Nos articles d’actualité et d’analyse sur la Banque centrale européenne (BCE), sur les déclarations de ses principaux dirigeants, sur ses annonces de politiques monétaires (évolution des taux directeurs, programmes de liquidité ou de rachats d’actifs, suivi de l’inflation).
BNP Paribas Asset Management a annoncé ce 6 juillet la nomination de Christopher Dunn en tant que responsable global de l’expérience client. Basé à Paris, il rapporte à Roger Miners, le directeur marketing, Arrivé chez BNP Paribas AM début 2019 comme responsable de la satisfaction client, Christopher Dunn fut auparavant vice-président de Greenwich Associates au sein de l’équipe dédiée à la gestion des investissements(2014-2019). Il a également travaillé au sein du Global Institutions Group de Fidelity International (2013-2014) et chez UK Trade & Investment, l’agence de développement des affaires internationales du gouvernement britannique (2010-2012).
Ulrika Hasselgren a démissionné de Danske Bank où elle était responsable mondiale du développement durable et de l’investissement à impact. L’intéressée avait rejoint la banque danoise en février 2018, d’abord en tant que directrice de l’investissement responsable, puis du développement durable et de l’investissement à impact. Avant cela, Ulrika Hasselgren travaillait chez ISS où elle était managing director, responsable mondiale de la stratégie investissement responsable et de l’intégration ESG.
La Banque centrale européenne (BCE) aurait transmis aux autorités allemandes – par l’intermédiaire du président de la Bundesbank Jens Weidmann – des documents importants afin de leur permettre d'établir le caractère «proportionnel» de ses programmes d’achats d’actifs, ont indiqué à Reuters deux sources différentes.
La Banque centrale européenne (BCE) est disposée à lancer une consultation publique sur les modalités de ses examens des projets de fusion entre banques de la zone euro. « Nous pouvons jouer un rôle mais nous devrons aussi regarder ce qui peut être fait sur le terrain législatif et par d’autres institutions, en particulier pour les fusions transfrontalières », déclare Andrea Enria, responsable de la surveillance du secteur bancaire au sein de la BCE, cité ce mardi par le quotidien italien Il Sole 24 Ore.
Une issue sera rapidement trouvée au contentieux qui oppose la Cour constitutionnelle allemande de Karlsruhe et la Banque centrale européenne (BCE), a estimé lundi le ministre allemand des Finances, Olaf Scholz. Selon Reuters, la nomination lundi d’un nouveau président et juge du tribunal allemand pourrait calmer la situation, Astrid Wallrabenstein, qui a été nommée par les Verts pro-européens, ayant suggéré qu’il devrait y avoir un dégel dans les relations avec la Cour de justice européenne (CJUE), qui avait autorisé le programme de la BCE en décembre 2018. Le 5 mai, les juges de Karlsruhe ont exigé de la BCE qu’elle justifie ses achats d’emprunts d’Etat de la zone euro pour que la Banque centrale allemande puisse continuer à y participer, en dépit d’une décision de la CJUE.
Une issue sera rapidement trouvée au contentieux qui oppose la Cour constitutionnelle allemande de Karlsruhe et la Banque centrale européenne (BCE), a estimé lundi le ministre allemand des Finances, Olaf Scholz : «Ce n’est pas un drame sans solution. Nous verrons sous peu une solution sans drame», a-t-il déclaré lors d’une conférence.
Le Parlement européen a adopté jeudi soir, à 502 votes pour sur 688, les modifications du règlement sur les exigences en capital (CRR 2) votées le 9 juin par sa commission des affaires économiques (Econ) pour aider les banques et les économies européennes à faire face au Covid-19. Les allégements prévus découlent pour l’essentiel des propositions de la Commission européenne formulées le 30 avril. Ils portent sur les dispositions transitoires liées aux provisionnements IFRS 9 sur les prêts détériorés, le report à janvier 2023 du nouveau coussin de ratio de levier pour les banques systémiques, et la possibilité pour la Banque centrale européenne d’exclure du risque de marché des établissements les dépassements en modèles internes liés aux changements de régimes de volatilité exceptionnels pour les calculs des exigences correspondantes.
Le Parlement européen a adopté jeudi soir, en session plénière à une large majorité de 502 votes pour sur 688, les modifications du règlement sur les exigences en capital (CRR 2) votées le 9 juin par sa commission des affaires économiques (Econ) pour aider les banques et les économies européennes à faire face au covid-19.
La quatrième série des opérations de refinancement à long terme ciblées (TLTRO 3.4) de la Banque centrale européenne (BCE) a, comme prévu, rencontré le succès attendu avec 1.308 milliards d’euros levés par 742 banques européennes pour trois ans à compter du 24 juin. Un montant supérieur aux prévisions moyennes, qui se situaient plutôt entre 1.000 et 1.200 milliards selon les sources de marché.
La Banque centrale européenne (BCE) prépare une structure de défaisance pour y transférer des centaines de milliards d’euros de prêts qui risquent de ne pas être remboursés en raison de la crise du coronavirus, indiquait hier Reuters de sources proches du dossier. Ce projet viserait à protéger les banques d’une deuxième lame dans la crise économique provoquée par l'épidémie de Covid-19. Selon les sources, l’une des pistes envisagées impliquerait le Mécanisme européen de stabilité (MES) en tant que garant de cette structure de défaisance, qui émettrait des obligations que les banques achèteraient en échange de portefeuilles de prêts non remboursés. Les banques pourraient ensuite déposer en collatéral ces obligations auprès de la BCE pour obtenir des financements.
La Banque centrale européenne (BCE) prépare une structure de défaisance pour y transférer des centaines de milliards d’euros de prêts qui risquent de ne pas être remboursés en raison de la crise du coronavirus, a indiqué Reuters de sources proches du dossier. Ce projet viserait à protéger les banques d’une deuxième lame dans la crise économique provoquée par l'épidémie de Covid-19, l’envolée attendue du chômage risquant de mettre de nombreux ménages en difficulté et de les rendre incapables de rembourser leurs prêts.
Olli Rehn, membre du Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE) et gouverneur de la Banque de Finlande, a déclaré mardi que «la possibilité d’acheter des obligations ‘high yield’, est quelque chose que l’on peut envisager, et je regarde les différentes options avec un esprit ouvert». Même si le Conseil n’a, selon lui, «pas eu de discussion sérieuse sur le sujet», a-t-il ajouté.