L’actualité du marché de l’assurance au sens large, de l’assurance de personnes à l’assurance vie en passant par l’épargne retraite et par les évolutions en cours entre grands et nouveaux acteurs.
La société de gestion propose, depuis le 21 janvier dernier, cinq nouveaux compartiments actions au sein de sa Sicav luxembourgeoise C’est notamment le cas de Franklin Mutual Euroland Fund, investi dans des actions de sociétés sous-évaluées de pays de la zone euro.
Le taux de rendement du fonds en euros de Dynavie a été fixé à 4 % net des frais de gestion. Monceau Assurances rappelle, dans un communiqué de presse, le cadre dans lequel sont gérés les avoirs de ce fonds. Capma & Capmi a «pour ligne de conduite de distribuer au titre d’une année donnée la quasi-totalité des plus-values et revenus générés au cours de cette année. Il n’existe de ce fait pas de réserves « matelas » qui permettraient soit de compenser les moindres résultats pouvant être enregistrés dans le futur, soit d’attirer de nouveaux versements en offrant des taux améliorés...»
L’article 1er de l’ordonnance du 30 janvier 2009 portant sur la commercialisation des produits d’assurance sur la vie et sur des opérations de prévoyance collective et d’assurance corrige une incohérence de la loi concernant la gestion du patrimoine des personnes sous curatelle. Désormais, ces dernières peuvent, avec la seule assistance de leur protecteur, révoquer la clause bénéficiaire non acceptée de leur contrat d’assurance vie.
L’article 3 de l’ordonnance n° 2009-106 du 30 janvier 2009 portant sur la commercialisation des produits d’assurance sur la vie et sur des opérations de prévoyance collective et d’assurance impose que toute information, notamment publicitaire, relative à un contrat d’assurance sur la vie ou de capitalisation, ait un contenu exact, clair et non trompeur.
Les objets d'art, de collection ou d'antiquité sont exonérés d'ISF, ces derniers devant avoir plus de cent ans d'âge Pour ceux ayant moins de cent ans, une instruction fiscale vient d'étendre l'exonération lorsqu'ils ont de la valeur.
C’est dans un contexte de crise particulièrement sévère que la Fédération française des sociétés d’assurances (FFSA) a présenté lundi 26 janvier les résultats de l’assurance française en 2008. Considéré comme un «îlot de stabilité et de solidité», le secteur de l’assurance a tout même connu «sa pire année depuis 1998», selon les propos tenus par le président de la FFSA Bernard Spitz.
Cinq ordonnances relatives à l’application de la loi du 4 août 2008 de Modernisation de l’économie ont été présentées en Conseil des ministres, le 28 janvier, avant leur prochaine publication. Dans le cadre de la commercialisation des produits d’assurance vie, concernée par l’un des textes règlementaires, le devoir de conseil applicable aux assureurs et aux intermédiaires d’assurance est étendu. Il s’agit de garantir désormais «un contenu exact, clair et non trompeur des informations, y compris à caractère publicitaire, relatives à un contrat d’assurance sur la vie ou de capitalisation». Il est également prévu de favoriser la diffusion du plan d’épargne retraite populaire (Perp) en apportant des modifications techniques aux moyens de création et de souscription de ce plan.
La Caisse d’allocation vieillesse des agents généraux et des mandataires non salariés de l’assurance et de la capitalisation (Cavamac) vient de faire part des paramètres du régime de retraite complémentaire des agents généraux d’assurances retenus pour l’année 2009.
Bernard Spitz, président de la Fédération française des sociétés d’assurances (FFSA), et Jean-François Lequoy, son délégué général ont présenté aujourd’hui les premiers chiffres de l’assurance française en 2008. Si le sujet des désastres causés ce week end par la tempête a largement été abordé, les résultats 2008 en assurance-vie ont, eux aussi, retenu l’attention de toute l’assemblée. Ainsi, la FFSA révèle que les cotisations en assurance-vie et capitalisation sont passées de 137,1 milliards en 2007 à 122,6 milliards en 2008. L’exercice enregistre ainsi une baisse de 10,6 % des cotisations et un recul de 47,5 % de la collecte nette. Les provisions mathématiques stagnent avec une érosion de 0,2 % sur un an. Selon Bernard Spitz, l’origine de ce recul serait essentiellement dû à l‘inversion de la courbe des taux, ayant poussé les ménages à placer massivement leur argent dans de l’épargne liquide. Si l’année 2008 a été négative pour l’assurance-vie, elle se conclut cependant sur une note positive pour les assurances de biens et de responsabilité qui ont enregistré une croissance de + 2,5 % par rapport à 2007.
