Les sociétés de gestion pourront participer au processus de sélection si elles ont au minimum un milliard d’euros d’actifs sous gestion. La commission ne pourra excéder 0,4% des actifs investis par les participants.
Le spécialiste du paiement en ligne diversifie un peu plus ses services. Stripe s’est allié à la fintech suédoise Klarna pour proposer un service de paiement fractionné (Buy now, pay later ou BNPL). Stripe pourra proposer à ses clients détaillants d’ajouter facilement une option pour permettre à leurs clients de payer en plusieurs fois.
Le système financier mondial doit être réformé parce qu’il facilite les «émissions irresponsables» qui considèrent l’atmosphère de la planète «comme un égout ouvert», selon l’ancien vice-président américain Al Gore. Dans une vaste interview accordée au Financial Times, l’homme politique devenu militant du climat a déclaré que le monde ne pouvait plus se permettre que le secteur financier continue à soutenir à grande échelle des projets à forte intensité de carbone. Al Gore, qui a cofondé la société de gestion durable Generation Investment Management en 2004, a déclaré qu’une refonte des secteurs de la banque, de la gestion d’actifs et de la comptabilité était cruciale si les pays voulaient atteindre l’objectif de zéro émission nette d’ici 2050. Al Gore a appelé à une réglementation et à une divulgation accrues afin de forcer les banques, les gestionnaires d’actifs traditionnels, les sociétés de capital-investissement et les autres détenteurs d’actifs à revoir la manière dont ils gèrent les risques liés au changement climatique. Les banques et les gestionnaires d’actifs doivent cesser de prêter ou de fournir des capitaux aux entreprises qui sont engagées dans des «pratiques destructrices» et augmenter leur soutien aux entreprises qui peuvent conduire la transition vers une économie à faible émission de carbone, a-t-il déclaré.
La Banque des règlements internationaux (BRI) compte lancer début 2022 un fonds destiné à canaliser les réserves des banques centrales mondiales vers des projets verts dans la région Asie-Pacifique. Le fonds, appelé Asian Green Bond Fund, offrirait un pipeline aux banques centrales pour investir dans des obligations émises par des souverains et des entreprises qui respectent des normes vertes internationales strictes, a indiqué la BRI dans un communiqué. «Le fonds travaillera en étroite collaboration avec la Banque asiatique de développement (BAD) et d’autres institutions financières de développement ainsi qu’avec d’autres émetteurs», précise le communiqué. Le nouveau fonds suivra deux autres fonds d’obligations vertes que la BRI a déjà lancés au cours des deux dernières années, soulignant l’importance croissante que les banques centrales accordent au soutien des efforts de lutte contre le changement climatique. La Banque du Japon, par exemple, a décidé en juillet de commencer à acheter des obligations vertes en utilisant ses réserves de change, en grande partie comme un geste symbolique pour sensibiliser à la nécessité de promouvoir la finance verte.
Ils étaient entrés en négociations exclusives en avril dernier pour acquérir la branche de la SNCF dédiée à la gestion des wagons de marchandises et de conteneurs citernes.
La caisse de retraite publique prépare dès 2022 sa sortie progressive des fossiles et va mener un engagement actionnarial auprès des banques et assureurs.
Dans une pleine page de publicité dans le Financial Times, un collectif d’ONG composé de Reclaim Finance, Greenpeace France, SumOfUs et Insure Our Future a appelé jeudi Axa à mettre un terme à ses couvertures d’assurance à tous nouveaux projets pétroliers et gaziers. En plus de cette publicité, elles ont publié une lettre ouverte au directeur général de l’assureur Thomas Buberl, et une pétition ayant recueilli 62.000 signatures. Cette campagne de communication intervient quelques jours avant le Climate Finance Day du 26 octobre à Paris, un événement qui mobilise l’industrie financière mondiale pour qu’elle prenne de nouveaux engagements dans la lutte contre le changement climatique.
Le Royaume-Uni et la Nouvelle-Zélande ont conclu un accord de principe sur un accord de libre-échange visant à réduire les droits de douane, à améliorer le commerce et à rapprocher Londres d’une adhésion à l’Accord de partenariat transpacifique (TPP). Tous les droits de douane seront éliminés entre les deux pays. Cet accord intervient quelques mois après un accord similaire entre le Royaume-Uni et l’Australie, alors que les ministres britanniques cherchent à sortir de la dépendance commerciale à l’Europe.
Le Bureau américain de la protection financière des consommateurs (CFPB, Consumer Financial Protection Bureau) est sur le point d’exiger des informations sur la façon dont Apple, Facebook, Google, Amazon et d’autres entreprises technologiques collectent, utilisent et commercialisent les données financières des consommateurs, a révélé Bloomberg. Square et PayPal devraient également recevoir les demandes d’informations, ont indiqué ces mêmes sources de l’agence de presse. La décision du CFPB de s’adresser directement aux sociétés plutôt que de publier un avis public de demande d’informations, comme il est fait habituellement, pourrait être un signal de l’intention du Bureau d’agir rapidement en matière de réglementation, précise l’agence de presse. Cette demande intervient une semaine à peine après la nomination de Rohit Chopra au poste de directeur du CFPB.
Le Royaume-Uni et la Nouvelle-Zélande ont conclu un accord de principe sur un accord de libre-échange visant à réduire les droits de douane, à améliorer le commerce et à rapprocher Londres d’une adhésion à l’Accord de partenariat transpacifique (TPP). Les Premiers ministres britannique, Boris Johnson, et néo-zélandais, Jacinda Ardern, ont scellé, lors d’un appel mercredi et après seize mois de négociations, «un excellent accord commercial pour le Royaume-Uni», selon le communiqué de Boris Johnson.
C’est une pleine page de publicité dans le Financial Times qui n’est pas passée inaperçue. Un collectif d’ONG composé de Reclaim Finance, Greenpeace France, SumOfUs et Insure Our Future a appelé aujourd’hui Axa à mettre un terme à ses couvertures d’assurance à tous nouveaux projets pétroliers et gaziers. «Axa a une longue histoire de leadership en matière de climat, mais il est à craindre que le géant de l’assurance ne renonce pas pour autant à assurer de nouveaux projets pétroliers et gaziers», expliquent les ONG dans un communiqué. En plus de cette publicité, elles ont publié une lettre ouverte au directeur général de l’assureur Thomas Buberl, et une pétition ayant recueilli 62.000 signatures.