla. Elle avait levé près de 50 millions de dollars au cours des deux dernières années.
Les dirigeants américains de LBO auront fini l’année préoccupés. Leurs pairs qui étaient à la tête du groupe Nine West au moment de sa reprise en 2014 par le fonds de private equity Sycamore Group pourraient être tenus responsables de la faillite du fabricant de chaussures en 2018. Nonobstant les restrictions apportées à leurs responsabilités dans le contrat de LBO, ou le fait qu’ils n’ont pas décidé du levier imposé à la cible ni des ventes de ses marques phare pour un prix en dessous du marché à une filiale du fonds repreneur. Mais, en décembre dernier, le juge fédéral a estimé recevable la plainte de créanciers lésés par la banqueroute, considérant que les dirigeants se sont engagés de façon « téméraire » dans ce LBO dont les projections étaient optimistes, le levier supérieur aux recommandations des banques conseil. Il leur incombait de ne pas participer à une opération hasardeuse pour l’entreprise et ses parties prenantes. De quoi modérer l’appât du gain qui motive les LBO ? Il y aurait de quoi le modérer, à lire les notes de mise en garde, comme celle du cabinet d’avocats Cleary Gottlieb, pointant l’enjeu nouveau que représente l’affaire, quelle que soit la décision de justice finale.
Détenu depuis cinq ans par BlackFin Capital Partners, LSA Courtage s’apprête à remanier son actionnariat. Le propriétaire du courtier en ligne de produits d’assurance IARD est entré en discussions exclusives avec les fonds IK Investment Partners et Isai, en vue de leur céder le contrôle du capital. Pour compléter le financement de ce nouvel LBO, le groupe a souscrit une dette unitranche auprès de Goldman Sachs. Connu sous la marque Assurpeople.com, LSA Courtage gère l’acquisition, la souscription et la gestion des contrats et des sinistres et s’est lancé depuis quelques années dans une stratégie de diversification. LSA Courtage emploie 135 collaborateurs.
Détenu depuis cinq ans par BlackFin Capital Partners, LSA Courtage s’apprête à remanier son actionnariat. Le propriétaire du courtier en ligne de produits d’assurance IARD est entré en discussions exclusives avec les fonds IK Investment Partners et Isai, en vue de leur céder le contrôle du capital. Pour compléter le financement de ce nouvel LBO, le groupe a souscrit une dette unitranche auprès de Goldman Sachs.
Fluence, coentreprise du groupe allemand Siemens et de l’énergéticien américain AES, a annoncé hier avoir conclu un accord avec le fonds souverain du Qatar qui compte investir 125 millions de dollars (102 millions d’euros) dans l’entreprise spécialisée dans le stockage d’énergie. Ce financement donnera à Qatar Investment Authority une participation de 12% dans Fluence, valorisant la coentreprise plus d’un milliard de dollars. Siemens et AES conserveront chacun une participation de 44% au capital de la société après la finalisation de l’accord. Fluence anticipe un chiffre d’affaires de 500 millions de dollars cette année et de 3 milliards de dollars à l’horizon 2025, en tenant compte d’une croissance annuelle de 40% de son activité.
Le fonds d’arbitrage Third Point, créé par l’investisseur activiste Daniel Loeb, prévoit de lever jusqu’à 300 millions de dollars (245 millions d’euros) pour lancer son premier fonds de capital-risque, rapportait hier le Financial Times, ajoutant qu’un tour de table initial devrait avoir lieu dès le mois de février 2021. Daniel Loeb dirigera ce nouveau fonds avec Robert Schwartz, un directeur associé, basé dans la Silicon Valley, qui supervise depuis l’an 2000 les investissements de Third Point dans les entreprises émergentes.
Waterland Private Equity a conclu hier un accord en vue d’acquérir l’activité britannique du groupe américain Acadia Healthcare, spécialisé dans les services de santé (cliniques et soins de réadaptation), pour un montant de 1,08 milliard de livres (1,19 milliard d’euros). L’entité concernée, nommée ‘Priory Group’, avait été acquise par Acadia pour près de 850 millions de dollars en 2016 et ce dernier l’avait mise en vente voici plus d’un an. Le groupe européen de capital-investissement entend fusionner Priory avec Median, son activité allemande dans les soins de réadaptation.
Le groupe de capital-investissement Permira a fait savoir hier qu’il allait acquérir une participation majoritaire au capital de la société américaine Boats Group, actuellement détenue par Apax Partners. La transaction, dont le montant n’a pas été précisé, devrait être bouclée au premier trimestre 2021. Basée à Miami, l’entreprise est une plate-forme numérique spécialisée dans la vente de bateaux. Ses solutions permettent de mettre en relation des acheteurs avec des courtiers et des concessionnaires du secteur nautique dans plus de 140 pays.
Le fonds activiste Elliott Management a pris une participation de 15,1% au capital de Rocket Internet, ce qui pourrait contrecarrer les projets du groupe allemand de commerce électronique, désireux de sortir de la Bourse. Les frères Samwer, qui ont fondé l’entreprise en 2007, l’avaient introduite en Bourse à Francfort en 2014. Détenteurs d’un peu moins de la moitié du capital à l’heure actuelle, ils ont décidé en septembre de la retirer de la cote en proposant aux investisseurs un prix de 18,57 euros par action, ce qui valorise la société environ 2,5 milliards d’euros. L’action a clôturé hier en hausse de 7,1% à 21,4 euros, un niveau bien supérieur à celui de l’offre de rachat.
Mis en faillite l’an dernier, le prêteur indien Dewan Housing Finance fait l’objet d’un appel d’offres opposant plusieurs acquéreurs potentiels. Le gestionnaire d’actifs américain Oaktree Capital Management rivalise avec l’établissement de crédit indien Piramal Capital et avec le groupe Adami, contrôlé par l’homme d’affaires Gautam Adani. Dans une lettre adressée aux créanciers de Dewan Housing, Oaktree a fait savoir hier qu’une partie de son offre n’avait pas été correctement comptabilisée lors du processus d’enchères. Son offre mixte s’élève au total à 384 milliards de roupies (4,2 milliards d’euros), dont 174 milliards de roupies payés en numéraire. Sur ce dernier montant, il estime que 27 milliards n’ont pas été correctement pris en compte par les créanciers de la cible.
Le brasseur AB InBev a annoncé jeudi qu’un consortium d’investisseurs emmené par le groupe de private equity Apollo Global Management prévoit de lui racheter, pour environ 3 milliards de dollars (2,45 milliards d’euros), une participation de 49,9% dans une activité regroupant ses usines de conteneurs métalliques aux Etats-Unis. La transaction permettra au brasseur de générer des recettes pour rembourser une partie de sa dette qui avait monté en flèche après le rachat de son rival SABMiller pour plus de 100 milliards de dollars en 2016. AB InBev pourra racheter cette participation cinq ans après sa finalisation, à des termes financiers prédéterminés. Le brasseur continuera en outre de gérer l’activité de ces usines après la finalisation de la transaction, attendue le 8 janvier prochain.