Un taux de rendement de 4,20 % net est servi pour 2008 sur les contrats monosupport en euros MMA Croissance et ADIF Epargne et sur les contrats MMA Multisupports, Long Cours, Di@log et ADIF Optimum, pour leur support à capital garanti.
Le taux 2008 de Cap Garantie, support en euros des contrats individuels multisupports Carina, Carina Perspectives, Carina Intergeneration et du contrat collectif Retraite Expansion 83 de la société Intervie, est fixé à 4,40 % net de frais de gestion.
Altaprofits propose aux détenteurs des contrats Altaprofits Vie et Altaprofits Capitalisation de bénéficier de l’obligation SCHNEIDER Electric SA, soit 6,75 % de revenu brut par an ou 5,91 % de rendement net pendantquatre ans et demi. Les souscriptions sont limitées au 26 janvier 2009.
Depuis le 1er janvier 2009, date d’abrogation effective de la convention fiscale franco-danoise, la France peut imposer les plus-values immobilières de biens situés sur son territoire et appartenant à des résidents fiscaux danois. Le point avec maître Dalal Bencherif.
L’article L-111-2-2 du Code de la Sécurité sociale prévoit une dispense d’affiliation à un régime d’assurance vieillesse pour les salariés étrangers exerçant une activité sur le territoire français et qui justifient par ailleurs déjà d’une assurance vieillesse. La dispense est également soumise à une absence d’affiliation à un régime français obligatoire d’assurance vieillesse au cours des cinq années précédant la demande, et à la présence pendant au mois trois mois dans l’entreprise ou l’établissement établis hors de France.
L’ampleur de la crise financière a poussé les pouvoirs publics et les régulateurs à intervenir pour ne pas aggraver les difficultés des organismes assureurs à l’heure de l’arrêté des comptes. En complément des recommandations émanant, entre autres, de l’Autorité de contrôle des assurances et des mutuelles et du Conseil national de la comptabilité sur, notamment, la juste valeur ou les modalités de dépréciation des placements, un décret du 22 décembre 2008 est venu assouplir la réglementation prudentielle sur le traitement de la provision pour risque d’exigibilité. Cette mesure attendue par les assureurs est présentée comme pouvant permettre de soutenir les rendements des fonds en euros pour l’année 2008.
Les montages LBO et OBO ne sont pas épargnés par la crise tant sur les aspects financiers que juridiques et le marché des acquisitions est au point mort Les experts développent actuellement des stratégies de crédit-vendeur ou d’earn-out sur les opérations en cours de financement pour rassurer les acquéreurs.
L’administration revient par la voie d’une instruction sur les dispositions entrées en vigueur depuis le 1er janvier 2008 Le constat de la flagrance fiscale est précisé à côté des aspects relatifs aux saisies conservatoires et aux garanties des contribuables.
En 2008, la GMF sert un taux de rendement de 4,40 % net de frais de gestion et avant prélèvements sociaux sur ses principaux contrats d’assurance-vie dont les multisupports Multéo et Certigo, et lescontratsen euros Altinéo et Compte Libre Croissance
Depuis le 02 janvier 2009, les banques du réseau Océor proposent un nouveau contrat d’assurance-vie à destination des clients des banques outre-mer du Groupe Caisse d’Epargne (L’Agefi Actifs n° 278). Conçu et géré par GCE Assurances, ce contrat permet à tout détenteur d’un ou plusieurs produits d’épargne de transmettre, en cas de décès accidentel, un capital égal à la somme de l’ensemble de l’épargne constituée auquel s’ajoute l’équivalent d’un an des versements réguliers programmés, au bénéficiaire désigné. Cette assurance sur épargne est dans un premier temps distribuée dans les banques des Antilles Françaises et de la Réunion, et sera par la suite, selon le groupe, étendue à la Banque de Nouvelle-Calédonie, la Caisse d’Epargne de Nouvelle-Calédonie et la Banque de Tahiti.
Le décret du 22 décembre 2008 portant diverses dispositions prudentielles applicables aux organismes d’assurance modifie notamment la réglementation en matière de provision pour risque d’exigibilité.
Plusieurs dispositions viennent modifier le régime de retraites complémentaire des assurances sociales. Un arrêté vient notamment modifier la valeur du rendement réel du régime, fixée comme suit :